Ma Soumission - Acte Deux Rentrons A La Maison .
Je suis Leila, cest la suite de mon histoire. Il marrivait de sortir sans sous vêtement avec mon vibro, ça mexcite pas mal mais javais eu une rencontre inopinée alors que celui-ci était encore allumé...
Après cette entrevue plus quéprouvante je me suis dit que le vibromasseur passerait de long mois dans sa boite ! Mais pour lheure il fallait rentrer.
Jhésitais à me lever de la terrasse... Et si ma mouille excessive avait mouillé ma robe ? Ce genre de situations me fait penser à mes fantasmes. Habituée des histoires de sexes dhumiliations voir de viol cela représentait bien les fantasmes encore inexplorés à ce moment-là de ma vie et qui me trottais alors dans la tête depuis bien longtemps. En tout cas ce nest pas le moment dy penser ! Ça va empirer mes problèmes disons dhumidité... Et puis le fait que ça marrive là, dans la vraie vie était plus que déroutant...
Prenant bien soin de nêtre vu de personne je glissais un doigt sous ma robe...
Elle est sèche ! Superbe ! Je ne perdis pas de temps et me leva. Il faut que je rentre au plus vite retirer cet uf de malheur.
Bon jhabite à vingt minutes à pied de ce café il y a une ligne de bus qui pourrais me rapprocher un peu plus vite. Reste à savoir s'il arrivera au bon moment.
Je me suis levée fit un pas puis senti luf glisser. Non pas maintenant pas dans la rue ! Tous les muscles de mon corps se sont crispés. Les dimensions de luf font que je nai jamais été confrontée à ce problème. Mais apparemment je navais jamais été aussi trempée...
Il faut être rationnelle ! Je respirai donc profondément. Maintenant luf comme je pouvais, jentrepris ma marche salvatrice.
Javançais le plus vite que je pouvais, jétais tellement énervée après moi-même de mettre foutu dans un merdier pareil je me suis humiliée devant Hugo. Tout ça juste pour vivre un grand frisson ! Est-ce que ça en valait vraiment la peine ? Dun côté les sensations que javais eu sur le moment avaient été plus puissante que toute celle que javais eu avec mes petites promenades.
Je coupais court à mes questionnements car jai vu au coin de la rue mon bus.
Timing parfait.
Montée. Compostée.
Le bus nétaient pas trop pleins, mais je ne pris pas le temps de regarder les usagers.. Je suis restée debout, tête baissée, honteuse. Que deux arrêts.
Puis le bus redémarra et dun coup luf se ralluma à la puissance maximale.
Je nai pas réussi à contenir le petit jappement qui sorti de ma bouche.
Comment cest possible !?
Personne ne semble lavoir entendu. Je nose pas me baisser pour prendre la télécommande au fond du sac. Et si le vibro tombait devant tout le monde ? Cette idée ma totalement immobilisé. Mais je sens que lexcitation reviens, enflammant mon bas ventre. Je me sens épiée comme si tout le monde pouvait entendre les vibrations, ma respiration saccadée, les battements surpuissants de mon cur, lodeur de ma mouille, les frissons sur ma peau. Ma tête fus pris de vertige. Le vibromasseur ralentit puis accélère. Lexcitation elle ne fait que de monter. Ma respiration saccélère toujours plus. Cette situation est bien trop proche de mes fantasmes. Prise au piège incapable de retirer le vibromasseur et ses mouvements diaboliques. Tétanisée. Je sentais ma mouille qui commençais à dégouliner le long de ma cuisse. Je me mets donc à serrer les cuisses de toutes mes forces et sens les vibrations les parcourir. Le vibromasseur ne me laisse aucun répit. Je me mords la lèvre aussi forte que possible de peur quun gémissement ne sorte. Je sens mes tétons pointer de plus fort quils pouvaient à travers le t-shirt. Mon excitation est à son climax, plus je retiens lorgasmes que je sens arriver plus je sens quil monte en puissance. Je réprime de toutes mes forces les spasmes qui vont arriver.
Hannn... Un gémissement m'échappe, je vois des têtes se tourner.
Et cest là entre ces bennes que javais eu alors le plus gros orgasme de ma vie.
Quand jai récupéré mes esprits, jétais dans une sorte détat second. Jai commencé par retirer luf le jeta dans une des poubelles. Vérifié que personne ne me voyait. La rue était toujours déserte. Prié que personne neut lidée de regarder par une fenêtre. Dun pas rapide je fais les derniers mètre jusquà mon immeuble.
Arrivée je méchoua sur mon lit. Je ne sais pas combien de temps j'étais restée dans la rue et javais peur de la réponse. Evacuant mon trop plein démotions, je me suis mise à pleurer.
Pourquoi luf était-il donc devenu fou ?
PS : Oui 3 ans entre les parties cest mal je devrais être puni !
La suite est déjà en écriture... Nhésitez pas à me laisser des commentaires jaime vous lire ou aller voir ma fiche. La bise.
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