La Pute De Monsieur C Épisode 1
Je m'étais pourtant juré qu'on ne m'y reprendrait plus. J'avais déjà trop aimé, trop souffert d'aimer, trop souffert autrefois pour ne pas me défier pour toujours d'impossibles amours. J'étais célibataire depuis quelques mois et heureuse de profiter d'une liberté retrouvée, sans entraves, sans contraintes, sans rien de ce qui avait fait le quotidien fastidieux des neuf années passées auprès d'un mari exigeant, dépressif, qui m'avait laissée frustrée tant il me signifiait une fin de non recevoir dès que se manifestait mon désir de lui.
Je n'étais pas en manque de sexe. Je me sentais comme anesthésiée, sortie hors de mon corps par des années d'abstinence. J'avais 32 ans, j'en paraissais moins, mon corps ferme, mes seins ronds, mes jambes longues et musclées, dessinées par la danse que je pratiquais alors intensivement... tout cela ne servait à personne ni à rien. A présent que je dormais seule, la nuit, pour m'endormir, je me caressais rapidement, sans réelle volupté, sans réelles images. Je me contentais d'une masturbation rapide qui ne servait qu'à hâter la venue d'un sommeil réparateur qui n'avait d'autre fonction que de m'apporter l'oubli.
En divorçant, il me fallait changer d'emploi. Conserver celui que A, mon ancien époux, m'avait fourni, dans l'agence où il officiait comme directeur artistique aurait été de mauvais goût. Je m'étais donc retrouvée privée de tout. Une amie me proposa de la remplacer comme assistante de direction dans une grande entreprise du BTP et j'acceptai avec joie tant j'étais pressée d'assumer enfin mon propre loyer et de m'évader de l'appartement que j'occupais encore avec mon ex-mari. L'entretien d'embauche fut simple et direct. On souhaitait une fille compétente, discrète, élégante, trilingue et maîtrisant parfaitement l'orthographe et la syntaxe, on vit mes diplômes, mes sept ans d'expérience de conceptrice-rédactrice dans une grande agence de communication parisienne, ma bonne présentation, classique, élégante et sans ostentation fit le reste.
Je n'aimais pas ce travail. C. était de la vieille école. La soixantaine, plutôt grand et bien bâti. Il avait grimpé les échelons un à un depuis la maîtrise d'uvre jusqu'au presque sommet de la pyramide. Misogyne, il ne se gênait pas pour multiplier à dessein les plaisanteries de mauvais goût, le plus souvent à teneur sexuelle, qu'il faisait avec ses subordonnées non sans avoir reluqué abondamment ma silhouette de l'air de qui s'y connaît. Je m'appliquais à la tâche mais l'homme, corpulent et sûr de lui, tentait souvent d'encombrer le passage d'une porte juste au moment où je l'empruntais et mon corps, dans ces moments, frôlait le sien avec un rien de rejet qui n'avait rien à voir avec le désir.
Un soir que notre travail s'était prolongé et que nous étions tous les deux seuls, il se leva, contourna le large bureau cossu et vint se planter près de moi. Assise dans un fauteuil bas, je me retrouvai nez à nez avec une bosse énorme qui déformait le pantalon à hauteur de braguette. J'aurais dû fuir mais loin de là, je restai à contempler la bosse. Sans un mot, C appuya fermement à l'arrière de ma tête et mon visage vint frotter contre la proéminence dont je sentis l'odeur musquée à peine masquée par le tissu de qualité. C me relâcha aussitôt avec un sourire entendu. "Des bourgeoises comme toi, j'en ai baisé des centaines", me glissa-t-il à l'oreille. Jaurais dû fuir, le planter là et démissionner sur le champ mais au contraire, ses mots se glissèrent entre mes cuisses qui sécartèrent subrepticement. Juste assez fort pour quil sente ce mouvement inconscient et y lise mon assentiment.
« Jamais tu nas été traitée comme une chienne. » Ajouta-t-il. « Une petite chienne docile qui se laisse monter sans rien dire et qui ne jouit que si son maître ly autorise. Je ferai de toi cette petite chienne-là. » Sans un mot de plus, il me fit lever de mon siège sans me toucher davantage.
Ma vulve était gonflée, douloureuse presque. Je navais pas ressenti pareille excitation depuis les premiers temps de mon mariage. La frustration endurée auprès de ce mari abstinent mavait rendue perméable à toutes les aventures et ce sexagénaire ventripotent venait de me prouver que je navais quune envie : que nimporte qui me prenne, me fasse jouir et redonne vie à ce sexe laissé en jachère depuis trop dannées.
Je sortis, comme il me lavait ordonné, pour aller chercher les sous-vêtements recommandés. Je me vis bientôt harnachée dans un dispositif audacieux, noir et rouge, dont le soutien-gorge laissait les têtons à découvert et le serre-taille soulignait la courbe des fesses tout en offrant le sexe à la vue.
Le lendemain matin, je revêtis sur cet attirail, une jupe stricte mais assez souple pour permettre quon la trousse, un chemisier de soie grège de bon ton mais qui laissait voir, grâce à la finesse de létoffe, deux têtons dressés, dont joubliais sciemment de boutonner les deux derniers boutons afin que lon voit la naissance des seins et quon ait envie dy plonger le regard. Contrairement à mon habitude, je décidais de porter mes talons les plus hauts. Mon mètre soixante-quinze poussé vers le haut de 10 centimètres de plus, je me sentis royale en poussant la porte du bureau de C.
Guère impressionné, lhomme me demanda de rester au milieu de la pièce, à quelques mètres de lui. Je devais rester debout, jambes légèrement écartées et remonter ma jupe. Jexhibais ainsi le porte-jarretelle neuf qui encadrait une chatte épilée de frais pour loccasion. C poussa sa chaise à roulettes vers moi.
- A genoux !
Me dit-il. Et je mexécutais aussitôt trop contente dêtre bientôt la proie de cette bite énorme et dure qui me faisait envie. Tirant et caressant le sexe herculéen et se servant de ses talons pour diriger son siège, C fondit sur moi. Mouvrant la bouche au moyen de deux doigts, il planta son sexe au fond de ma gorge. Je suffoquais tout dabord mais lexcitation fut la plus forte et je me mis à lécher le gland, la tige et les couilles avec avidité. C me tenait par les cheveux et poussait sa verge dans ma bouche en minsultant. « Suce-moi salope ! » Disait-il en me tenant par les cheveux. Et la salope en moi se précipitait de plus belle pour avaler, sucer, englober le gland magistral, lécher les couilles volumineuses et poilues, rugueuses, qui me donnaient limpression de promener ma langue sur du papier de verre. Goulûment, je têtais, suçais, léchais, je memplissais le plus profondément possible de cette queue en espérant quil finirait par me prendre. Jen voulais plus et plus encore. Sentant mon désir, il se mit à se caresser tout en tenant ma tête collée sur son bas-ventre si bien que jétouffais à en défaillir. « Tu vas me faire jouir salope ! » dit-il avant de se redresser et de me jeter brutalement en travers du bureau dont il balaya le contenu dun revers de main. Tenant toujours mes cheveux et les tirant à men sortir des larmes, il remonta de lautre main ma jupe, découvrant mon cul musclé et bronzé et, sans prévenir, massena une claque bruyante qui marracha un cri.
Je tentai de me débattre : la douleur était forte. C avait la force de ceux qui ont toute leur vie trimé à des tâches difficiles et je ne pouvais rien contre le désir quil avait de me punir.
Ma punition fut sévère. Je fus condamnée à tenir toute la matinée, chemisier ouvert sur mes têtons dressés pressés dans létrange soutien-gorge acheté la veille et jupe relevé révélant ma chatte, mains sur la tête et jambes écartées à côté de son bureau. Toute la journée, les secrétaires et les visiteurs purent me contempler dans ma déchéance. Les plus audacieux, hommes comme femmes, nhésitaient pas à glisser un doigt ou deux dans ma fente ou dans ma bouche. On me gifla avec gentillesse. On pinça mes seins avec sévérité. On moqua la mouille qui lustrait lintérieur de mes cuisses.
Mais pour tous, maintenant, jétais la pute de Monsieur C et je nétais quau début de mes aventures.
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