La Pute De Monsieur C Épisode 2: Une Visite Amicale.
Jappris bientôt que je nétais ni la première ni même la seule à partager les faveurs de Monsieur C. Loin de me gêner, cela me rassura. Au moins, il ne nexigerait rien de moi qui put me faire douter de mon union. Au contraire. En devenant sa chose, je complétais la seule chose qui me manquait lorsque je franchissais la porte de mon domicile. Jétais comblée sensuellement, sexuellement avec Monsieur C et mon mari continuait de me traiter avec amour, respect et tendresse. Il me suffisait de cloisonner étroitement ces deux univers et je pourrais tout garder
Le temps que cela durerait
Monsieur entreprit mon dressage patiemment. Je ne métais jamais intéressé à cet univers. Une éducation catholique rigide chez les surs mavait tenue à lécart dun univers dont je navais pas même soupçonné lexistence. Le SM commençait et se terminait à la première page et à la page finale des aventures de Grey et de sa compagne et tout cela restait excessivement soft. Pourtant, je trouvais très vite ma place de petite chienne docile, à genoux près du bureau dun maître exigeant et sévère qui veillait à mon comportement une petite règle en bois jamais très loin de ma croupe.
Je passais de moins en moins de temps dans mon bureau. De plus en plus dans le sien. Il ne me touchait presque jamais. Il se contentait de me donner des ordres secs et précis sur un ton qui naurait pas supporté la contradiction.
Jappris tout dabord la position dattente adéquate : à genoux, légèrement écartés afin que lon puisse deviner lentrejambe, mes mains bien à plat sur mes cuisses, jupe relevée à moins quil ne mait demandé de la retirer pour accéder plus facilement à mon sexe sur lequel, parfois, il assenait un coup sec de la fameuse réglette si je faisais mine de me mettre à mon aise, dos droit pour mettre mes seins en valeur. Si jétais sage, il mautorisait à me dégourdir les jambes pour soulager les crampes qui finissaient toujours par me prendre.
Un jour, on lui annonça la visite de Madame la Comtesse de A. « Une vieille amie », me dit-il dun air entendu. « Je lui ai parlé de toi. » Comme je faisais mine de me lever pour retourner à mon bureau comme chaque fois quun visiteur entrait, je reçus un coup vif et puissant sur la fesse gauche. « Tu ne te lèves que si je te le dis ! Mon amie veut voir ma petite chienne et elle la verra !»
Discrètement, je serrai les genoux mais mon geste nétait pas passé inaperçu. Je reçus un second coup puis un troisième sur le sexe quand je me décidais enfin à ouvrir suffisamment les cuisses. Malgré moi, je me mis à mouiller autant parce que le coup reçu mavait échauffé la chatte quà lidée dêtre ainsi exhibée.
Madame de A entra, précédé dun grand chien noir quelle tenait en laisse avec vigueur. Agée dune soixantaine dannées, elle était grande, sèche, sanglée dans un tailleur de prix qui mettait sa taille encore fine et son cul rebondi en valeur. Maquillée avec soin, les cheveux tirés en chignon, elle avait tout de la parisienne chic. Le port de tête hautain en prime. Prenant place dans le fauteuil qui faisait face au bureau de Monsieur C, elle croisa les jambes assez haut pour que je puisse voir le début dun porte-jarretelle identique à celui que javais porté la première fois. Ainsi devinai-je facilement que Madame de A sétait tenue comme moi, à genoux, près de notre maître.
« Cétait il y a longtemps ! » dit-elle en me regardant droit dans les yeux comme si elle avait deviné mes pensées. « Vous permettez, très cher ? » dit-elle à mon maître. « Je vous en prie ! » Madame de A abandonna son siège et se dirigea vers moi. Soulevant sa jupe, elle découvrit un sexe imberbe doù dépassait un clitoris gonflé, un sexe en forme dorchidée dont les lèvres longues formait comme les pétales.
Au bruit que fit le zip de sa braguette, je sus quil bandait. Il avait sortit sa verge et ses couilles et massait son gland dune main sans pour autant lâcher la règle en bois qui servait à me punir. Instinctivement, je tournais ma tête vers lui, prête à le sucer sil me lordonnait. Je métais branlée déjà plusieurs fois en pensant à sa queue. Je la désirais plus que tout. Mais mon geste fut interrompu par une traction vive sur mes cheveux qui marracha quelques larmes. « Viens ici, salope et lèche-moi ai-je dit ! »
Je me sentis gauche et ignorante. Jouvris la bouche tout grand, embrassant et suçant tout à la fois le clitoris. « Allez va petite chienne ! Cest bien ! Tu apprends vite ! » Enhardie par ses encouragements, jentrepris de doigter madame de A tout en lapant la cyprine à grands coups de langue gourmand. Son goût était acide. Cela sentait le pamplemousse. Je lentendis gémir. Elle resserra la pression sur ma tête. Je me remplis delle, de son goût acidulé, de la texture douce de son sexe. Je glissais un deuxième doigt dans le conduit détrempé. Je me reculais pour les lécher avec gourmandise sous ses yeux. Ils rirent tous deux de mon audace. Je sentis que Monsieur C sétait levé à son tour. Il vint se placer derrière madame de A. Attrapant à son tour ma tête, il la pressa plus fort encore. Jétouffais littéralement. Mon nez, ma bouche, mon menton, mes joues, se couvraient de sa mouille. Monsieur C glissa sa queue contre mes doigts. Je léchais madame de A en démente et nous la pénétrions de concert, moi avec mes doigts et lui avec sa queue. « Ecarte-là ! » Et je me mis à tirer sur les côtés du vagin pour laisser passer la queue dure et épaisse de mon maître.
Enfin, madame de A jouit. Dune jouissance animale qui projeta sur mon visage et dans ma bouche des flots de cyprine chauds et épais que javalais comme je rêvais davaler le sperme de mon maître.
« Elle est parfaite ! » lança Madame de A juste avant de nous quitter. « Il ne se passera pas longtemps avant que tu ne puisses la produire à nos petites soirées ! »
Cest sur cette phrase laissée en suspens par monsieur C que Madame de A nous quitta. Javais son odeur partout sur moi. Sa mouille sétalait partout sur mon visage. Et je navais pas joui. Javais retenu jusquau dernier moment lorgasme que javais senti monter rien quà les servir et pour cela, Monsieur C mautorisa à me branler devant lui jusquà ce que je jouisse.
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