Soumise Aux Ordres De Mon Maître. La Maison Close.

Soumise aux ordres de mon Maître.
La maison close.


(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)

J'écarte encore plus, et aide la base de ma robe à remonter jusque ma taille. Je ne le quitte pas des yeux, mes mains se posent sur mes genoux et remontent en appuyant sur l'intérieur de mes cuisse et en amplifiant l'ouverture, je gémis. Mes seins pointent à travers le tissu de ma robe, mes tétons s'irritent tout seul.
Mes doigts caressent ma peau, arrivent enfin sur mon humidité. Du bout des index je redessine mes lèvres vaginales, mes pouces appuient sur le haut, au dessus de la cachette clitoridienne. J'appuie, presse, referme mes lèvres très fort, tous mes doigts accompagnent le mouvement. Je suis mouillée, tellement mouillée, toujours maintenant.
Je ratt des années de sécheresse depuis quelques jours. Un petit rire m'échappe, je me rappelle une phrase de mon ex-mari "comme tu ne mouilles pas, il faut du lubrifiant".
Je savais déjà à l'époque que je savais "mouiller", ça fonctionnait toute seule. Et maintenant, Patrick m'a transformé en fontaine, je suis auto-lubrifiée, toujours prête!!
Je ne le quitte pas du regard, frissons, il regarde ma chatte. Il ne l'avait jamais vu, c'est bien la seule partie de mon corps dont il n'a pas reçu la photo.
De mes doigts, j'ouvre mes lèvres, hum, ma cyprine s'écoule le long de ma fente et part vers mon anneau. Je rentre le majeur de la main gauche, celui de la main droite va chercher ma perle cachée. Je me cambre brutalement, mes yeux se ferment, ma tête bascule en arrière, mes seins sont propulsés vers lui, et, si possible, j'écarte encore plus mes jambes, mes talons aiguilles s'enfoncent dans la moquette, mes orteils cherchent à s'ancrer dans le sol.
-Oh Maître ! Un mouvement de mes doigts sous Votre regard et je suis quasiment en transe.

J'ai l'impression que je pourrai à nouveau jouir en quelques secondes, juste parce qu'il le veut.

Je ramène ma tête, rouvre les yeux et je le cherche. J'essaie de faire abstraction des taupes qui poursuivent leurs cajoleries sur Le pieu de Mon maître. Je ne veux pas voir les coups de langues, les doigts qui jouent avec Ses bourses... Jalouse, Sophie, tu es Jalouse ! Il est à moi et je suis très exclusive.
Son regard, vite, faites qu'il me regarde. Je veux trouver ses yeux mais il a détourné la tête. Je sens un froid remplacer ma chaleur, mes jambes commencent à se refermer, mon corps veut se recroqueviller.
Et, comme au ralenti, sa tête revient, ses yeux croisent les miens. Magie, mon corps brûle, mes hanches basculent, mes doigts s'agitent. Je plonge mes doigts en moi comme mes yeux plongent en lui. Je vais venir, je vais lui offrir mon orgasme. Non ! Ce n'est pas le mien, ce ne sont plus les miens. Tous mes orgasmes lui appartiennent, il est le seul à pouvoir les provoquer, il me fait ce cadeau, c'est mon offrande.
Accélération, pellicule de sueur qui couvre mon corps, mes seins ont mal, une boule chaude, piquante, grossit dans mon ventre, mes doigts frottent, mon clitoris doit être rouge d'être maltraité.....
- Patrick?
Je vais venir, je vais me disloquer, son regard...
- Patrick?
Je dois attendre, je ne ralentis pas pour autant, je ne pense pas en avoir l'autorisation...
- Patrick?
Ça monte tellement vite, toutes mes terminaisons nerveuses m’envoient des signaux, je veux, je vais, besoin, envie :
- Patriiiiiiick!?!??????
Seigneur, pitié, je ....
Une voix à l'accent jurassien :
- Jouis Sophie!

Il n’a pas fini sa phrase que je sens une douce tiédeur, bien connue, prendre naissance au plus intime de mon sexe, irradiant ma vulve, je me vide. Ooouuuii ! D'un seul coup, une vague de plaisir dévastatrice et ravageuse me remue le ventre et les entrailles, je me mets à jouir comme jamais, mon corps ne répond plus à la logique.
Seul compte ma jouissance, puissante et perverse. Pour Toi, ce déferlement me retourne l'âme tel un fétu de paille. Je n’essaie pas de résister à cet afflux de secrétions qui coule irrémédiablement le long de mes cuisses.

-Sophie………………Sophie……………….Sophie !
J’entends enfin l’appel de Patrick, redescendant doucement sur terre. Quel orgasme ! Et pourtant personne ne m’a touché.
-Sophie ! Viens vers moi. C’est toi qui va me faire jouir. Les filles. Prenez la position !
Il a les jambes collées contre le bord du lit. La blonde vient s’étendre tout contre Lui, collant son flan droit contres ses cuisses. La brune et la rousse prennent la même position, flan contre flan.

-Tu es ma servante ! Tu vas me branler pour que j’inonde ces trois sylphides !
Mon Dieu ! Je vais enfin pouvoir toucher l’Objet de mes désirs les plus fous. J’avance ma main et me saisie de son sceptre. Qu’il est dur, mais si doux. Il ne m’avait pas menti. Le diamètre de ce pénis est vraiment hors-normes.
Je le branle avec douceur puis sans retenue une petite minute.
-Oh Sophie ! Tu es une bonne branleuse. Je n’en attendais pas moins de toi. Je vais bénir ces corps de ma liqueur et tu vas diriger ma lance. Ensuite, tu nettoieras de ta bouche mon sperme sur leur peau !
Je continue de le masturber à la main et il gicle enfin. Il crie sa jouissance en inondant d’un seul jet de sa sève les trois visages, la bouche ouverte. Leurs cheveux sont pleins de foutre. Il continue de se vider. Je dirige sa lance vers les seins qui se couvrent d’une trainée blanchâtre.
Je vocifère de plaisir, mais sa débauche de sperme continue. Je dirige son engin vers les pubis des filles qu’il couvre aussi de sa débauche de sperme. Bien que j’ai vu ses vidéos, je suis impressionnée par la quantité de sperme qu’il peut produire à son âge.
Une fois tarie, je secoue sa queue qui perd de sa rigidité peu à peu.
Il me faut ensuite de longues minutes pour nettoyer les gouttes d’argent liquide sur les corps de trois petites putes.
Mon Dieu ! Je n’ai jamais fais ça avec une fille. C’est irréel !
Une fois la mission effectuée, je me tourne vers lui

- Mon Maître, maintenant je ferai tel est ton désir !
-Je vais prendre l’une après l’autre ces trois filles. Tu seras chargé de me maintenir en forme, de diriger ma queue pour que je trouve leur fente, de me masser les couilles ! Tu vas commencer par me passer ce bracelet jusqu’à la racine de mon sexe. Passe déjà une bourse, puis l’autre, et ensuite la hampe pour y arriver !
Il a attendu d’avoir complètement débandé avant car autrement ça n’aurait jamais été possible. Avec un ou deux maillons de plus, ce bracelet m’irais très bien autour du poignet.
Je m’acquitte de ma tâche avec difficulté, c’est loin d’être facile. Je réussis enfin et à peine je commence à branler sa verge qu’elle reprend avec une vitesse folle toute sa fierté.
Toute ? Non ! Encore plus ! L’étranglement à la racine de son sexe fait qu’elle devient encore plus grosse, d’une dureté incroyable. La veine en dessous devient énorme !

(À suivre)

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