Etudiant Drague Et Trouve Son Professeur...

Je veux vous faire partager un moment de ma vie qui reste gravé au fond de moi. J’avais 19 ans, étudiant en fac et mon petit ami, étudiant comme moi, était parti en vacances dans sa famille, aussi en ce debut d’aprés midi de juillet j’avais décidé de me trouver un mec pour le week end et, pourquoi pas pour l’ètè. J’allais donc m’asseoir en terrasse d’un bar où j’avais entendu dire que c’ètait un endroit de drague, j’ètais pas trés rassuré ni sûr de moi mais je verrais bien. J’avais avec moi un bloc de mots fléchés plus pour me donner une contenance que pour remplir les cases, je commandais un café et lorsque le serveur me l’apporta il me dit qu’il était offert par le monsieur de la table du fond. Je levais les yeux vers cette table et reconnaissais à ma grande honte un prof que je n’avais pas en cours mais que je croisais fréquemment, un eurasien d’une quarantaine d’années environ. Il s’approcha ausitôt avec sa tasse de café à la main et s’assit tout près de moi.
- Salut, tu parts pas en vacances?
- Non, je passe tout l’ètè ici
- Tu dragues?
Et tout en me posant cette question il me mit la main sur la cuisse en souriant. Je lui souris également, j’ètais vraiment mal à l’aise.
-J’habite juste derrière, dans cet immeuble que tu vois d’ici, viens donc prendre un verre et passer un bon moment avec moi. Il se leva et j’en fis de même.
A peine passé le hall d’entrée je me rendís compte qu’il s’agissait d’un immeuble de luxe, il me fit entrer dans l’ascenseur et appuya sur le bouton du 6e mais à peine l’ascenceur avait-il comencé à s’èlever qu’il poussa le bouton “arrêt”, me prit tout contre lui et m’embrassa fougueusement. A peine remis de ma surprise je lui rendís son baiser et nous nous embrassâmes fougueusement. “Tu embrasses bien” me dit-il en souriant tout en m’embrassant à nouveau et me passant la main sur les kouilles. Je me décontractais, je n’avais plus honte, ce type me plaisait. Je sentais sa queue se durcir contre ma jambe.

-Suce moi, me chuchota t-il à l’oreille.
-Ici? Je croyais avoir mal entendu
-Oui, ici. Les gens sont en vacances ou font la sieste. Et tout en me disant cela il dégrafa son pantalon d’où surgit une queue d’une belle taille. Il força sur mes épaules afin de me faire agenouiller et je le pris dans ma bouche aussitôt car je dois reconnaitre que cette situation m’excitait un max. Sa queue durcissait dans ma bouche, j’accélérais mes va et vient et j’entendais son souffle s’accélérer.
-Tu suces merveilleusement tu sais. Tu aimes ça pas vrai , ma petite salope?
-J’étais content de lui donner du plaisir, ça me rendait fou. Je lui léchais les boules, les prit toutes entieres dans ma bouche, il haletait, je devinais qu’il ètait prés de jouir et je repris sa queue dans ma bouche au moment où de légers coups se faisaient entendre à la `porte. Des gens appellaient l’ascenceur.
-Continue! Continue c’est trop bon ! Et il déchargea dans ma bouche une bonne giclée bien tiede, je le pompais encore et encore pendant qu’il me tenait la tête tout contre son bas ventre.
-Nous sommes bloqués en bas cria t-il et on n’arrive pas à le débloquer! Je me relevai et il remonta son pantalon.
-Ah, voilà, ça repart! Et tout en remettant le bouton en marche il m’embrassa à nouveau.
Arrivés chez lui je découvris un appart somptueux et en ordre. Il me servit un gin tonic , s’en servit un également et me fit asseoir sur un divan.
Il me questionna sur mon expérience avec les mecs, voulu savoir si j’avais un amant régulier et je lui mentis en lui disant que non. On prit nos verres et passâmes dans une grande chambre climatisée avec un fond de musique relaxante. Une fois nus, on s’embrassa et il me renversa dans le lit. Tout en continuant à nous embrasser il prit ma queue et la caressa longuement, j’en fis de même avec la sienne, j’avais une envie folle qu’il me prenne et me chevauche longuement. Aussi je pris l’initiative des operations, je me plaçai sur lui et lui léchai le cou, puis je pris ses tétons dans ma bouche, je l’entendai gémir doucement, je devinai qu’il se retenait mais le plaisir lui prenait le dessus, puis je continuai à descendre le long de son ventre tout en le léchant et je sentai sa queue se durcir contre moi, ses mains me tenaient les bras parfois avec force preuve que je lui procurai du plaisir et j’aimais ça. Lorsque je le pris dans ma bouche à nouveau je le sentís frissonner et je me retournais afin de lui présenter mes fesses. Aussitôt il mouilla ses doigts et commença à me caresser et à me dilater mon petit trou, j’ètais fou d’excitation, je voulais sa queue en moi et tout de suite. A present ses doigts avaient bien dilatè mon anus et sa queue dans ma bouche atteignait une taille que je voulais sentir tout au fond de moi.
-T’as envie de moi hein ma petite pute?
-Ouiiii, prends moi, maintenant. Défonce moi!
Il me retourna, se leva pour se placer au bord du lit afin d’avoir mes fesses à hauteur de sa queue et tout en me tenant fermement par les hanches entra en moi en douceur et entama aussitôt des va et vient qui me faisaient gémir de plaisir. A chaque coups ses boules fouettaient mes fesses et cela me rendait fou de plaisir.
-Tu aimes, pas vrai?
-Ouiii, ouii. Continue c’est trop bon!
-Tu es à moi à présent, ok! Tu m’appartiens et je suis ton maitre!
Non seulement il me limait à la perfection mais en plus il ajoutait les paroles pour m’exciter encore plus!
-Dis- moi que tu aimes, dis moi que tu es ma petite pute!
- Ouiii, je suis à toi! Baise-moi! Je suis ta pute!
J’ai joui deux ou trois fois, il m’a baisé durant vingt minutes au moins et c`ètait la première fois que ça durait si longtemps, j’adorai. Lorsqu’il a déchargé en moi j’ai dû hurler comme jamais, mon amant était merveilleux, j’ètais fou de bonheur. Il revint se placer près de moi et m’embrassa longuement puis en souriant il me dit:
-Tu es une vraie petite salope et je veux que tu sois rien qu’à moi pour toujours. D’accord?
-Oui, chéri. C’est bon nous deux.
-Mais, attends, ça ne fait que commencer…
On termina nos verres tout en discutant de sexe. Il voulait tout savoir de moi, comment et quand je m’ètais fait dépuceler, si javais fait des partouzes, si j’aimais aussi avec les filles, etc..
Puis on revint à la chambre et on s’enlaça longuement, j’étais bien avec lui. Il me mit sur le dos puis il me dit:
-Laisse moi faire et laisse toi faire.
Je n’eus pas le temps de répondre que déjà il avait ma queue dans sa bouche et me suçait tout en me malaxant les boules. Je me mis à bander fortement et à ce moment là il vint se placer sur moi et s’empala sur ma queue. C’ètait la premiere fois que je baisais un mec, je ne savais pas trop quoi faire mais je fis des mouvements come je pensais qu’il fallait faire. Bien vite je me rendís compte que j’avais vu juste, ma queue se faisait un chemin dans son petit trou bien serré aidée en cela par ses mouvements de haut en bas . Quand je fus bien au fond de lui, il se pencha sur moi et tout en m’embrassant me chuchota
-Continue, c’est bon. Ne t’arrête pas!
J’adorais cette position, ma queue était en lui et nos langues se cherchaient, se trouvaient et s’emmêlaient . Je déchargeai beaucoup plus rapidement que lui mais il resta ainsi un bon moment avec ma queue qui avait débandé à present en lui et on continuai à s’embrasser.
Il me demanda, m’ordonna plus précisément, de passer le week end avec lui et j’acceptai avec d’autant plus de plaisir que je n’osai pas le lui demander.
A la fin de ce week end là, il était convenu que j’étais à lui et que c’ètait mon amant attitré. J’ai de suite appellé mon ex pour lui dire que j’ètais amoureux d’un autre, que j’avais bien réfléchi et qu’à la rentrée nos relations ne seraient qu’amicales.
J’ai passé le lundi à penser à lui et au plaisir qu’il me procurait. On avait convenu de passer le week suivant à nouveau ensemble mais aussi de se revoir dans la semaine.Je ne pu fermer l’oeil cette nuit là, aussi le mardi matin, n’y tenant plus je l’appelai.
-Salut, c’est moi. Je ne te derange pas j’espère? Ecoute, je sais qu’on doit se voir avant le week end mais j’aimerai te voir le plus tôt possible.
-Tu as envie de moi, c’est ça?
-Oui, chuchotai-je en rougissant. Je crois bien que je suis amoureux de toi.
-Tu m’aimes?
-Oui. Oui
-Tu aimes que je t’encule pas vrai? TU sais que tu es á moi et rien qu’à moi.
-Oui. Tu es mon mec. Je suis à toi et je ferai tout ce que tu veux.
-Alors viens de suite.
A partir de ce jour je me suis installé chez lui pour 4 ans qui resteront inoubliables. J’étais sa petite pute soumise et obéissante, il était mon mec, mon homme, mon mari et mon maître. La semaine suivante il m’a initié aux partouzes. Si ça vous intèresse je vous raconterai cela prochainement.