Bea Copie De Sa Mère Suite Et Fin
Béa suite
******Mico
Quand la femme est venue me chercher, je nai pu mempêcher de regarder vers Phil et surtout Béa ; mes deux amours étaient serrés lun contre lautre et jai eu envie de renoncer ; mais le breuvage devait déjà faire son effet et mon ventre réclamait ce qui mattendait.
La suite fut conforme à mes précédentes expériences. Si la possession vigoureuse et dominatrice du chef ma transporté aussitôt vers le plaisir, jattendais en réalité celle du marabout ; javais envie de retrouver cette sensation déjà ressentie : celle que mon corps lui appartenait et quil pourrait mengrosser comme il le voulait ; et je ne fus pas déçue.
A peine ses mains se sont posées sur moi que je me suis offerte, avançant mon bassin à la rencontre de la tige qui mattirait et dès que le gland a franchi le passage de mes petites lèvres, mon corps a réclamé sa fécondation ; un fluide a transpercé mon ventre et les cuisses écartelées, je me suis offerte, oubliant lentourage ; jétais tout à lui, et il le savait , me prenant à son rythme, parfois doucement , alors que mon ventre réclamait force et profondeur, parfois violemment, son gland frappant alors le fond de ma matrice déclenchant des ondes de jouissances et mes cris ; devant lassistance, il a jouit deux fois, se retirant juste avant le dernier jet pour montrer quil fécondait ; geste à chaque fois accompagné des cris des indigènes, sans doute fier de leur sorcier.
En nous dirigeant vers sa case, jai pu découvrir ma Béa, accolée à son père, me regardant les yeux brillants. A ce moment, jai compris leur complicité, mais aussi dans le regard de Béa, une lueur qui ma fait un peu peur. Quand nous sommes arrivés dans la case, comme prévu, il ma à nouveau possédé, me remplissant de sa semence pour la troisième fois , puis il a quitté la case ; à son retour, il était accompagné par un très jeune garçon, pas plus de 20 ans, et surprise, beaucoup plus clair de peau et les cheveux châtains.
Sous lassaut, je nai pu retenir un gémissement de douleur, mais très vite de plaisir ; en effet son vit me remplissait toute la chatte, écartelant mes lèvres, son gland percutant le fond de mon vagin ; jeune , mais très expérimenté manifestement car il a pris possession de mon corps, me faisant jouir à sa façon, jouant avec sexe pour me défoncer, mamenant très rapidement à une puissante jouissance ; sur son visage, je pouvais constater sa détermination , sa satisfaction de me tenir à sa disposition et sa fierté de faire jouir ainsi une étrangère.
Non seulement, il a fait de moi ce quil voulait, une salope soffrant sans réserve , jouissance en continue sous ses assauts, mais aussi pour la première fois de la journée, il ma sodomisé, perforant mon anneau, qui même sil est habitué à souvrir sous les assauts de phil, là le diamètre nétait pas le même et quand son gland a distendu le dernier passage, je nai pas pu retenir un horrible cri de douleur ; pour lui, aucun répit et sans tenir compte de ma douleur, il sest mis à me pistonner puissamment ; sa queue me pourfendait, senfonçant dans mon conduit, jusquà ce que ses couilles frappent ma chatte. Petit à petit, je me suis habituée à son calibre et une douce chaleur a alors parcouru mon ventre, avant de se transformer en cri de plaisir ; sodomisée, les seins triturés par des mains puissantes, je nétais que jouissance, oubliant toutes mes réserves, heureuse dêtre possédée pour la première fois par un très jeune garçon et cerise sur le cadeau, me faisant jouir comme un dieu Sa sodomie a duré longtemps, et quand il a juté dans mes entrailles, je nétais plus quune loque, épuisée, mais comblée.
Quand je suis revenu à notre case, je me suis arrêtée, surprise du tableau : au fond mon homme était en train de posseder Béa et à entendre leur jouissance sonore, jai vite compris le plaisir de deux . un peu déconcertée, je ne me suis pas montrée et jai attendu quils sendorment, après que Béa est embrassée phil amoureusement. Ce nest quaprès que je me suis glissée sur ma couche, déconcertée. de lautre coté de mon mari, reposait Béa, offerte, les cuisses écartées, luisantes de secrétions et maculées de traces sanguinolentes.
**** Bea
Quand je me suis réveillée, Phil nétais plus à coté de moi et je suis restée un petit moment sur le dos, me remémorant les doux moments de la nuit. Ma chatte était encore sensible et mon ventre était encore plein de la semence de celui à qui javais offert ma virginité. Sur me cuisses, des traces évidentes de mon dépucelage ; cest à ce moment que jai découvert Maman me dévisageant.je me blottie aussitôt dans ses bras et puérilement je lui dis
« je suis heureuse, maintenant je suis une femme, je me suis offerte à phil et il ma prise trois fois » je suis surprise par sa réponse
« je sais ma fille, je vous ai vu cette nuit, lorsque je suis revenue, et jai pu votre complicité et votre plaisir ; cela ma surpris, mais je ne ten veux pas »
« tu sais le fait de te voir te faire prendre devant nous, ma donné envie dêtre à ta place, mais avant, je voulais perdre ma virginité et pour moi, le seul homme a pouvoir le faire était phil. Je lui ai avoué que je voulais devenir comme les femmes de la tribut en me pliant aux coutumes, mais aussi lorsque je tentendais jouir, javais le ventre en feu ; je crois que je suis comme toi ; et de savoir que cest ainsi que jai été conçue, m a donné envie dêtre à ta place. »
« tu en as vraiment envie, car ce nest pas sans risque, certes tu es majeur, mais nous navons pas envie de te voir te sacrifier »
« raconte- moi toi, ce que tu as ressenti pendant cette soirée et ce que tu es maintenant, cela maidera sans doute »
Maman me raconte en détail, à la fois son plaisir dêtre possédée par plusieurs hommes, devant une assemblée ce quelle pratique parfois en France avec phil, mais surtout ce qui le fait que quand elle avait été prise la première fois par le sorcier, la sensation profonde dans son corps et dans sa tête, que non seulement elle se faisait baiser, mais surtout dès le début , elle avait su quil allait la fécondait et que cette sensation avait été présente à chaque fois , pendant le séjour et encore plus la dernière nuit avec lui.
« Pendant les séjours que tu as fait ici, trois je crois, cétait le même scenario et tu as appartenu seulement à eux , ou aussi aux autres ? »
« oui à chaque fois , je me suis offerte au sorcier, le seul qui me donnait cette sensation de fécondation, mais aussi, selon la coutume, jai accepté de me faire couvrir par tous ceux qui lon voulu, y compris, mon guide, et ce alors que Phil pouvait me voir ; par contre cest le seul que jai aimé et que jaime toujours, même si je me sens envoutée totalement par le sorcier ; mais il le sait »
*****Mico
Ma fille se blottie à nouveau contre moi et sa main se promène sur mon ventre, encore plein de semence ; son contact me fait frissonner ; ce nest pas la première fois quune femme me caresse , mais là, ma sensibilité est encore acerbée et je la laisse faire ; je sais quelle a eu des aventures avec ses amies, elle ne sen ai pas caché, mais je ne sais ses intentions ; quand sa main remonte jusquà mes seins, elle découvre des tétons tendus, encore douloureux de la nuit, mais aussi qui réagissent à ses caresses ; quand sa main redescend vers mon pubis, jessaie de la bloquer, mais elle nen tiens pas compte et un doigts vient me titiller le clito , puis eux doigts sinfiltrent entre mes lèvres ; je ne résiste pas et soumise, jécarte ms cuisses, lui facilitant le passage.
« tu veux maman ? » je ne peux répondre mais main appuie sur la sienne, confirmant mon consentement et alors quune main , finalement très experte, me fouille le vagin, je mempare de ses seins que je mordille, ce qui déclenche un oh oui de sa part. rapidement sa petite main est en moi, et elle me fiste, ses doigts tourbillonnant dans ma chatte ;je me laisse faire et cest alors que je découvre que Phil est de retour et quil nous observe, la tige bandée ; silencieusement, il se place derrière Béa et doucement , il sinfiltre dans sa cavité ; me fixant amoureusement , elle ne bronche pas, et encaisse la pénétration, tout en continuant à me fister ,me faisant jouir sans aucun doute sous leffet de ses doigts , mais surtout je pense en réalisant lévolution de nos rapports ; Phil ne tarde pas lui non plus à juter , encouragé par Béa qui lencourage pour quil jute en elle.
Alors que nous reprenons nos esprits, elle sassoie en tailleur, faisant bailler sa petite grotte dégoulinante et nous prenant la main, elle sadresse à moi :
« je vais peut-être vous choquer, mais puisque je suis issue partiellement de cette tribut, je veux être comme toutes les autres, cest-à-dire offerte , comme toi Mico ; je veux quils me possèdent, et connaitre le plaisir de me faire prendre devant tout le monde »
Jessaie de lui expliquer que si elle accepte cette intronisation, elle devra sans aucun doute subir les assauts des autres hommes, sans quelle puisse se refuser. Sa réponse ne nous laisse aucun espoir ; « tout comme toi, jai envie que Phil me voie prise devant lui, me voir jouir, tout en sachant que comme toi, je naime que lui et quil pourra dorénavant me faire lamour quand il le voudra avec ton accord bien sur. Je te laisse faire le nécessaire pour que ce réalise mon envie
Un peu plus tard, je rejoins le guide et je lui transmets le désir de ma fille ; puis subitement, je repense à la présence du jeune dans la nuit, lui demandant son origine. Ses explications me laissent clouée de stupeur.
« À priori, cest le résultat dune jeune femme, devenue maintenant la femme du chef ; elle aurait eu des relations avec un homme blanc, lors de son séjours ici, mais à lépoque , je nétais pas leur guide officiel et je nen sais pas plus »
« quel âge a-t-il ? 17 18 ans pas plus » je réalise alors que très certainement, Phil est très certainement son père, qui lui aussi pendant notre premier séjour, avait eu des relations, surtout avec une jeune fille quil avait dépucelé le soir de mon intronisation.
La proposition de Béa a été sans doute très appréciée car le guide me signifie que ce sera pour le lendemain. La journée se passe en activités boulots ; je réunis les éléments nécessaires à mon étude, mais lesprit ny est pas et je dois me concentrer pour faire du bon boulot ; tous ces évènements remontent à mon esprit : ma fille sous les assauts de Phil, la découverte de lorigine de mon jeune amant, mais aussi lenvie de Béa de vivre « laventure » de cette soirée. Finalement, cest assez tard que je reviens à la case commune ; la nuit étant tombée, les femmes peuvent soit soffrir, soit subir les assauts des hommes du tribut, mais aussi celle de Phil. Le breuvage que nous ingurgitons tous les jours favorisent son excitation et ses érections, et cest en levrette que je le découvre, possédant une jeune indigène et à en croire lexpression de celle-ci, il la besogne pour leur plus grand plaisir.
Je cherche Béa des yeux , mais je ne la découvre pas ; cest alors que le guide vient réclamer sa récompense pour ses démarches ; avec lui pas de fioritures, pas de préliminaires, non simplement une saillie, qui malgré tout mamène à une complète jouissance. Le breuvage agit aussi sur moi, et ma chatte est vite pleine de cyprine et du fluide de mon pourfendeur. Phil qui vient de quitter sa jeune maitresse dun soir me regarde, le visage serein ; je sais quil aime me savoir sous lemprise de ces hommes, mais aussi Béa qui sans que nous le sachions a ,sans aucun doute , assister à nos échanges ; assise en tailleur, elle se caresse , les doigts enfoncés dans la chatte, puis revenant vers nous, elle nous embrasse tendrement et avec candeur elle nous dit : « jai hâte dêtre à demain et pouvoir comme vous faire lamour librement »
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Après le repas et léternelle boisson aphrodisiaque, à la nuit tombante, le village se prépare à la cérémonie ; selon leur coutumes, toutes les femmes sont totalement nues, les pointes de seins revêtues de la couleur rouge signe doffrande ; seules les pubères nen ont pas ; pour les hommes, un simple pagne qui le plus souvent ne cache rien, tellement leurs sexes sont très importants, dautant plus que certains bandent déjà partiellement. Il en est de même pour nous ; une femme est venue soccuper de la préparation de Béa et en meme temps ma colorié les tétons, signe que je suis disponible.
Soudain brouhaha ; cest lentrée de Béa dans le théâtre ; jen ai lhabitude et comme moi, elle est allongée sur la couche, offerte à tous les regards ; les hommes sont de plus en plus excités ; enfin le moment arrive ; contrairement aux séances que jai connu, cest le marabout qui sort en premier, accompagné de sa femme et du jeune homme ; je constate quelle aussi à les seins peints, elle sera donc offerte à un homme ; il sapproche de nous et il place sa femme à coté de Phil et le jeune à côté de moi ; puis il retourne dans sa case, alors que le chef, paré de ses atours, savance vers la couche.
Une ovation salue la pénétration de son sexe dans la chatte fraichement dépucelée ; même si le passage a été fait plusieurs fois par Phil, il nen reste pas moins que le sexe, gonflé par le breuvage doit lui écarteler les parois ; dailleurs un premier gémissement bruyant de Béa traduit cette saillie brutale et puissante ; il la possède avec vigueur, sans ménagement et Béa , les jambes accrochées autour du corps de ce premier amant, soffre complètement ; il ne peut la comprendre, mais doù nous sommes nous lentendons très bien réclamer cette soumission. Sous la friction de la saillie, ses lèvres, es par la bite qui la domine sont devenues rouges et à chaque fois quil se retire partiellement, il est facile de deviner sa jouissance car sa cyprine sécoule sur ses cuisses. Soudain il se cambre fièrement, poussant un cri aigu ; Béa doit recevoir les jets dans sa grotte ; puis il se retire, montrant triomphant le filet de sperme qui le relie encore à la vulve béante, puis un flot de semence sécoule entre les cuisses écartelée.
Pour moi, à lappréhension se mêle lexcitation ; dautant plus que le jeune bande comme un cerf ; si je me souviens de son gabarit quand il ma possédé , surtout quand il ma sodomisé, jai la vue tout près de moi de son mandrin : sans doute plus de 25 cm et au moins 6 dépais ; il a posé sa main sur ma cuisse, tout près de ma chatte ; cest à ce moment que je maperçois que la femme à coté de Phil, lui enserre la queue, et que lui aussi à la mains entre ses cuisses ;une décharge me traverse et le regardant dans les yeux, jappuie sur la main qui me caresse pour quelle sinfiltre entre mes lèvres.
Cest à se moment que le marabout fait son entrée, pavanant devant elle, fier, viril ; en effet sa queue pratiquement parallèle à son corps tressaute dexcitation ; lui aussi est bien membré ; se penchant sur le corps offert, il frotte son gland sur les tétons, puis il le présente à lentrée de la grotte, le frotte sur elle, et se retournant devant ses sujets, il leur montre le gland devenu rouge ; une exclamation envahie gronde et alors quil se présente entre les lèvres ouvertes, les hommes se mettent à crier ;la tige est entrée dune seule traite ; un oh de surprise se lit sur les lèvres de la possédée, mais elle na pas le temps de réagir quil commence à la pilonner furieusement de longue minutes, avant de changer de rythme plusieurs fois de suite ; Béa jouit, les yeux révulsés, elle se cambre , à la recherche de ce membre, qui fait delle une femme de la tribu. Il va ainsi la posséder longuement, la faisant jouir plusieurs fois, pour lui-même lengrosser au moins deux fois, avec toujours le même cérémonial, avant de se retirer dans sa case avec elle ; quand elle passe près de nous, il est facile de voir quelle est rayonnante, prête à se livrer , pour une bonne partie de la nuit à son maitre.
Autour de nous plusieurs hommes possèdent, debout soit leur femme, mais plus certainement une conquête ; la fidélité nest pas leur choix et une femme doit accepter toute pénétration ; cest leur réglé et cela a été valable pour moi et ce sera le cas pour Béa, le reste de notre séjour.
Le membre que je branle et la main qui maintenant me fouille font monter une vague de plaisir ; je sais quil va mavoir pour lui, et jen ai envie. A côté de moi, les événements sont beaucoup plus avancés car la femme sest branchée, assise sur la queue bandée de Phil, face à lui, accrochée à ses épaules elle caracole sur son ventre. je ne pense pas quil ai reconnu la jeune femme quil a engrossé (en 18 ans elle a beaucoup changé sans doute) et encore moins que le jeune (nom imprononçable pour moi, je dirais Jo) , qui vient de me mettre à genoux et qui enfile son mandrin dans mon con est très certainement son fils. Avant de me laisser totalement aller au plaisir qui va me ravager, je réalise que très certainement, cette situation est le fruit du vouloir du sorcier.
La tige virile de Jo vient de écarter les parois de mon vagin ; distendues par la grosseur de son sexe , mes lèvres sécartent difficilement ; même dilatée, il nen reste pas moins que son chibre est énorme, gonflé de sang, le gland rouge est décalotté ,hypertrophié, sans doute aussi alimenté par la drogue que nous avons bu avant la cérémonie ; pour moi, seul compte la jouissance de cette possession, devant mon homme et aussi devant les autres hommes de la tribu : le rouge sur la pointe de mes seins leur accordent tous les droits et je sais quils me possèderont dès que je serais disponible. Pour linstant je prends mon plaisir, alors quil me pénètre profondément, son gland touchant à chaque poussée le fond de ma matrice, déclenchant de multi vagues de jouissance, pratiquement en continue.
A côté de moi, Phil lui aussi a enfilé en levrette la femme quil a déjà fécondée ; elle soffre elle aussi sans complexe ,jouissant bruyamment, dautant plus que son pourfendeur est à ses petits soins ( généralement, lors de ces rituels sont enfilées rapidement, se faisant remplir de sperme sans que lhomme pense à leur plaisir) là ce nest pas le cas ; Phil ardant comme la braise, alterne puissance et douceur, à lécoute de son plaisir. Comme moi, Jo peut voir sa mère se faire prendre par un blanc et assister à ses cris de jouissance ; ce qui lui le rend encore plus dominateur.
Ce soir-là, contrairement aux habitudes, je nai pas connu dautres hommes que Jo ; nous entrainant vers la case, il nous a fait comprendre que nous étions uniquement pour eux ; et en effet, après nous avoir fait à nouveau boire, nous avons repris nos jeux ; cétait la première fois que je voyais Phil aussi performant, car tout comme son fils, ses ardeurs ont fait jouir plusieurs fois sa compagne, alors que moi, jétais sous la maitrise de son fils ; quel amant, même sil ne pratiquait aucun préliminaire, il ma fait jouir une partie de la nuit et de nouveau sur le matin, sa possession a été de nouveau dévastatrice pour moi, tellement il a su me transporter vers le nirvana. Phil lui nétait plus avec sa compagne ; comme la tradition du clan le permet, il avait changé de femme , peut être plusieurs fois.
Cest alors que jai découvert Béa, prise par un bel indigène, les cuisses écartées, soffrant sans réserve au mâle. Il est évident quelle a assisté à nos saillies et quelle-même en a profité ; .
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Béa
Difficile de traduire mes sensations lorsque je me suis fait prendre par le chef devant la tribut et devant mes parents, en dehors de ma jouissance dêtre femme , digne de mes origines ; par contre, lorsque le sorcier ma possédé farouchement, dès lentrée de son vit dans ma grotte, jai ressenti une étrange sensation . mon ventre souvrait à une vague de chaleur, mais surtout limpression que jallais procréer ; jattendais quil mengrosse et ses deux éjaculations mont apporté limpression que je devenais grosse ; javais envie quil me remplisse et quand il ma emmené vers sa case, jai vu le regard de ma mère , prise par le jeune indigène ; elle savait ce que je ressentais :la meme chose quelle il y a 20 ans ;
Je lui ai appartenu plusieurs fois ; il semblait infatigable et toujours bandant ; à chaque fois quil ma fécondé, mon corps souvrait, recevais sa semence, mon vagin accueillant son sperme comme une graine pouvant germer. Par contre, à linverse de ma mère qui, daprès elle, était déterminée à soffrir sans réserve , pour moi, ce nétait quune initiation. Quand mon esprit vagabondait, entre deux jouissance, cétait vers un jeune indigène, celui que je venais de voir entre les cuisses de ma mère que je pensais ;Je savais quil serais mon vrai amant.
Sur le matin, alors que jétais de retour dans la case commune, ce que je découvris, ma mis un sentiment de jalousie. Mon père prenait une jeune femme en levrette, alors que ma mère gémissait sous les coups de butoirs de Jo. Les deux hommes dont javais envie prenait leurs plaisirs devant moi Mais la tradition ma rattrapé et deux mâles, bien fournis mont chevauché, sans déclencher beaucoup de plaisir ; ils me possédaient, mais mon esprit était ailleurs.
La journée a été calme, mes parents préparant le départ en regroupant tous les documents nécessaires à cette dernière étude ; pour moi, récupération de mes épreuves de la nuit. Alors que les hommes revenaient de leurs travaux, jai aperçu mon espoir ; mon ventre sest vide humidifié ; javais envie de lui, moffrir sans réserve, mais aussi lui faire découvrir mes envies et mon savoir.je navais quune peur, à savoir quil accapare ma mère ; le seule façon de lempêcher était de me confier à elle ; sans honte, et très déterminée, jai profité de la fin du repas pour lentretenir de mon envie ;
« je sais quil va vouloir encore te saillir ; je crois en savoir la raison, mais je voudrais que cette nuit il mappartienne ; avant de partir ,je veux le sentir dans mon ventre, je veux quil me possède, quil me prenne comme il ta pris cette nuit ; je sais quil ta sodomisé, et comme je me suis offerte à Phil, je veux moffrir à Jo ; alors sil te plait, aide moi » un sourire sur les lèvres de ma Mico :
« tu es bien la fille de ta mère ; nous avons les mêmes désirs, la même envie des hommes et bien sur je te le laisse , comme je vais te laisser faire lamour à Phil à notre retour. Et je crois que nous devons avoir une petite discussion pour organiser notre vie à trois de retour à la maison » et tendrement, elle dépose un baiser sur mes lèvres ; lui prenant la tête à deux main, je prolonge ce baiser, ma langue se faufilant entre les siennes ; « tu sais, jai envie de toi aussi et si tu es daccord jaimerai aussi faire lamour avec toi » puis tel un cabri elle sest envolée.
Finalement, je nai eu aucun mal à conquérir Jo ; javais compris que le rouge sur les pointes de sein signifiais que la femme est disponible et quand il est revenu à la case, je me suis enduit devant lui de ce rouge provocateur. Il a vite compris et me prenant par la main, il ma tiré dans une petite case , apparemment vide ; son pagne sest vite redressé, prouvant sa puissante érection et il a voulu me prendre ; je me suis reculée et lui agrippant le mandrin, jai déposé mes lèvres sur le gland décalotté ; une décharge a du lui traversé le corps car sa tige sous mes lèvres sest arque-bouté et il a voulu se retirer ; mais javais décidé de lui montrer aussi mon pouvoir sur les hommes et lui accrochant son bassin, jai englouti le gland puis doucement le reste de sa tige ; si avant darriver , jétais vierge, il nen reste pas moins que javais plusieurs fois sucer un homme , pour lamener à la jouissance et ce soir, je voulais quil me remplisse de sa semence, et ce par tous mes orifices ; il me ma pas fallu longtemps avant que je sente sa queue grossir et lempêchant de se retirer, jai reçu son flot de sperme dans la bouche, alors que je sentais ma chatte déborder de cyprine.
Il a vite repris le contrôle, et me jetant sur le sol, la tige toujours bandée, il ma possédée dune seule poussée ; jétais enfin à lui et pour mieux le recevoir , jécartais mes cuisses, lui offrant la possibilité dune pénétration profonde ; à chaque poussée, je sentais ses couilles taper sur mon sillon ; son mandrin, gonflé, tendu me perforait , mélargissait les parois ; si lors de mon initiation, javais écartelé, là cétait un autre plaisir car je lavais voulu ; je voulais être sa femme, quil me remplisse, quil me pourfende, et quil me remplisse de sa semence ;
Puissant il létait et me changeant de position , à son gré, il ma baisée longuement, ma jouissance devant sentendre aux alentours. Alors que je venais de jouir pour la énième fois, son gland sest posé sur mon sillon , luisant de sécrétions commune et memprisonnant dans ses bras , il a commencé à pousser sur lanneau, certes déjà possédé, mais pas par un tel pieu ; quand il a franchi le passage , je nai pu retenir un cri de douleur, ce qui na eu aucun effet sur lui, bien au contraire ; javais voulu quil me sodomise et il allait en profiter. le conduit lui étant ouvert, il sest enfoncé dune puissante poussée augmentant encore plus la douleur. Petit à petit, alors que sa tige me pistonnait allègrement, le plaisir est revenu, alors que la douleur diminuait ; jétais à lui, écartant mes lobes fessiers pour quil puisse me prendre plus profondément, et il en a profité avant de se rependre par de forts jets dans mon cul.
Je suis restée avec lui toute la nuit et il ma possédé à sa volonté, sur de sa puissance, me prenant la chatte ou le cul, pour son plaisir, mais aussi pour le mien ; jétais sa chose pour lui, pour moi, jétais une femme soffrant pleinement. Quand au matin, jai retrouvé mes parents, inquiets de me pas mavoir vu de la nuit, je me suis blotti dans leurs bras
« maintenant, je suis à vous, je vous aime, et je veux participer à vos jeux, être votre maitresse à tous les deux »
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