Emile Et Bea 2. Promenons-Nous Dans Les Bois
Nota : La rencontre scripturale entre Emile et Bea continue vers de nouvelles situations imaginaires. Leurs alias y découvrent de nouveaux plaisirs jusquici interdits.
Il va se passer plusieurs jours avant quEmile nose aller à nouveau à la rencontre de Bea. Il craint dêtre importun, mais surtout de ne pas retrouver cette charmante émotion quil a partagée avec elle par cet après-midi dorage. Une belle et chaude journée dété lui rend impérieuse lenvie de se promener à nouveau au bord de cette accueillante rivière. Soudain, limage de Bea joliment dénudée simpose à lui. Le voici reparti, léger et court vêtu, plein de désir. Le parcours lui paraît interminable. Il quitte à pied le bourg où un bus brinqueballant et brulant la laissé sur une petite place inondée de lumière. Il cherche la fraîcheur, rase les maisons et le très imposant mur du cimetière, sengage sur la petite route ombragée qui longe le ruisseau. Son esprit est empli delle. Il revoit son corps nu ou les rondeurs se disputent avec les lignes élancées de ses membres et la douceur de son visage. Il sent la finesse du grain de sa peau sous son doigt. Il veut garder à tout prix ces sensations quil sait fugaces. Plus il avance, plus il est rempli delle comme si son cerveau ne fonctionnait quen mode monomaniaque autour de cette aspiration à la rencontre.
Lorsquil atteint la proximité de la maison, son cur bat à tout rompre. Personne sous la véranda, ni sur la terrasse, encore moins dans les bains de soleil qui bordent la pelouse. Il met un long moment, ébloui par lastre solaire, à apercevoir Bea, le long de la piscine, bras tendus penchée en avant, occupée à en ôter feuilles et branchages au moyen dune longue épuisette. Ravi de la trouver, il la regarde intensément. Elle est pieds-nus et vêtue dune minirobe de couleur claire. Cette dernière suit le mouvement et, à chaque geste, dévoile ses fesses nues et son sexe soigneusement épilé dépourvus de tout ornement.
Ils marchent un long moment côte à côte, sans doute aussi émus lun que lautre. Bea sent le désir de son partenaire et est portée par sa capacité à le captiver totalement. Cest la première fois depuis longtemps quelle ressent de façon aussi évidente son pouvoir de séduction. Elle ose enfin sexhiber et y trouve du plaisir. Elle en sait gré à Emile de lavoir provoquée tout en espérant ainsi obtenir bien plus que sa seule attention. Elle imagine sans déplaisir le regard sur son corps à demi dévoilé de quelques embusqués et souhaite les voir émerger des taillis tout proches. LorsquEmile la saisit par la taille et dévoile à nouveau ses fesses et son bas ventre, lorsque son bras se colle à son corps et que choit sa bretelle en dévoilant son sein, elle exulte. Il lui faut désormais aller au-delà et montrer, là où cest interdit, la totalité de ce quelle exhibe à la plage. Il lui faut vivre en pleine nature un intense moment de sexe sans tabou comme ceux qui hantent ses nuits trop souvent solitaires. Elle avance, sens en alerte, attentive au moindre bruissement dans les taillis tous proches.
Son corps entier trahit son émotion et bouge en une élégante chorégraphie au déhanchement suggestif. Emile ne boude pas son bonheur. Il chemine derrière elle, la tête emplie denvies de la caresser partout, de pénétrer la profondeur de ses abysses. Il rêve de lexhiber au peuple de la forêt, de la lui donner toute. Il aspire à la voir se repaître de ses désirs et oser toutes ses envies. Ils cheminent ainsi un long moment, corps distincts, esprits associés. Lorsquils atteignent enfin une petite plage sablonneuse bordée dune élégante pelouse rase, ils se laissent enfin tous deux tomber dans lherbe. Béa arrache à son partenaire sa frêle vêture et sinstalle à quatre pattes, jambes largement écartées, comme pour lui proposer de fusionner. Emile la contemple et imagine un autre scénario. Il plonge les mains dans leau fraîche de la rivière et asperge son corps nu. Il shumidifie à nouveau puis approche sa main trempée du sillon de son cul quil besogne jusquà son sexe. Sa bouche approche de la rosette offerte, sa langue pointue entre et dilate doucement le fondement de Bea. Ensuite, une tête se glisse à son entrejambe et sagite entre les grandes lèvres lapant au passage son clitoris. Elle sengage au-delà des petites lèvres avec vigueur. Deux belles mamelles pendantes tressautent à chaque mouvement en rythme en décrivant chacune doriginales arabesques. Une contorsion plus loin, les voici en 69, chaque bouche lapant avec délicatesse le sexe de lautre. Bea avale avec délectation la courte et trapue queue dEmile, agite autour delle avec fougue ses lèvres pulpeuses.
Ils se ruent tous deux dans la rivière pour nettoyer leur peau souillée et sinstallent confortablement. Après quelques minutes de repos, Bea, encore inassouvie, reprend sa position animale exhibant son postérieur à son partenaire qui ne demande pas mieux. Lindex gauche humide dEmile ne peut se retenir de sinsérer profondément dans son cul et le pouce correspondant dans son sexe qui ruisselle de cyprine. Son majeur droit lui excite le clitoris en de petits mouvements rapides. Bea recommence à vibrer sous la caresse. Ses bras fléchissent, sa tête et ses épaules touchent le sol. Elle reste ainsi, fesses en lair, cuisses écartelées, secouée de spasmes et ravie de lassaut quelle appelait de ses vux. Emile finit par la prendre en levrette, ravi que les fesses de sa partenaire semboitent aussi exactement au creux de son bas ventre. Il sagite doucement en elle avec délicatesse, puis la bouscule de plus en plus fermement lorsque leur excitation progresse. Elle aime cette position de soumission et se laisse emporter par son plaisir. Elle psalmodie de petits cris qui, mélangés aux ahanements de son partenaire, finiront par appeler tous ceux qui sont en manque damour à la curée. Que penser dailleurs de ces bruits de feuilles froissées dans les fourrés tout proches ?
Sens aux aguets, elle est partagée entre le plaisir absolu de sexhiber ainsi et de se donner tant à son partenaire quà cette magnifique nature qui lenvironne. Elle se sent animale jusquau fond de ses organes béants, elle exulte de cette sensualité trop longtemps retenue, lentrejambe et la bouche trempés de désir, sexe et cul dilatés. Lorsque les feuillages sécartent et laissent paraître un colosse forestier à labondant poil noir de jais, quasi nu, uniquement vêtu dun short minimaliste et de chaussures de sécurité, elle se replie sur elle-même et une crainte primitive accélère brutalement son rythme cardiaque.
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