La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1221)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1220) -
La vie au Château (suite) :
Messire Léon ramena Lucie dans la chambre des soumises mais arrivé devant la porte et avant de la laisser rentrer, il lui intima :
- Pas un mot de notre conversation aux autres et encore moins au Seigneur d'Evans. Suis-je assez clair ?
- Oui Messire, je ne dirai rien à personne.
Ensuite après avoir laissé Lucie, il exigea dAmélie de venir et lemmena dans la chambre du Maître. Elle entra accompagnée de Messire Léon qui la plaça au centre de la pièce, puis il sortit après avoir souhaité une bonne soirée au Seigneur d'Evans. Après un certain temps silencieux, le Châtelain daigna la regarder, sapprocha delle, délaissant son manuscrit quil était en train décrire. Il la toisa de haut et il lui lança sur un ton rassurant :
- Alors chienne, comment te sens-tu ?
- Honorée Maître.
- Sache que c'est un privilège qui peut être accordé ou retiré selon Ma volonté.
- Oui Maître.
- A quatre pattes.
Le Seigneur d'Evans lui mit un collier avec une laisse et la promena en quadrupédie dans sa chambre avec de légers coups de cravache sur sa belle croupe arrondie pour la faire avancer. Amélie en était trempée d'excitation et cela se voyait, sa cyprine coulant le long de ses cuisses.
- Ca t'excite, hein salope ?
- Oui.
Un puissant coup de cravache lui chauffa les fesses et Amélie ne put retenir un cri.
- Ca, c'est pour avoir parlé sans autorisation. (Puis un second tout aussi appuyé) - Et quand tu t'adresses à Moi, tu réponds "oui Maître" (Encore un plus fort encore) - Et ça pour avoir crié au premier coup.
- Pardonnez-moi.
- Cette dernière phrase était celle de trop, chienne et en plus mal dite, tu as oublié le Mot Maître
Silence chienne et à l'avenir abstient-toi de me donner des ordres.
Amélie se positionna alors à quatre pattes, puis en levrette prosternée, le cul bien relevé et exhibé. Un premier coup mordant s'abattit sur ses fesses rondes.
- 1 ... 2 ... - 3... ...
A présent Amélie se trouvait dans un état second et la douleur lui fit commettre une erreur de calcul à :
- 30
- 32
- Erreur, on recommence et j'oubliais maintenant je veux que tu me remercies entre chaque coups.
- 1, merci Maître...
- ... (jusquà 49 sans se tromper)
-
50, merci Maître, dit-elle en larmes.
- Tu l'as mérité, salope. Cesse de pleurer, tu n'as encore rien vu.
Le Seigneur d'Evans s'installa dans son siège fait de bois ciselé et garni de moelleux coussins, siège ressemblant à un large trône
- Maintenant, vient me soulager, fait-moi gicler et avale tout, la chienne.
Amélie s'approcha lentement et sortit la noble Verge déjà tendue du Maître.
- Sans les mains, je veux juste ta bouche de chienne.
Amélie, bien que dégoutée ne laissa rien paraître feignant d'apprécier, le lécha longuement de bas en haut et quand le membre fut bien lubrifié, elle le prit entièrement dans sa bouche et suça avidement, personne n'aurait su dire qu'elle n'y prenait pas plaisir. Le seul plaisir qu'elle avait c'était de se dire je fais ça pour le Maître (le Maître à qui elle appartenait en réalité et qui voulait nuire au Seigneur dEvans). Elle continua ainsi longtemps jusquau moment où le Seigneur d'Evans lui prit la tête pour imposer son propre rythme. Amélie léchait, suçait enroulait sa langue autour du sexe tendu quand enfin le Maître jouit dans sa bouche en de longs et puissants jets de sperme chaud et qu'Amélie avala entièrement.
- Il faudra t'améliorer, cochonne.
- ...
- Bien, en levrette, je vais explorer ta chatte et ton cul de chienne.
Amélie mit les mains jointes sur le devant, les bras levés, à la façon de faire une prière), ce qui était le signe exigé afin de demander lautorisation de parler. Le Seigneur lui accorda cette autorisation
- Maître, puis je vous précisez quelque chose ?
- Tu ne le mérite pas mais bon, tu es nouvelle, alors je t'écoute.
- Je n'ai jamais été prise du cul.
Le Seigneur fut très étonné car tous les Maîtres de sa connaissance, et il en connaissait beaucoup, exigeaient toujours de leurs soumise, la sodomie et lorsqu'il lui avait demandé à son arrivée qui était le Maître qui lui avait fait ses blessures, Amélie n'avait pas voulu répondre et il ne l'avait pas e jugeant que cela était sans doute trop dur pour elle d'en parler.
- Tu le seras ce soir, je l'exige de toutes mes soumises. Tu seras dépucelée du cul ...
Le Maître se positionna derrière elle et lui baisa la chatte d'un coup sec. En effet, il entra sans aucune résistance, tellement elle était excitée et ainsi il la pilonna de suite, la fourra fortement vigoureusement avec toute la virilité du Maître qu'il était. Ses coups de reins étaient puissants et cadencés, profonds, vifs
Ses couilles se balançaient à chaque poussée qui était de plus en plus virile. Elle subissait avec bonheur, une véritable saillie vaginale qui devenait bestiale, animale
- Ne gémit pas et surtout ne jouit pas sans mon ordre, sinon je te prends le cul tout de suite sans préparation.
Amélie avait de la volonté mais le savoir-faire du Maître eu vite raison de cette volonté et elle ne put sempêcher dhurler son plaisir et lâcha son orgasme puissant en de longs cris de jouissance à nen plus finir. Alors il se retira brusquement :
- Tu n'as pas saisi l'ordre de te retenir que je t'ai donné salope ?
- Je n'ai pas pu me retenir, Maître, je suis désolée, cétait trop bon
Heu
Je
je vous demande de me sanctionner pour ne pas avoir su vous obéir.
Son membre toujours très tendu étant trempé de sa cyprine et il jugea quil n'aurait pas besoin de plus pour la prendre par derrière. Alors il claqua des doigts et elle se remit en position de levrette. Puis il présenta son gland violacé contre sa rosette, le frotta un peu et poussa sur lillet anal dun coup net et précis sans préambule et la pénétra lentement. Elle sut retenir un cri quand le Seigneur commença à aller et venir dans son cul pour supporter la vive douleur de la pénétration. Mais elle ne tarda pas à trouver un plaisir certain et se mit à gémir de plaisirs.
- Est-ce que cette correction t'exciterait par hasard ? Répond.
- Hummmm
Ou
Ouiiiiii
Maître en effet.
- Salope !.
Le Maître continuait à la fourrer, la pilonner, la fouiller de ses doigts sur ses lèvres intimes gonflées et gorgées de plaisirs ou pour lui branler le clito si réceptif et la baiser de son sexe viril passant de son cul à sa chatte dégoulinante de cyprine et son excitation monta autant que la sienne.
- Ne jouit pas, sale catin.
Amélie était excitée à l'extrême mais parvint cette fois à se retenir quand il reprit une dernière fois possession de son cul profondément, elle gémit de mille plaisirs mais sans jouir.
- Tu vois, comme tu aimes ça, Ma pute.
Le seigneur tout en la sodomisant lui doigtait et titillait encore le clito dressé et gonflé au maximum. Puis quand enfin il jouit abondamment dans son cul lâchant des jets chauds de Sa noble semence jusquaux fonds des entrailles dAmélie, celle-ci s'écroula sur le tapis.
- Viens ici à genoux à Mes pieds, j'ai à te parler.
Amélie tremblante encore d'excitation s'approcha du Maître et se mit à genoux devant lui, tête baissée
- Tu peux répondre à toutes Mes questions. Que penses-tu de la vie dans Mon Château ?
- Elle est agréable, Maître, les règles sont claires mais...
- Mais quoi ?
- Maître, ça me gêne énormément, alors me permettez-Vous de parler librement ?
- Je t'y autorise, oui parle !
- Eh bien, vos règles sont très claires mais.
- Que veux-tu dire ?
- Certaines personnes ne les respectent pas, et de ce fait, elles ne vous respectent pas non plus, Maître.
- Qui ? Répond tout de suite...
- ... Manon, Maître.
- Manon est la plus ancienne de Mes soumises et m'est toute dévouée.
- Elle vous a trahi, elle s'est accouplée avec un jeune homme du village voisin
- Quoi? Tu en es sûre de ce que tu dis ? Me mentir est sévèrement punissable, sache-le
- Je l'ai entendue moi-même, elle nous l'a raconté il y a 2 jours Maître. J'allais vous demander audience quand Messire Léon m'a annoncé que vous vouliez me voir ce soir alors j'ai attendu le bon moment pour vous en informer.
- Si c'est vrai, elle va le payer cher
Mais toi, si tu m'as menti, tu le regretteras, salope.
- Maître, je suis incapable de vous mentir, surtout sur un fait aussi grave.
- Il vaudra mieux pour toi
Allez au panier, au pied de Mon lit, chienne
Contrarié, le Seigneur dEvans alla se coucher seul et dormit très mal. Il cogita toute la nuit se disant des propos de ce genre :
- Ce chien qui a baisé Manon sera sévèrement puni
Je ne sais pas encore comment mais il s'en souviendra... Quant à Manon
Ma Manon, comment a-t-elle pu ? Elle, qui mest si dévouée
(A suivre
)
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