Bea Copie De Sa Mère Suite Et Fin

Béa suite


******Mico
Quand la femme est venue me chercher, je n’ai pu m’empêcher de regarder vers Phil et surtout Béa ; mes deux amours étaient serrés l’un contre l’autre et j’ai eu envie de renoncer ; mais le breuvage devait déjà faire son effet et mon ventre réclamait ce qui m’attendait.
La suite fut conforme à mes précédentes expériences. Si la possession vigoureuse et dominatrice du chef m’a transporté aussitôt vers le plaisir, j’attendais en réalité celle du marabout ; j’avais envie de retrouver cette sensation déjà ressentie : celle que mon corps lui appartenait et qu’il pourrait m’engrosser comme il le voulait ; et je ne fus pas déçue.
A peine ses mains se sont posées sur moi que je me suis offerte, avançant mon bassin à la rencontre de la tige qui m’attirait et dès que le gland a franchi le passage de mes petites lèvres, mon corps a réclamé sa fécondation ; un fluide a transpercé mon ventre et les cuisses écartelées, je me suis offerte, oubliant l’entourage ; j’étais tout à lui, et il le savait , me prenant à son rythme, parfois doucement , alors que mon ventre réclamait force et profondeur, parfois violemment, son gland frappant alors le fond de ma matrice déclenchant des ondes de jouissances et mes cris ; devant l’assistance, il a jouit deux fois, se retirant juste avant le dernier jet pour montrer qu’il fécondait ; geste à chaque fois accompagné des cris des indigènes, sans doute fier de leur sorcier.
En nous dirigeant vers sa case, j’ai pu découvrir ma Béa, accolée à son père, me regardant les yeux brillants. A ce moment, j’ai compris leur complicité, mais aussi dans le regard de Béa, une lueur qui m’a fait un peu peur. Quand nous sommes arrivés dans la case, comme prévu, il m’a à nouveau possédé, me remplissant de sa semence pour la troisième fois , puis il a quitté la case ; à son retour, il était accompagné par un très jeune garçon, pas plus de 20 ans, et surprise, beaucoup plus clair de peau et les cheveux châtains.

Pas du tout un indigène du camps, par contre assez grand et surtout un sexe démesuré, bandé, dressé le long de son ventre ; je n’ai pas eu le temps d’y réfléchir plus , car sur signe de tête du sorcier, le jeune s’est jeté sur moi et m’écartant les jambes, d’une poussée, il s’est enfoncé en moi, pénétration certes favorisée par la semence dans mon ventre, mais malgré que mon vagin soit déjà très dilaté, mes parois se sont écartées avec difficulté.
Sous l’assaut, je n’ai pu retenir un gémissement de douleur, mais très vite de plaisir ; en effet son vit me remplissait toute la chatte, écartelant mes lèvres, son gland percutant le fond de mon vagin ; jeune , mais très expérimenté manifestement car il a pris possession de mon corps, me faisant jouir à sa façon, jouant avec sexe pour me défoncer, m’amenant très rapidement à une puissante jouissance ; sur son visage, je pouvais constater sa détermination , sa satisfaction de me tenir à sa disposition et sa fierté de faire jouir ainsi une étrangère.
Non seulement, il a fait de moi ce qu’il voulait, une salope s’offrant sans réserve , jouissance en continue sous ses assauts, mais aussi pour la première fois de la journée, il m’a sodomisé, perforant mon anneau, qui même s’il est habitué à s’ouvrir sous les assauts de phil, là le diamètre n’était pas le même et quand son gland a distendu le dernier passage, je n’ai pas pu retenir un horrible cri de douleur ; pour lui, aucun répit et sans tenir compte de ma douleur, il s’est mis à me pistonner puissamment ; sa queue me pourfendait, s’enfonçant dans mon conduit, jusqu’à ce que ses couilles frappent ma chatte. Petit à petit, je me suis habituée à son calibre et une douce chaleur a alors parcouru mon ventre, avant de se transformer en cri de plaisir ; sodomisée, les seins triturés par des mains puissantes, je n’étais que jouissance, oubliant toutes mes réserves, heureuse d’être possédée pour la première fois par un très jeune garçon et cerise sur le cadeau, me faisant jouir comme un dieu Sa sodomie a duré longtemps, et quand il a juté dans mes entrailles, je n’étais plus qu’une loque, épuisée, mais comblée.
Comme il était arrivé, il s’est retiré et le marabout m’a fait comprendre que je pouvais partir.
Quand je suis revenu à notre case, je me suis arrêtée, surprise du tableau : au fond mon homme était en train de posseder Béa et à entendre leur jouissance sonore, j’ai vite compris le plaisir de deux . un peu déconcertée, je ne me suis pas montrée et j’ai attendu qu’ils s’endorment, après que Béa est embrassée phil amoureusement. Ce n’est qu’après que je me suis glissée sur ma couche, déconcertée. de l’autre coté de mon mari, reposait Béa, offerte, les cuisses écartées, luisantes de secrétions et maculées de traces sanguinolentes.

**** Bea
Quand je me suis réveillée, Phil n’étais plus à coté de moi et je suis restée un petit moment sur le dos, me remémorant les doux moments de la nuit. Ma chatte était encore sensible et mon ventre était encore plein de la semence de celui à qui j’avais offert ma virginité. Sur me cuisses, des traces évidentes de mon dépucelage ; c’est à ce moment que j’ai découvert Maman me dévisageant.je me blottie aussitôt dans ses bras et puérilement je lui dis
« je suis heureuse, maintenant je suis une femme, je me suis offerte à phil et il m’a prise trois fois » je suis surprise par sa réponse
« je sais ma fille, je vous ai vu cette nuit, lorsque je suis revenue, et j’ai pu votre complicité et votre plaisir ; cela m’a surpris, mais je ne t’en veux pas »
« tu sais le fait de te voir te faire prendre devant nous, m’a donné envie d’être à ta place, mais avant, je voulais perdre ma virginité et pour moi, le seul homme a pouvoir le faire était phil. Je lui ai avoué que je voulais devenir comme les femmes de la tribut en me pliant aux coutumes, mais aussi lorsque je t’entendais jouir, j’avais le ventre en feu ; je crois que je suis comme toi ; et de savoir que c’est ainsi que j’ai été conçue, m’ a donné envie d’être à ta place. »
« tu en as vraiment envie, car ce n’est pas sans risque, certes tu es majeur, mais nous n’avons pas envie de te voir te sacrifier »
« raconte- moi toi, ce que tu as ressenti pendant cette soirée et ce que tu es maintenant, cela m’aidera sans doute »
Maman me raconte en détail, à la fois son plaisir d’être possédée par plusieurs hommes, devant une assemblée ce qu’elle pratique parfois en France avec phil, mais surtout ce qui le fait que quand elle avait été prise la première fois par le sorcier, la sensation profonde dans son corps et dans sa tête, que non seulement elle se faisait baiser, mais surtout dès le début , elle avait su qu’il allait la fécondait et que cette sensation avait été présente à chaque fois , pendant le séjour et encore plus la dernière nuit avec lui.
Elle ne pouvait être affirmative mais dans sa chaire, elle en avait été assurée. »
« Pendant les séjours que tu as fait ici, trois je crois, c’était le même scenario et tu as appartenu seulement à eux , ou aussi aux autres ? »
« oui à chaque fois , je me suis offerte au sorcier, le seul qui me donnait cette sensation de fécondation, mais aussi, selon la coutume, j’ai accepté de me faire couvrir par tous ceux qui l’on voulu, y compris, mon guide, et ce alors que Phil pouvait me voir ; par contre c’est le seul que j’ai aimé et que j’aime toujours, même si je me sens envoutée totalement par le sorcier ; mais il le sait »

*****Mico
Ma fille se blottie à nouveau contre moi et sa main se promène sur mon ventre, encore plein de semence ; son contact me fait frissonner ; ce n’est pas la première fois qu’une femme me caresse , mais là, ma sensibilité est encore acerbée et je la laisse faire ; je sais qu’elle a eu des aventures avec ses amies, elle ne s’en ai pas caché, mais je ne sais ses intentions ; quand sa main remonte jusqu’à mes seins, elle découvre des tétons tendus, encore douloureux de la nuit, mais aussi qui réagissent à ses caresses ; quand sa main redescend vers mon pubis, j’essaie de la bloquer, mais elle n’en tiens pas compte et un doigts vient me titiller le clito , puis eux doigts s’infiltrent entre mes lèvres ; je ne résiste pas et soumise, j’écarte ms cuisses, lui facilitant le passage.
« tu veux maman ? » je ne peux répondre mais main appuie sur la sienne, confirmant mon consentement et alors qu’une main , finalement très experte, me fouille le vagin, je m’empare de ses seins que je mordille, ce qui déclenche un oh oui de sa part. rapidement sa petite main est en moi, et elle me fiste, ses doigts tourbillonnant dans ma chatte ;je me laisse faire et c’est alors que je découvre que Phil est de retour et qu’il nous observe, la tige bandée ; silencieusement, il se place derrière Béa et doucement , il s’infiltre dans sa cavité ; me fixant amoureusement , elle ne bronche pas, et encaisse la pénétration, tout en continuant à me fister ,me faisant jouir sans aucun doute sous l’effet de ses doigts , mais surtout je pense en réalisant l’évolution de nos rapports ; Phil ne tarde pas lui non plus à juter , encouragé par Béa qui l’encourage pour qu’il jute en elle.

Alors que nous reprenons nos esprits, elle s’assoie en tailleur, faisant bailler sa petite grotte dégoulinante et nous prenant la main, elle s’adresse à moi :
« je vais peut-être vous choquer, mais puisque je suis issue partiellement de cette tribut, je veux être comme toutes les autres, c’est-à-dire offerte , comme toi Mico ; je veux qu’ils me possèdent, et connaitre le plaisir de me faire prendre devant tout le monde »
J’essaie de lui expliquer que si elle accepte cette intronisation, elle devra sans aucun doute subir les assauts des autres hommes, sans qu’elle puisse se refuser. Sa réponse ne nous laisse aucun espoir ; « tout comme toi, j’ai envie que Phil me voie prise devant lui, me voir jouir, tout en sachant que comme toi, je n’aime que lui et qu’il pourra dorénavant me faire l’amour quand il le voudra avec ton accord bien sur. Je te laisse faire le nécessaire pour que ce réalise mon envie
Un peu plus tard, je rejoins le guide et je lui transmets le désir de ma fille ; puis subitement, je repense à la présence du jeune dans la nuit, lui demandant son origine. Ses explications me laissent clouée de stupeur.
« À priori, c’est le résultat d’une jeune femme, devenue maintenant la femme du chef ; elle aurait eu des relations avec un homme blanc, lors de son séjours ici, mais à l’époque , je n’étais pas leur guide officiel et je n’en sais pas plus »
« quel âge a-t-il ? 17 18 ans pas plus » je réalise alors que très certainement, Phil est très certainement son père, qui lui aussi pendant notre premier séjour, avait eu des relations, surtout avec une jeune fille qu’il avait dépucelé le soir de mon intronisation.


La proposition de Béa a été sans doute très appréciée car le guide me signifie que ce sera pour le lendemain. La journée se passe en activités boulots ; je réunis les éléments nécessaires à mon étude, mais l’esprit n’y est pas et je dois me concentrer pour faire du bon boulot ; tous ces évènements remontent à mon esprit : ma fille sous les assauts de Phil, la découverte de l’origine de mon jeune amant, mais aussi l’envie de Béa de vivre « l’aventure » de cette soirée. Finalement, c’est assez tard que je reviens à la case commune ; la nuit étant tombée, les femmes peuvent soit s’offrir, soit subir les assauts des hommes du tribut, mais aussi celle de Phil. Le breuvage que nous ingurgitons tous les jours favorisent son excitation et ses érections, et c’est en levrette que je le découvre, possédant une jeune indigène et à en croire l’expression de celle-ci, il la besogne pour leur plus grand plaisir.
Je cherche Béa des yeux , mais je ne la découvre pas ; c’est alors que le guide vient réclamer sa récompense pour ses démarches ; avec lui pas de fioritures, pas de préliminaires, non simplement une saillie, qui malgré tout m’amène à une complète jouissance. Le breuvage agit aussi sur moi, et ma chatte est vite pleine de cyprine et du fluide de mon pourfendeur. Phil qui vient de quitter sa jeune maitresse d’un soir me regarde, le visage serein ; je sais qu’il aime me savoir sous l’emprise de ces hommes, mais aussi Béa qui sans que nous le sachions a ,sans aucun doute , assister à nos échanges ; assise en tailleur, elle se caresse , les doigts enfoncés dans la chatte, puis revenant vers nous, elle nous embrasse tendrement et avec candeur elle nous dit : « j’ai hâte d’être à demain et pouvoir comme vous faire l’amour librement »

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Après le repas et l’éternelle boisson aphrodisiaque, à la nuit tombante, le village se prépare à la cérémonie ; selon leur coutumes, toutes les femmes sont totalement nues, les pointes de seins revêtues de la couleur rouge signe d’offrande ; seules les pubères n’en ont pas ; pour les hommes, un simple pagne qui le plus souvent ne cache rien, tellement leurs sexes sont très importants, d’autant plus que certains bandent déjà partiellement. Il en est de même pour nous ; une femme est venue s’occuper de la préparation de Béa et en meme temps m’a colorié les tétons, signe que je suis disponible.
Soudain brouhaha ; c’est l’entrée de Béa dans le théâtre ; j’en ai l’habitude et comme moi, elle est allongée sur la couche, offerte à tous les regards ; les hommes sont de plus en plus excités ; enfin le moment arrive ; contrairement aux séances que j’ai connu, c’est le marabout qui sort en premier, accompagné de sa femme et du jeune homme ; je constate qu’elle aussi à les seins peints, elle sera donc offerte à un homme ; il s’approche de nous et il place sa femme à coté de Phil et le jeune à côté de moi ; puis il retourne dans sa case, alors que le chef, paré de ses atours, s’avance vers la couche.
Une ovation salue la pénétration de son sexe dans la chatte fraichement dépucelée ; même si le passage a été fait plusieurs fois par Phil, il n’en reste pas moins que le sexe, gonflé par le breuvage doit lui écarteler les parois ; d’ailleurs un premier gémissement bruyant de Béa traduit cette saillie brutale et puissante ; il la possède avec vigueur, sans ménagement et Béa , les jambes accrochées autour du corps de ce premier amant, s’offre complètement ; il ne peut la comprendre, mais d’où nous sommes nous l’entendons très bien réclamer cette soumission. Sous la friction de la saillie, ses lèvres, es par la bite qui la domine sont devenues rouges et à chaque fois qu’il se retire partiellement, il est facile de deviner sa jouissance car sa cyprine s’écoule sur ses cuisses. Soudain il se cambre fièrement, poussant un cri aigu ; Béa doit recevoir les jets dans sa grotte ; puis il se retire, montrant triomphant le filet de sperme qui le relie encore à la vulve béante, puis un flot de semence s’écoule entre les cuisses écartelée.
Pour moi, à l’appréhension se mêle l’excitation ; d’autant plus que le jeune bande comme un cerf ; si je me souviens de son gabarit quand il m’a possédé , surtout quand il m’a sodomisé, j’ai la vue tout près de moi de son mandrin : sans doute plus de 25 cm et au moins 6 d’épais ; il a posé sa main sur ma cuisse, tout près de ma chatte ; c’est à ce moment que je m’aperçois que la femme à coté de Phil, lui enserre la queue, et que lui aussi à la mains entre ses cuisses ;une décharge me traverse et le regardant dans les yeux, j’appuie sur la main qui me caresse pour qu’elle s’infiltre entre mes lèvres.
C’est à se moment que le marabout fait son entrée, pavanant devant elle, fier, viril ; en effet sa queue pratiquement parallèle à son corps tressaute d’excitation ; lui aussi est bien membré ; se penchant sur le corps offert, il frotte son gland sur les tétons, puis il le présente à l’entrée de la grotte, le frotte sur elle, et se retournant devant ses sujets, il leur montre le gland devenu rouge ; une exclamation envahie gronde et alors qu’il se présente entre les lèvres ouvertes, les hommes se mettent à crier ;la tige est entrée d’une seule traite ; un oh de surprise se lit sur les lèvres de la possédée, mais elle n’a pas le temps de réagir qu’il commence à la pilonner furieusement de longue minutes, avant de changer de rythme plusieurs fois de suite ; Béa jouit, les yeux révulsés, elle se cambre , à la recherche de ce membre, qui fait d’elle une femme de la tribu. Il va ainsi la posséder longuement, la faisant jouir plusieurs fois, pour lui-même l’engrosser au moins deux fois, avec toujours le même cérémonial, avant de se retirer dans sa case avec elle ; quand elle passe près de nous, il est facile de voir qu’elle est rayonnante, prête à se livrer , pour une bonne partie de la nuit à son maitre.
Autour de nous plusieurs hommes possèdent, debout soit leur femme, mais plus certainement une conquête ; la fidélité n’est pas leur choix et une femme doit accepter toute pénétration ; c’est leur réglé et cela a été valable pour moi et ce sera le cas pour Béa, le reste de notre séjour.
Le membre que je branle et la main qui maintenant me fouille font monter une vague de plaisir ; je sais qu’il va m’avoir pour lui, et j’en ai envie. A côté de moi, les événements sont beaucoup plus avancés car la femme s’est branchée, assise sur la queue bandée de Phil, face à lui, accrochée à ses épaules elle caracole sur son ventre. je ne pense pas qu’il ai reconnu la jeune femme qu’il a engrossé (en 18 ans elle a beaucoup changé sans doute) et encore moins que le jeune (nom imprononçable pour moi, je dirais Jo) , qui vient de me mettre à genoux et qui enfile son mandrin dans mon con est très certainement son fils. Avant de me laisser totalement aller au plaisir qui va me ravager, je réalise que très certainement, cette situation est le fruit du vouloir du sorcier.
La tige virile de Jo vient de écarter les parois de mon vagin ; distendues par la grosseur de son sexe , mes lèvres s’écartent difficilement ; même dilatée, il n’en reste pas moins que son chibre est énorme, gonflé de sang, le gland rouge est décalotté ,hypertrophié, sans doute aussi alimenté par la drogue que nous avons bu avant la cérémonie ; pour moi, seul compte la jouissance de cette possession, devant mon homme et aussi devant les autres hommes de la tribu : le rouge sur la pointe de mes seins leur accordent tous les droits et je sais qu’ils me possèderont dès que je serais disponible. Pour l’instant je prends mon plaisir, alors qu’il me pénètre profondément, son gland touchant à chaque poussée le fond de ma matrice, déclenchant de multi vagues de jouissance, pratiquement en continue.
A côté de moi, Phil lui aussi a enfilé en levrette la femme qu’il a déjà fécondée ; elle s’offre elle aussi sans complexe ,jouissant bruyamment, d’autant plus que son pourfendeur est à ses petits soins ( généralement, lors de ces rituels sont enfilées rapidement, se faisant remplir de sperme sans que l’homme pense à leur plaisir) là ce n’est pas le cas ; Phil ardant comme la braise, alterne puissance et douceur, à l’écoute de son plaisir. Comme moi, Jo peut voir sa mère se faire prendre par un blanc et assister à ses cris de jouissance ; ce qui lui le rend encore plus dominateur.

Ce soir-là, contrairement aux habitudes, je n’ai pas connu d’autres hommes que Jo ; nous entrainant vers la case, il nous a fait comprendre que nous étions uniquement pour eux ; et en effet, après nous avoir fait à nouveau boire, nous avons repris nos jeux ; c’était la première fois que je voyais Phil aussi performant, car tout comme son fils, ses ardeurs ont fait jouir plusieurs fois sa compagne, alors que moi, j’étais sous la maitrise de son fils ; quel amant, même s’il ne pratiquait aucun préliminaire, il m’a fait jouir une partie de la nuit et de nouveau sur le matin, sa possession a été de nouveau dévastatrice pour moi, tellement il a su me transporter vers le nirvana. Phil lui n’était plus avec sa compagne ; comme la tradition du clan le permet, il avait changé de femme , peut être plusieurs fois.
C’est alors que j’ai découvert Béa, prise par un bel indigène, les cuisses écartées, s’offrant sans réserve au mâle. Il est évident qu’elle a assisté à nos saillies et qu’elle-même en a profité ; .
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Béa
Difficile de traduire mes sensations lorsque je me suis fait prendre par le chef devant la tribut et devant mes parents, en dehors de ma jouissance d’être femme , digne de mes origines ; par contre, lorsque le sorcier m’a possédé farouchement, dès l’entrée de son vit dans ma grotte, j’ai ressenti une étrange sensation . mon ventre s’ouvrait à une vague de chaleur, mais surtout l’impression que j’allais procréer ; j’attendais qu’il m’engrosse et ses deux éjaculations m’ont apporté l’impression que je devenais grosse ; j’avais envie qu’il me remplisse et quand il m’a emmené vers sa case, j’ai vu le regard de ma mère , prise par le jeune indigène ; elle savait ce que je ressentais :la meme chose qu’elle il y a 20 ans ;
Je lui ai appartenu plusieurs fois ; il semblait infatigable et toujours bandant ; à chaque fois qu’il m’a fécondé, mon corps s’ouvrait, recevais sa semence, mon vagin accueillant son sperme comme une graine pouvant germer. Par contre, à l’inverse de ma mère qui, d’après elle, était déterminée à s’offrir sans réserve , pour moi, ce n’était qu’une initiation. Quand mon esprit vagabondait, entre deux jouissance, c’était vers un jeune indigène, celui que je venais de voir entre les cuisses de ma mère que je pensais ;Je savais qu’il serais mon vrai amant.
Sur le matin, alors que j’étais de retour dans la case commune, ce que je découvris, m’a mis un sentiment de jalousie. Mon père prenait une jeune femme en levrette, alors que ma mère gémissait sous les coups de butoirs de Jo. Les deux hommes dont j’avais envie prenait leurs plaisirs devant moi Mais la tradition m’a rattrapé et deux mâles, bien fournis m’ont chevauché, sans déclencher beaucoup de plaisir ; ils me possédaient, mais mon esprit était ailleurs.
La journée a été calme, mes parents préparant le départ en regroupant tous les documents nécessaires à cette dernière étude ; pour moi, récupération de mes épreuves de la nuit. Alors que les hommes revenaient de leurs travaux, j’ai aperçu mon espoir ; mon ventre s’est vide humidifié ; j’avais envie de lui, m’offrir sans réserve, mais aussi lui faire découvrir mes envies et mon savoir.je n’avais qu’une peur, à savoir qu’il accapare ma mère ; le seule façon de l’empêcher était de me confier à elle ; sans honte, et très déterminée, j’ai profité de la fin du repas pour l’entretenir de mon envie ;
« je sais qu’il va vouloir encore te saillir ; je crois en savoir la raison, mais je voudrais que cette nuit il m’appartienne ; avant de partir ,je veux le sentir dans mon ventre, je veux qu’il me possède, qu’il me prenne comme il t’a pris cette nuit ; je sais qu’il t’a sodomisé, et comme je me suis offerte à Phil, je veux m’offrir à Jo ; alors s’il te plait, aide moi » un sourire sur les lèvres de ma Mico :
« tu es bien la fille de ta mère ; nous avons les mêmes désirs, la même envie des hommes et bien sur je te le laisse , comme je vais te laisser faire l’amour à Phil à notre retour. Et je crois que nous devons avoir une petite discussion pour organiser notre vie à trois de retour à la maison » et tendrement, elle dépose un baiser sur mes lèvres ; lui prenant la tête à deux main, je prolonge ce baiser, ma langue se faufilant entre les siennes ; « ‘tu sais, j’ai envie de toi aussi et si tu es d’accord j’aimerai aussi faire l’amour avec toi » puis tel un cabri elle s’est envolée.
Finalement, je n’ai eu aucun mal à conquérir Jo ; j’avais compris que le rouge sur les pointes de sein signifiais que la femme est disponible et quand il est revenu à la case, je me suis enduit devant lui de ce rouge provocateur. Il a vite compris et me prenant par la main, il m’a tiré dans une petite case , apparemment vide ; son pagne s’est vite redressé, prouvant sa puissante érection et il a voulu me prendre ; je me suis reculée et lui agrippant le mandrin, j’ai déposé mes lèvres sur le gland décalotté ; une décharge a du lui traversé le corps car sa tige sous mes lèvres s’est arque-bouté et il a voulu se retirer ; mais j’avais décidé de lui montrer aussi mon pouvoir sur les hommes et lui accrochant son bassin, j’ai englouti le gland puis doucement le reste de sa tige ; si avant d’arriver , j’étais vierge, il n’en reste pas moins que j’avais plusieurs fois sucer un homme , pour l’amener à la jouissance et ce soir, je voulais qu’il me remplisse de sa semence, et ce par tous mes orifices ; il me m’a pas fallu longtemps avant que je sente sa queue grossir et l’empêchant de se retirer, j’ai reçu son flot de sperme dans la bouche, alors que je sentais ma chatte déborder de cyprine.
Il a vite repris le contrôle, et me jetant sur le sol, la tige toujours bandée, il m’a possédée d’une seule poussée ; j’étais enfin à lui et pour mieux le recevoir , j’écartais mes cuisses, lui offrant la possibilité d’une pénétration profonde ; à chaque poussée, je sentais ses couilles taper sur mon sillon ; son mandrin, gonflé, tendu me perforait , m’élargissait les parois ; si lors de mon initiation, j’avais écartelé, là c’était un autre plaisir car je l’avais voulu ; je voulais être sa femme, qu’il me remplisse, qu’il me pourfende, et qu’il me remplisse de sa semence ;
Puissant il l’était et me changeant de position , à son gré, il m’a baisée longuement, ma jouissance devant s’entendre aux alentours. Alors que je venais de jouir pour la énième fois, son gland s’est posé sur mon sillon , luisant de sécrétions commune et m’emprisonnant dans ses bras , il a commencé à pousser sur l’anneau, certes déjà possédé, mais pas par un tel pieu ; quand il a franchi le passage , je n’ai pu retenir un cri de douleur, ce qui n’a eu aucun effet sur lui, bien au contraire ; j’avais voulu qu’il me sodomise et il allait en profiter. le conduit lui étant ouvert, il s’est enfoncé d’une puissante poussée augmentant encore plus la douleur. Petit à petit, alors que sa tige me pistonnait allègrement, le plaisir est revenu, alors que la douleur diminuait ; j’étais à lui, écartant mes lobes fessiers pour qu’il puisse me prendre plus profondément, et il en a profité avant de se rependre par de forts jets dans mon cul.
Je suis restée avec lui toute la nuit et il m’a possédé à sa volonté, sur de sa puissance, me prenant la chatte ou le cul, pour son plaisir, mais aussi pour le mien ; j’étais sa chose pour lui, pour moi, j’étais une femme s’offrant pleinement. Quand au matin, j’ai retrouvé mes parents, inquiets de me pas m’avoir vu de la nuit, je me suis blotti dans leurs bras
« maintenant, je suis à vous, je vous aime, et je veux participer à vos jeux, être votre maitresse à tous les deux »




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