La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1223)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1222) -

La vie au Château (suite) :

Messire Léon s'absenta donc un certain temps, quand il regagna sa chambre Marion ne dormait pas encore mais somnolait. Messire Léon se coucha à ses côtés et lui passa ses doigts sur la joue, sur ses lèvres douces et lui caressa les cheveux. Elle fermait les yeux savourant ce moment de tendresse. Marion a un sourire magnifique se pensa-t-il. Il la secoua doucement pour lui murmurer dans l’oreille :

- Marion, ouvre les yeux, tu as l'air d'avoir froid
- Oui un peu Messire
- Viens contre moi ma belle, je vais te réchauffer.

Au matin, il se réveilla avant elle, se dégageant de ses bras puis elle se réveilla à son tour, et aussitôt elle descendit du lit se mit à genoux :

- Messire, je vous présente mes excuses, j'aurais du me réveiller avant et vous réveiller comme vous aimez, en vous suçant sous le drap.
- Ne te tracasse pas, j'ai mal dormi mais tu n'y es pour rien et il est encore très tôt, trop tôt et la journée va être longue et difficile alors profitons-en pour encore nous reposer…

Ils se rendormirent tous les deux. Quand la matinée fut un peu plus avancée, cette fois-ci, ce fut Marion qui se réveilla la première et ne tarda pas à passer sous le drap pour le prendre en bouche. Elle le masturba pour le faire bander et le suça longtemps et c’est ainsi qu’il se réveilla sous les plaisirs buccaux de Marion. Léon ne bougeait pas et se laissait faire, jusqu’à qu’il sentit l’éjaculation arriver, alors juste à ce moment-là, tout en restant couché, il appuya de son épaisse main sur le crâne de la belle pour qu’elle engloutisse sa verge bandée jusqu’au fond de sa gorge et avala son sperme matinal …

Un moment après, le Seigneur fit chercher Messire Léon dans son cabinet de travail.

- Il faut leur dire ce qui se passe à mes chiennes, elles ont ment remarqué son absence au moment où cette salope a couché avec ce chien de Valentin.

Par ailleurs, hier quand nous en avons parlé, Lucie était dans ma chambre.
- Je suis sûre qu'elle n'a rien dit.
- Moi aussi, elle est très discrète, mais je me dois d'être honnête envers elles, c'est indispensable sinon, elles ne sont pas idiotes, elles vont vite comprendre ce qui se passe si ce n'est déjà fait et se rendre compte qu'il y a un souci et je préfère qu’elles le sachent...
- Souhaitez-vous le leur annoncer Vous-même ?, sinon je peux m'en charger.
- Je vais y réfléchir.
- Bien et pour Manon ? Sire
- Je ne sais pas encore quand. Mais elle sera exhibé nue jour et nuit au pilori dans la cour du Château, et elle sera fouettée en public et humiliée par tout ceux qui voudront se soulager les couilles sur elle. Après ça, je l'offrirais en pâture à mes chevaliers et certains de mes esclaves mâles les plus méritants, les plus virils et pervers afin qu’elle soit souillée à jamais. Puis elle restera au cachot jusqu'à son bannissement définitif et qu'elle ne revienne jamais dans le cas contraire elle le payera de sa vie...
- Sire, pardonnez-moi mais concernant vos cinq autres soumises, ne pensez-vous pas de les perturber, après tout elles étaient son amie.
- Oui je sais, j'y ai pensé et je ferais en sorte qu'elles en voient le moins possible mais je ne veux leur interdire de sortir dans la cour ou de ne pas regarder par les fenêtres durant la journée. Juste si elles la voient humiliée et nue au pilori, leur interdire de lui adresser la parole.

Quelques heures plus tard le Seigneur d'Evans avait informé son fils Ronan de la situation et lui aussi était sous le choc.

- Ronan, voulez-vous aller me chercher les cinq autres, je vais le leur dire, en ce moment elles sont toutes en cuisine, sauf Clémence qui donne son cours… Et en passant, demandez à Messire Léon d'aller la chercher.
- J'y vais tout de suite

Le Seigneur d'Evans avait décidé de les recevoir dans son cabinet de travail.
Quand elles arrivèrent toutes prirent la position d'attente, agenouillées.

- Prenez la position de repos, j'ai à vous parler d'un fait extrêmement grave. J'imagine que vous avez toutes remarqué hier soir et ce matin l'absence de Manon... J'ai appris de source sûre qu'elle m'a trahi en ayant des rapports sexuels avec un autre homme et cela sans Mon accord. Elle est en ce moment au cachot. Vous imaginez bien qu'une telle faute mérite la plus grosse sanction qui soit, Marion sera donc bannie de Mes Terres. Mais avant cela, elle sera punie très sévèrement en étant fouettée, humiliée, possédée par qui voudra bien la prendre dans ses orifices de salope et enfermée au cachot. Elle va devenir une véritable paillasse et je pense que peu de mâles présents au Château ne lui passera pas dessus à cette sale catin qui sera juste un trou vide-couilles. Elle m’a trompé, elle va voir ce qui lui en coûte…

Messire Léon enchaîna en disant à son tour :

- Nous savons que vous étiez amies aussi avons nous décidé de ne pas vous imposer d'assister à ces sanctions mais vous en verrez inévitablement une partie. Si vous voyez Manon où que ce soit, il vous est totalement interdit de lui adresser la parole sinon vous serez vous aussi sévèrement sanctionnées, est-ce bien clair ?

Une à une répondirent sans oser rajouter quoi que ce soit d’autre, face au courroux du Maître

- Oui Messire.

Quelques jours plus tard le Seigneur d'Evans trouva Kate dans sa chambre, elle était occupée à nettoyer et ne l'entendit pas arriver le Maître qui s'installa dans son fauteuil et lui dit sèchement

- Aux pieds chienne

Kate sursauta et vient se placer instantanément aux pieds du Maître

- Alors, on ne me salue pas

Kate fondit en sanglots et répondit :

- Maître je vous présente mes excuses, je... je ne vous avais pas entendu arriver.
- Mais qu'est ce qui t'arrive, ce n'est pas si grave, ça peut arriver.

- Ce... ce n'est pas ça Maître… c'est horrible Antonin sera furieux et s’il ne veut plus m'épouser.

Le Maître la fit se relever et s'assoir à côté de lui et la pris dans ses bras :

- Enfin Kate, calme-toi ! Pourquoi Antonin ne voudrait-il plus t'épouser ?
- Vous vous souvenez de ce qu'il m'a offert le soir de sa demande en mariage ?
- Oui une bague magnifique que tu ne portes pas d'ailleurs, ce que je ne m'explique pas
- Je ne la portais pas par respect pour Vous le Maître à qui j'appartient en son absence.
- Je ne t'ai jamais interdit de la porter que je sache.
- Non Maître c'est moi qui ait pris cette décision et j'ai le coffret dans ma chambre et il m'arrive le soir ou quand je suis seule de la contempler et pensant a lui.
- Et ?

Kate se remit à pleurer

- Et ce matin quand j'ai ouvert le coffret, la bague était bien dedans mais plus le rubis qu'il ornait, il avait disparu ...
- C'est étrange, en effet mais ce n'est pas de ta faute et Antonin le comprendra très bien. D'un autre côté, ce rubis n'est pas parti tout seul. Qui savait où il se trouvait ?
- Tout le monde Maître, je ne l'ai jamais caché.
- Ecoute, parles en aux autres, moi j'en parlerai à mes s et Messire Léon et voir si personne n'a remarqué quelque chose d'inhabituel nous le retrouverons, je vais faire mener une enquête par Messire Léon...
- Merci Maître et je vous présente encore mes excuses, de vous importuner avec cela, je vais me remettre au travail.
- Non tu n'es pas en état, va te reposer car j'ai besoin de toi ce soir, tu partageras ma couche.
- Bien Maître, merci Maître.

(A suivre …)

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