Anne
Je reste sur mes aventures de jeunesse. Après avoir eu la chance de goûter au sexe avec des femmes mûres, je tombais littéralement amoureux de ces femmes et je ne regardais plus les filles de mon âge, à tel point quun jour ma mère sinquiéta de ne jamais me voir avec une fille. Je pouvais difficilement lui expliquer que je fantasmais sur des femmes de son âge ! Voire que javais baisé son amie Chantal ! Jusquà la rencontre avec ma femme, jeu quelques courtes relations avec des filles de mon âge, mais il ny avait jamais le feeling que je cherchais, donc en général cela ne durait que quelques jours, doù une réputation peu flatteuse à mon égard dans la région, ce qui ne facilitait pas les choses, mais à dire vrai cela ne me manquait pas vraiment tant jaimais les femmes mûres. Je me dis dailleurs que si le Web avait existé à lépoque, je me serai éclaté avec des couples ou des femmes gourmandes de jeunes gens, mais en ce temps, il fallait chercher soi-même, à part des rencontres inattendues, ce qui nétait pas simple, notamment lorsquon habitait chez ses parents et quon étudiait à Paris sans y vivre. Une histoire mest revenue qui illustre cette difficulté.
Il est dans les 13 heures et je me trouve dans le passage du Havre, près de St Lazare et des grands magasins. Je traîne à la recherche dune aventure, si je ne trouve rien, je prends le train et rentre chez moi, jai mon entraînement de rugby le soir. Soudain, japerçois une paire de mollets bien dessinés voilés de nylon gris clair. Je lève les yeux, une femme dont la silhouette est plutôt pas mal. Je la dépasse, ah oui, jolie femme, dans la quarantaine. Bon, elle me plaît ! Je la suis quelques minutes, elle ne semble pas mavoir vu. Mais la voilà qui sengouffre dans le métro ! Mince ! Jy vais ? Elle disparaît dans le couloir, je prends ma décision, je descends à mon tour. Il faut savoir que comme tous les timides, je suis capable parfois de craquer et dêtre même très osé ! Cest ce qui marrive ce jour-là, je ratt la dame, la dépasse et je lui demande brusquement si elle accepte de venir boire un café avec moi ! Elle sarrête, me regarde dun air étonné !
- Pardon ?
- Excusez-moi de ma franchise, mais vous me plaisez beaucoup, voilà cest dit !
Jai le cur qui bat à cent à lheure dans ma poitrine.
- Je vous plais ? Cest gentil jeune homme, mais je suis un peu vieille pour vous il me semble !
- Jaime les femmes de votre âge, je les trouve belles !
- Ah oui ? Mais là, je retourne à mon bureau, je nai pas le temps !
Sa réponse fait tilt dans mon cerveau, pas le temps ! Elle me laisse entendre quelle serait daccord ?
- Vous seriez daccord ?
- Je nai pas dit ça, dit-elle en souriant. A vrai dire, je ny ai pas réfléchis et je nai vraiment pas le temps, je vais finir par être en retard.
- Je peux vous revoir ?
- Je viens parfois traîner ici le midi pour faire les magasins, qui sait ?
Et elle disparait. Bon, échec, mais au moins elle a été très gentille. Et franchement une jolie femme, brune, taille moyenne, dommage.
Les jours suivants, je passe au même endroit en pensant à la dame. Or, une fin daprès-midi, je me dirige vers la gare lorsque je la vois derrière la vitrine dun café, elle est tournée vers la rue, elle maperçoit aussi et me sourit ! Ni une, ni deux, je rentre dans le café !
- Et bien voilà, me dit-elle, on va pouvoir boire ce café, ou autre chose. (Elle a un thé devant elle)
- Je nai pas le temps, je dois prendre un train dans 15 minutes, jai mon entraînement !
- De quoi ?
- Rugby, on a un match important dimanche.
- Ne vous abîmez pas, ce serait dommage, vous êtes mignon !
- Demain, ici ?
- 12 heures !
- Super, jai hâte.
Dans le train, je bande à moitié, elle était bien sexy encore. Visiblement, je lui plais, ça paraît bien parti ! Bien sûr, le vendredi, je suis là à 12 heures, tant pis pour les cours. Je la guette devant le café, le temps passe, je pense quelle ma posé un lapin, je suis déçu, lorsquelle arrive essoufflée.
- Désolée, ils ne voulaient pas me lâcher au bureau !
- Vous travaillez dans le coin ?
- Pas du tout, je suis dans le Xème arrondissement.
- Ah daccord.
- On va discuter à lintérieur ?
On sinstalle :
- Alors comme ça je vous plais ? Cest flatteur.
- Vous êtes une belle femme, en plus toujours sexy !
- Je nai pas le choix, je suis secrétaire de direction, je reçois, je me dois dêtre irréprochable, mais le week-end, cest plutôt survêtement ! Je vous préviens, jai accepté ce café, mais je suis mariée jeune homme.
- Javais remarqué votre alliance.
- Et ça ne vous arrête pas ? Bravo !
- Pourquoi avez-vous accepté alors ?
- Je ne sais pas, je vous ai trouvé mignon, et touchant, je ne pensais pas quà mon âge, je pouvais déclencher cette attirance chez un jeune homme. Vous avez quel âge ?
- Bientôt 21 !
- A votre âge, on essaie de se vieillir ! Très bien, je vous dis le mien ?
- Oui !
- 47.
- Vous ne les faites pas !
- Merci, mais je vous assure que si, enfin. Je triche, comme toutes les femmes de mon âge. Si vous mavez abordé, jimagine que ce nest pas uniquement pour le plaisir de la discussion ?
- Vous me plaisez oui.
- Cest tout ?
- Cest délicat.
- Vous voulez coucher avec moi, cest ça ?
- Ben, en fait, heu oui.
- Cest mieux en le disant. Et pourquoi je coucherai avec vous ?
- Je ne sais pas.
- Je nai pas pour habitude de coucher avec des inconnus, avec dautres hommes que mon mari dailleurs, à fortiori qui ont lâge dêtre mon fils, dit-elle en souriant.
- Tant pis, ce nest pas grave. (Un silence)
- Et nous ferions ça où ?
Ouah, elle vient de me dire quelle serait daccord ? Ma queue se dresse dans mon jean. Mais que répondre ?
- Ben heu
- Jai cru comprendre hier que vous rentriez chez vous le soir en train.
- Oui.
- Et bien moi aussi, je vis en banlieue.
- Mince. Mais vous êtes daccord ?
- Je me laisserai bien tenter pour être honnête, je ne sais pas vraiment pourquoi, il y a quelques jours je ny aurai jamais pensé, mais plus jy réfléchis, plus jai envie !
Et là, sous la table, elle prend ma main et la serre en me souriant.
- Bon, on y réfléchit ?
- A ?
- Il faut bien un lieu, on ne va pas faire ça dans la rue ? Et un moment ? jai une pause de 1 heure à midi, mais le temps de se retrouver, ça fait court, tant quà coucher avec un autre homme et tromper mon mari, jaimerai autant que cela soit réussi et prendre mon temps, jaime faire lamour pendant des heures. Je mappelle Anne à propos. De plus, pas question de rester dans le quartier où je travaille, trop risqué. Donc, puisque tu veux coucher avec moi, à toi de te débrouiller mon grand.
- Comment je vous contacte si je trouve quelque chose ?
- Je te donne ma ligne directe du boulot, tu tomberas sur moi. Et tu me préviens suffisamment tôt pour que je puisse prendre une journée ou un après-midi. Bon, il faut que jy retourne, tu me raccompagnes au métro ?
Nous y allons et lorsquelle me quitte, elle pose ses lèvres sur les miennes.
- A plus tard mon chéri !
Je la regarde partir, elle est vraiment très sexy ! Jai encore le goût de ses lèvres, très agréable. Je suis sur un petit nuage, elle me plait tellement ! Bon au travail, faut que je trouve ! Jai pensé à lhôtel, elle ne voulait pas, grosse galère du coup. Chez moi en journée ? Raté, elle habitait de lautre côté de Paris. On se voyait de temps en temps au café, mais je ne trouvais rien puisquelle ne voulait pas de lhôtel. Et sans portable, une vraie complication pour se contacter, fallait que je trouve des cabines, lorsquelles fonctionnaient, il ny avait pas encore de cabines à carte ! On ne se rend plus compte maintenant quon peut appeler lautre bout du monde pratiquement de partout ! Javais un pote qui avait une chambre de bonne avenue dIéna, mais toilettes à létage, pas de chauffage (Il se chauffait avec sa plaque électrique lol). Anne nétait pas très tentée, je finis par croire quen réalité, elle me menait en bateau et que je ne coucherai jamais avec elle. Du coup, pour me prouver quelle en avait vraiment envie, elle a fini par accepter daller chez moi car mes parents étaient partis en vacances.
Je la récupère à la gare avec mon bolide orange qui la fait beaucoup rire ! Je la dépose à un rond point juste en dessous de la maison. Je rentre, puis je passe par le jardin, il y a un bois devant, comme ça pas de voisins, je rejoins un chemin qui le longe et je retrouve Anne qui mattend. Nous faisons le chemin inverse, avec ses talons pas très facile, surtout le passage dans lherbe sans chemin. Mais ça a le mérite de beaucoup lamuser.
- Tout ça pour coucher avec un jeune homme et pour éviter papa-maman ! Jespère que ça en vaudra la peine ! dit-elle en riant !
Aïe, pression sur moi. Je sais que jai déjà réussi à faire jouir des dames, mais je ne suis pas ment un étalon.
Une fois à la maison, je me jette sur elle pour lembrasser. Elle me calme :
- On a toute la journée, on va prendre le temps daccord ? Cest la première fois que je trompe mon mari, qui plus est avec un presque gamin, je veux en profiter. Dailleurs, une question, tu as eu beaucoup daventures, jeune dragueur ? Avec des femmes mariées aussi ?
Je lui explique que non pour le nombre daventures, mais oui pour les femmes mariées.
- Un gigolo en herbe ! Et quest-ce que tu leur trouves aux femmes mariées ?
- Je ne sais pas, je les trouve belles, sexy, elles savent ce quelles veulent, elles sont directes et sans complexe au niveau sexe.
- Et bien jespère que tu ne seras pas déçu ! Bon, au fait, je nai même pas pensé aux préservatifs, ça fait tellement longtemps. Jimagine que ça devrait aller, tu es sain.
On était au début du SIDA, lhabitude nétait pas encore prise.
- Tu me fais un café ?
Je moccupe du café, elle va sinstaller dans le salon, lorsque je reviens elle a enlevé son manteau, elle est canon dans une très jolie robe qui arrive à mi-cuisse, cest la première fois que je les vois, elles sont comme jaime, bien pleines.
- Ça te plaît ? Je naime pas trop montrer mes cuisses en général !
- Vous êtes superbe, et vos cuisses aussi !
- Toi tu es prêt à tout pour coucher avec moi flatteur, viens membrasser !
Et pour la première fois elle me donne sa langue, elle embrasse doucement, langoureusement, cest très bon.
- Tu te rends compte, ça fait 25 ans que je navais pas embrassé quelquun dautre que mon mari, ça fait bizarre. Mais cest très agréable, tu embrasses bien mon chéri !
Cest déjà ça me dis-je ! Nous buvons notre café, elle est assise à côté, je caresse doucement sa cuisse, elles me plaisent bien ces cuisses !
- Tu les aimes mes cuisses ?
- Oui, vous avez de jolies jambes.
- Mooui, je nen suis pas aussi sûre que toi.
Nous finissons notre café, je ne sais pas trop comment agir. Cest elle qui me prend la main et me demande où on fait ça.
- Dans ma chambre ?
- Va pour la chambre.
Nous y allons.
- Un lit deux places, ouf, cest mieux. Tu aimes les Rolling Stones toi ! Nous allons faire lamour sous le regard de Mick Jagger ! Jai beaucoup retourné tout ça dans ma tête depuis 3 mois. Tu veux bien que je guide un peu les opérations ?
- Oui madame !
- Dhabitude tu mappelles Anne, alors ne change pas ! Tu as toujours envie, tu es sûr ?
- Plus que jamais !
- Alors je veux te voir !
- Me voir ?
- Nu ! Jai envie de te voir nu ! Il va bien falloir si tu veux me faire lamour !
Je me déshabille.
- Allonge-toi !
Elle sassoit sur le lit et passe sa main sur ma poitrine.
- Tu es un beau garçon, tu as un beau corps, un peu mince, mais bien musclé, ça change de mon époux !
Elle suit une cicatrice sur mon ventre.
- Rugby ?
- Oui, coup de crampon.
- Sur les jambes aussi ?
- En ce moment les terrains sont secs en plus, et je joue dans la mêlée.
- Je ny connais rien ! Jaime ton corps ! Ta verge est déjà dure petit coquin ! Tu te retournes ? Aussi des coups de crampons dans ton dos? Sport de brutes ! Tu sais que tu as de très belles fesses, jaime bien les fesses masculines.
Tout en parlant, elle parcourt mon dos, mes fesses avec sa main, elle est douce, cest très agréable.
- Tournes-toi !
Elle sallonge à côté de moi, soutient sa tête avec sa main gauche et sa main droite se pose sur mon sexe. Elle le caresse doucement, me caresse les testicules.
- Ça me fait drôle de caresser une autre verge que celle de mon mari.
Tout en continuant ses caresses, elle se penche pour membrasser, cest très doux, très apaisé, très différent de ce que javais connu auparavant.
- Si je te fais jouir, tu pourras rebander ?
- Oh oui !
- Cest vrai que tu es jeune ! Je vais te caresser alors, jaime ça !
Elle se penche sur moi, jespérais une fellation, mais non, elle me branle de plus en plus, appuie juste sous le gland ; je sens que ça monte et jéclate sur mon ventre. Elle membrasse ensuite.
- Tu as bien joui mon chéri, jen ai plein les mains, dit-elle en souriant. Je vais te nettoyer.
Sur mes indications, elle trouve la salle de bain, reviens avec un gant et me nettoie le ventre.
- Tu rebandes déjà ? Et bien ! Bon, à moi de me découvrir !
Elle enlève ses chaussures, se tourne pour que je lui enlève la fermeture éclair qui ferme sa robe, la fait descendre doucement et elle se retrouve à ses pieds. Elle se retourne.
- Alors, pas trop déçu ?
Elle porte une jolie culotte assortie avec le soutien-gorge, elle porte des bas. Elle a un petit ventre arrondi et quelques rondeurs au niveau des hanches, mais elle est belle !
- Oh non, vous êtes très belle !
- Tu exagères ! Tu veux voir mes seins ?
- Oui !
- Et voilà ! Ils sont biens encore je trouve !
- Ils sont très beaux vos seins !
- Et tu veux voir le reste jimagine ! Lobjet de ta convoitise ! Je me demandais si joserai me montrer nue devant toi, et finalement jai très envie que tu me vois, et hop, plus de culotte, nue comme un vers. Voilà, tu vois mon sexe et je suis heureuse de te le montrer ! Ah je garde mes bas ?
- Si vous voulez ;
- Au point où jen suis, je vais jouer la coquine jusquau bout, je les garde.
Elle avait des seins assez gros, mais qui se tenaient bien, quant à sa chatte, elle était bien fournie. Elle se tourna pour me montrer ses fesses, qui étaient plutôt pas mal.
- Viens, jai très envie de toi.
Elle sallonge, écarte les jambes, me fait venir, prend ma queue et lintroduit en elle.
- On va faire ça doucement, daccord ! Jaime te sentir en moi.
Nous fîmes lamour longtemps, elle me faisait arrêter dès quelle sentait que jallais craquer, elle me parlait, elle était très douce. Elle finit par mannoncer quelle allait jouir et mencouragea à accélérer, jeu le plaisir de la regarder jouir avant que moi-même je le fasse. Nous restâmes comme ça un certain temps.
- Cétait bon mon chéri, on est bien lun dans lautre !
On fit lamour encore deux fois, très sensuellement, presque doucement, elle voulait profiter au maximum de mon corps, elle me donna sa chatte à lécher en sinstallant sur mon visage, jai adoré ça.
Elle membrassa longtemps quand je la ramenai à la gare, comme un adieu.
- Je ne regrette pas, jai passé une très belle journée, tu as été un très bon amant, merci pour ce beau moment.
Et en fait, ce fut le cas, je la revis sur Paris, mais avec la fin de mes examens, à lépoque fin avril, je nallai plus sur Paris et il fut très difficile de trouver un autre moment. Les vacances passèrent et au retour, elle me demanda de ne plus lappeler. Jétais déçu, mais cest la vie. Cest un souvenir particulièrement agréable, jai rarement fait lamour de cette façon aussi douce. Je pense aussi que si Anne est encore de ce monde, elle a dépassé les 80 ans, et ça me fiche un coup ! Je garderai delle toujours limage de beau corps de femme mûre quelle ma offert un après-midi entier.
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