Béa, Copie De Sa Mère
Après mon expédition en Amazonie, (voir récit sur Mico 79 le 02/2016), je me suis mariée avec Phil, et il est toujours pour moi, un mari attentionné et un père très proche de notre fille, bien quil sache quelle a été engendrée lors de ce séjour ; je me suis offerte à ses pénétrations et à celle du chef ; cependant cest toujours avec le marabout que je ressentais le plus de plaisir, ayant toujours limpression de lui appartenir. Et cétait toujours avec regret que je revenais en France. Phil le savait bien et il le comprenait. Par la suite, nous avons profité des joies du libertinage.
De plus en plus notre fille ressemblait aux femmes de là-bas, et il nous a fallu lui donner quelques explications, oh très prudentes, Eh oui lui avouer que javais été engrossée par un indigène, et ce avant que je me marie avec Phil, ce qui était la vérité. Le temps passant, elle était de plus en plus curieuse et un jour, elle nous a demandé de lemmener sur place, pas pour connaitre son père, pour elle cétait Phil, mais pour comprendre ce quelle ressentait au plus profond delle-même. Je dois dire que cette phrase, nous a intrigué, mais nous lui avons promis que pour sa majorité, nous ferions un voyage là-bas, si les autorités nous y autorisaient. Ce qui fut le cas, avec en retour, la promesse de réaliser une nouvelle étude sur leur évolution.
20 ans après, le village avait évolué, grâce il est vrai à laide de notre laboratoire, mais si un puit leur permettait une plus grande hygiène, la mentalité navait pas changé. Nous avions préparé Béa, entre autres à la nudité, et à la séparation des sexes, mais aussi à leur grande liberté de murs, ce qui na pas semblé la choquer. Cétait une première surprise.et pas la plus grande.
Autre changement, le chef et le marabout étaient décédés, lun tué lors dune bataille entre deux tribus, lautre de vieillesse. Le nouveau chef, que javais connu très jeune, semblait avoir toute autorité et dès notre arrivée, il nous a fait comprendre que les coutumes étaient les mêmes et que nous devrions nous y plier, à la sienne et à celle du marabout, toujours tout puissant.
Bien au contraire, le lendemain matin, nous avons été très surpris de la découvrir, totalement nue, au milieu des autres femmes, toujours aussi tactiles ; et il faut reconnaitre que la différence de peau entre elles nétait pas significative. Cétait une descendante de la tribut. Les cheveux noirs légèrement frisés, une poitrine aux seins ronds et fermes, aux tétons saillants, le fessier agressif, et un pubis glabre, laissant voir deux lèvres rosée. Difficile de le nier , elle était bien des leurs. Si la journée se passa tranquillement, à récupérer le voyage, le soir, il ma fallu lui expliquer que tout le monde dormait dans la même pièce, ce qui ne parût pas la gêner. Cest alors quelle ma demandé qui était lhomme qui mavait engrossé et comment cela était arrivé. Pas dautres solutions que de lui révéler une partie de la vérité, à savoir, que pour pouvoir travailler, javais dû appartenir, dabord au chef, puis au marabout, lors dune soirée dinitiation et quensuite, ils avaient pu me prendre à leur volonté. Mais quà priori cétait très certainement le sorcier , son créateur. Difficile de lui dire quà chaque fois quil mavait ensemencé, javais ressenti cette sensation quil me fécondait réellement Elle ma regardé, puis regardant Phil, elle lui a demandé sil était au courant, puis sans attendre elle nous a demandé « expliquez moi et sans cachoteries »
Lexplication a été difficile, mais complète et après mavoir embrasser, elle nous a dit :
« autrement dit, il va falloir que tu leur appartiennes, devant toute la tribut et nous si tu veux pouvoir travailler »
Devant notre confirmation, elle a ajouté « et moi, il en sera de même ? » devant notre hésitation, elle a ajouté « si jai bien compris, toute femme dans le village doit appartenir aux deux hommes si elle veut être des leurs .
Dès le matin , je confirmais au guide, mon intention de me plier aux coutumes, selon leur bon vouloir.
****phil
Le soir même, une cérémonie est organisée, et ma femme , dabord entre les mains dune jeune femme et après avoir bu leur potion est amenée au centre de la place du village où comme la première fois , une couche a été aménagée en demi hauteur. Et devant nous, en présence de Béa à mes côtés, elle va se faire prendre, sans ménagement dabord par le jeune et vigoureux chef, monté dune queue de belle facture, puis par le marabout. Toutes les possessions sont de véritables saillies, faites par deux dominateurs, sùr de leur puissance, sùr de posséder la femme qui narrête pas de jouir sous les coups de butoirs ; je ne sais si elle ressent les mêmes sensations que les autres fois, mais elle se donne les cuisses écartelées, possédée par deux fougueux amants ; doù nous sommes nous percevons sans difficulté ses cris de jouissance. Béa les yeux fixés sur sa mère, a pris ma main et je vois que la seconde main est plantée entre ses cuisses. Alors que le marabout possède sa mère plusieurs fois, elle me regarde et me dis :
« Cela texcite de voir maman se faire prendre ainsi ?» jaurai du mal à dire le contraire car je bande depuis le début et alors honnêtement je le reconnais, avouant quà chaque voyage, il en a été de même ; elle se penche vers moi et me dis « tu sais, je vous avais déjà entendu à la maison quand tu prenais maman et quelle criais son plaisir, mais là ,la voir et lentendre , cela me donne envie de vivre lévénement ; tu voudras bien ? » je ne réponds pas, sauvé par la fin de la saillie et alors que le marabout emmène sa proie, totalement nue, les cuisses maculées de sperme qui sécoule de sa chatte dévastée, à lintérieur de sa case,.
Difficile de retrouver ma sérénité car je sais que ma femme est en train de prendre son plaisir et quelle sera fécondée plusieurs fois, et la réaction est une belle érection ; jai envie de me branler, mais la présence à mes côtés de Béa, men empêche, dautant plus quelle ne dort pas, bien au contraire. Se collant contre moi, elle ne questionne sur mes réactions et son envie « prends moi dans tes bras, caresse moi, jai envie dun homme » jai beau lui expliquer que je ne peux pas, quelle est ma fille et que cela ne se fait pas, elle me retorque « non, tu sais que je ne suis pas ta vraie fille, je taime comme mon père mais, je ne suis pas de ton sang « me prenant la main, elle se la pose sur son sein, « caresse moi, jen ai envie, toi aussi car sous ma main, ta queue palpite » en effet elle a glissé sa main et lemprisonnant, elle me branle doucement puis me déposant un baiser au coin des lèvres , elle continue
« jai envie de vivre laventure de ces femmes, je suis comme elle, mais avant je voudrais que tu me prennes, je veux toffrir ma virginité, par amour pour toi ; je veux que tu me fasses femme, avant dappartenir aux hommes du camps qui voudront de moi, comme maman qui je lai compris va appartenir à tous ceux qui la voudrons. Après que tu mauras fait femme, je sais que tu iras voir les autres femmes, maman me la expliqué hier soir. »
Il est vrai quelle nest pas de mon sang, mais jai cependant une résistance ; mais ce que femme veux
Pour la première fois, je la vois comme une femme désirable, soffrant à lamour sans doute pour la première fois et le désir monte en moi. La main sur son sein rencontre son téton, gros, bandé, et je ne peux mempêcher de le triturer ; la réaction est immédiate ; son corps se tend appelant encore plus de caresses ; sa main menserre la tige, memprisonne les couilles ; elle est femme et même vierge elle sait ce qui excite un homme ; pris de vestige sexuel, mes mains descendent vers son ventre et caresse son pubis, quelle tend à la caresses ; bientôt mes doigts entrouvrent la corolle et son petit bourgeon pointe sous mes doigts.
Je nai pas envie de répondre mais je la comble, la possédant profondément, vigoureusement ; elle a déclencher mes envies et maintenant ce nest plus quune femelle qui veut prendre du plaisir ; plaisir qui ne tarde pas à venir, tant pour elle , que pour moi ; et quand je me répands en elle, elle ne peut retenir sa jouissance et je dois lembrasser pour contenir ses cris. Agrippée à mon torse, elle réclame « continue, jai encore envie de toi, » et bizarrement, je ne débande pas, sans doute leur mixture y est pour beaucoup, mais aussi lenvie de la satisfaire de la combler pour sa première baise. La retournant, je la positionne à genoux et sans frémir, je menfourne dans le conduit plein de semence ; elle émet un petit cri de surprise ou de plaisir, et quand je commence à la pilonner, elle ne retient pas ses gémissements ; elle a envie et elle le dit, mencourageant à la défoncer ; à chaque poussée, mes couilles viennent frapper son pubis et se plaquant la figure sur la couche, elle glisse une main sous son ventre et vient enserrer mes bourses, les tirant , les triturant. Mon plaisir en est décuplé et mes coups de butoirs aussi et ce nest que quand , avec une nouvelle jouissance , elle sécrase sur la couche que je me repends en elle, déversant mes jets tout au fond delle.
Me retirant , je la laisse récupérer ; son souffle et court, mais se blottissant contre moi, elle dépose un doux baiser sur mes lèvres et me dit tu viens de moffrir un doux moment de plaisir ; grâce à toi je suis femme, comblée, heureuse de tappartenir. Je sais que cela ne fait que commencer, mais il faut me promettre que maintenant tu me feras lamour, que tu me feras crier de bonheur comme tu le fais avec Mico » cest la première fois quelle lappelle par son prénom, et je mapprête à lui répondre quand je maperçois quelle sest endormie dans mes bras.
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