Myriam Se Révèle
Commençons par le début et par me présenter. Je suis Myriam, une sage mère de famille mariée et rangée. Je viens de Guadeloupe mais cest dans la région Toulousaine que jai posé mes bagages. Ma peau est brune et je dépense une fortune chez le coiffeur pour lisser mes cheveux noirs afin que mon carré et ma frange soient toujours impeccables. Je mesure un mètre soixante et mes deux grossesses mont laissées des hanches plantureuses et un petit ventre mais cest à peu près tout. Mes seins quant à eux nont pas tellement souffert de lallaitement de mes filles et je nai pas à rougir de la tenue de mon 90c pour mes 45 ans
Lhistoire que je mapprête à vous dévoiler remonte à un peu plus de trois ans.
Mon couple étant devenu dun ennui mortel, javais envie de pimenter un peu mon quotidien. Jen parle à ma copine Patricia qui me conseille dessayer les sites de rencontres adultères. Après quelques rencontres décevantes avec des hommes seulement guidés par lenvie de « tirer un coup avec la femme dun autre », ou obnubilés par la seule volonté daccrocher une femme noire à leur tableau de chasse, jexplique à Patricia que je suis déçue de prendre le risque dêtre découverte surtout si cest pour me faire sauter aussi mal quà la maison ! Je lui avoue que jai très envie dhommes me prenant en main de façon un peu rude et je confesse être ennuyée par les soi-disant « étalons » qui passent des heures à « mâchouiller » ma vulve et quelques minutes seulement à mhonorer en me demandant presque lautorisation de me sucer un sein ! Alors, cernant mon problème et mes attentes, dans sa grande générosité, Patricia me propose de me « brancher » avec un de ses amants.
Il sagit dun homme mûr : 63 ans mais encore très vert. Patricia me prévient quil est très exigeant mais quil sait sy prendre et quelle vit des moments très intenses (... et jen aurais les preuves par la suite !!) Point positif, il est marié et ne veut rien dautre que du sexe.
Cest alors que je vois une femme sortir de chez lui. Je reconnais sa femme que jai entrevue en photo. Elle se dirige droit vers ma voiture. Je suis habillée comme il me la demandé : minijupe en jean, débardeur blanc, soutien-gorge pigeonnant, bottes à talons (bref une tenue de pute et culotte interdite !) Je suis pétrifiée en voyant cette belle bourgeoise châtain clair au brushing impeccable et à la cinquantaine élégante venir droit sur moi dans son tailleur strict et chic. Quand elle passe à côté de ma voiture en longeant ma portière, jai envie de disparaître dans ma boîte à gants alors quil ny a aucune chance quelle sache qui je suis ni ce que je viens faire dans son quartier. Elle sarrête puis monte dans la Mégane, démarre et sen va sans même mavoir remarqué. Ce salaud la fait exprès pour me mettre en grande situation de stress. Au même moment je reçois un texto : « Respire et rapplique! La porte est ouverte, monte lescalier, porte de droite. » Mon cur ne se calme pas, bien au contraire car vient maintenant le moment daller me faire prendre sans savoir à quoi mattendre.
Je mexécute et pénètre dans la chambre où il mattend allongé, nu sur le lit défait. Dun bond, il me rejoint. Il se colle derrière moi et comme il sait (car Patricia le lui a spécifié
) que jai très envie de relation bestiale, il me murmure :
« Alors, on est venu se faire défoncer ma salope? »
Il me mord loreille et continue : « Pour moi, lavantage avec une mère de famille cest quelle est toujours prête à servir, pas besoin de la préparer pendant des heures, au moins le trou est toujours ouvert ! »
Il mêle les gestes à la parole puisque sa main pétrie mon cul en troussant ma mini, glisse sous mes fesses, son poignet moblige à ouvrir légèrement les cuisses et aussitôt, son index et son majeur pénètrent mon vagin et déjà son pouce force mon anus.
Son autre main, pendant ce temps, malaxe mes seins et les déballe sans mal de mon soutien-gorge. Les commentaires grivois se poursuivent : « Jétais sûr que tavais de bonnes mamelles et je sais que taimes les montrer ! Tu tamusais à me chauffer avec ton décolleté lautre jour pendant quon prenait un café avec Patricia : maintenant, va falloir assumer ma cochonne ! » Il pince et tourmente mes tétons sans aucune délicatesse puis me gifle les seins à plusieurs reprises ce qui me saisit et me transit. Je grogne, gémit et me cambre si brusquement que ses doigts senfoncent encore plus profondément dans mes orifices impuissants.
Il ne relâche pas sa prise de mon intimité, bien au contraire. Avec sa main qui fouille mes grottes sans pudeur, il me décolle quasiment du sol, tandis que dans ma chatte, je sens ses doigts qui sécartent lun de lautre pour mouvrir sans ménagement. Il me pousse ainsi jusquau lit sur lequel je tombe à plat ventre. Le temps que je réalise que ses doigts ne sont plus en moi, il est couché sur mon dos et très habilement, sans le moindre tâtonnement il enfile sa queue dans mon vagin. Je crie une première fois. Il reprend mon oreille avec ses dents, la lèche, la mord (Au cours de nos échanges préalables, jai eu le malheur ou le bonheur de lui avouer que mes oreilles étaient très érogènes !) Ses mains remontent de mes hanches à mes seins, les empoignent et la séance commence: il me besogne ainsi par derrière de manière autoritaire et virile, sans même mavoir embrassé. Je me fais honte et je sens pourtant que je vais vite jouir.
Il me dit : « Alors tas vu ma bourgeoise ? » Jacquiesce en haletant.
Il continue : « Elle était couchée là il y a une heure et maintenant cest toi qui va bouffer son oreiller !... »
Ses mots me font autant deffet que ses coups de reins. Je me découvre tel quil ma deviné : prenant mon pied à être bousculée. Je jouis une première fois sans oser me montrer bruyante.
Il sallonge sur le dos et minvite au 69. Je le prends généreusement en bouche tandis quil dévore mon sexe et mon cul. Je repense alors aux mots de Patricia : « Tu vas voir ma vieille, on ta jamais bouffé le cul comme il va te le faire ! »
Et en effet, sa langue, sa bouche sont dune précision et dune intensité telle que je sens à nouveau la boule de lorgasme monter dans mon ventre. Il le devine car ma mouille devient épaisse et abondante. Je coule à grandes eaux et mapplique pour lui donner quand même une pipe digne de ce nom. Comme il sait que je suis surtout vaginale, il attend le dernier moment pour me planter 3 doigts dans le vagin et me pistonner férocement tandis que sa langue râpe mon anus. Je libère sa queue et explose cette fois-ci sans retenue. Je crie comme une folle, empale ma vulve sur sa main et mon cul sur son visage. Jondule, me saccade, je tremble comme une feuille... je suis en transe. Il me laisse à peine redescendre que, déjà, sa main libre agrippe ma nuque et me ramène à mes obligations de suceuse.
Je reprends le cours de ma fellation mais mon orgasme ne la pas laissé insensible. Il est dur comme du béton et sa bite bat comme un cur dans ma bouche. Il me bloque la tête avec ses mains, soulève ses hanches et se met à baiser ma bouche. Sans ménagement, il explose au fond de ma gorge. Une main bloque encore ma tête mempêchant de la reculer et lautre main cherche mon nez pour le pincer, mobligeant à déglutir et avaler donc une grande quantité de sperme.
Nous ne sommes quau début de cette matinée qui semble devoir tenir toutes ses promesses
Cest vrai quà peine cinquante minutes se sont écoulées depuis mon arrivée dans cette maison et jai déjà perdu toute notion de morale et de temps. Il me tarde davaler un grand verre deau pour faire passer le goût du sperme qui persiste. Toujours allongé sur le dos, il me claque le fessier en disant :
« Bon cest pas tout ça ! Toi tu viens de prendre ton petit déjeuner mais pas moi. Fini de te foutre à poil et descend à la cuisine me faire un grand bol de café brulant, je te rejoins. »
Debout à côté du lit, je dégrafe enfin mon soutien-gorge qui ne soutient plus rien depuis longtemps ; je retire mon débardeur remonté en bandeau au-dessus de ma poitrine et ôte ma mini-jupe en jean tire bouchonnée sur mes hanches depuis le début de lassaut. Il me regarde paisible me dévêtir et je le sens fier de lui. Je ne pense quà une chose : regagner la cuisine et avaler un verre deau. Cest alors quil minterroge : « Tas pas trop lhabitude davaler du foutre nest-ce pas ? »
« Oui, ça ne mest pas arrivé souvent
»
« Par contre tu suces pas trop mal
Tu suces mieux que ta copine Patricia
mais pas aussi bien que sa copine Audrey ! »
A lévocation de ce prénom, je sursaute. Déjà effarée quil ose comparer ma méthode à celle de ma copine mais voilà quil lâche un prénom que je connais. Serait-ce possible quil connaisse aussi Audrey, la troisième de la bande.
« Tu la connais Audrey ? » reprend-il.
« Ça dépend : quelle Audrey ? »
« La copine blonde de Patricia
Celle qui sest mariée il y a environ six mois. Patricia ma montré quelques photos du mariage et dailleurs, vous étiez bien bonnes en demoiselles dhonneur toutes les deux !... Eh bien, moi aussi je la connais : son air de ne pas y toucher, sa peau de porcelaine, son gros cul blanc plein de cellulite, ses seins en poires aux tétons roses pâles à peine visibles et son sourire chevalin ! Cest une bonne grosse chienne elle aussi. Vous formez une sacrée équipe de pétasses toutes les trois ! » Surenchérît-il dans un éclat de rire. «Cest la moins bandante des trois mais cest la meilleure suceuse. Elle a dû en avaler pour avoir une technique pareille ! Tu vois, Patricia, elle est trop nerveuse, trop sèche dans ses coups de langue, dans sa façon daspirer. Toi, tas pas une grande technique mais on sent que tu tappliques. Tu es douce et tendre : une bonne maman, quoi. Et puis ta bouche est chaude et tes grosses lèvres de black : cest du velours ! »
Jai les jambes coupées, je suis estomaquée et je descends à la cuisine. Arrivée à la moitié de lescalier jentends dans la chambre un tiroir qui souvre et se referme.
Mon verre deau engloutit, je maffaire à la cafetière quand il me rejoint. Je ne remarque pas ce quil pose en vitesse sur une des chaises de la cuisine rangée sous la table. Lui aussi avale un verre deau mais jobserve quil lui sert à ingurgiter un comprimé que je devine bleu. Preuve sil en était besoin que les événements ne vont pas cesser de sitôt. Le café est fumant dans un grand bol mais il me demande de le passer quand même au micro-onde. « Je laime brulant » précise-t-il. Il est assis en bout de table et me regarde déambuler, nue (jai toujours mes bottes beige à talons !) à sa gauche. « Tas vraiment un bon cul pour ton âge ! Tu dois les faire bander les mecs au bureau ?... Y en a pas quelques-uns qui te grimpent dessus de temps en temps ? » « Sûrement pas ! » Jessaye de répondre en mentant du mieux possible afin de couper court à cet interrogatoire et ne pas être contrainte davouer les quelques moments dégarement qui émaillent parfois ma carrière.
Le « cling » du micro-onde me sauve et je dépose devant lui le grand bol plein de café brulant. A cet instant, je remarque quen plus de son verre deau, il a fait couler un bol de glaçons du frigo Américain et quil est posé sur la table. « Café bouillant et glaçons : quel drôle de petit déj ! »... Je ne croyais pas si bien dire.
Comme je me tiens à côté de lui, il me saisit par la hanche et minvite à massoir sur ses genoux. Je passe entre ses jambes et me pose, de côté, sur sa cuisse gauche. Je ne prends ni la peine de croiser les jambes ou de serrer les cuisses car jimagine que cest peine perdue. Il passe mon bras droit autour de ses épaules et pose directement sa bouche sur mon sein droit. Il maspire le téton et me tète comme un nouveau-né. Lestement, sa main gauche sempare dun glaçon et vient lappliquer sur mon téton gauche. Le froid me transit. La caresse se poursuit et mes seins menvoient des signaux déroutant. Le gauche, frigorifié, presque douloureux et le droit cajolé, excité au plus haut point. Sa main droite se pose sur ma cuisse et remonte très vite sur mon sexe quelle empoigne. Comme à son habitude, deux doigts fouillent très vite mon vagin me ressortent aussitôt, glissent rudement le long de mes lèvres, tirant ma fente vers le haut tandis que le pouce se pose sur le capuchon de me clitoris, appuie en le tirant un peu en arrière pour décalotter mon bouton. Déjà, lindex recroquevillé titille mon petit dard à vif. Son pouce appuyant très fort sur le haut de mon sexe, ma grotte souvre et sen échappe un filet de cyprine visqueux qui coule sur sa cuisse puis sous mes fesses. Pendant de longues secondes, il me caresse ainsi mamenant à nouveau au bord de la jouissance. Je suis haletante et animale mais nose bouger. Dans un état second, je ne remarque même pas quun glaçon a échoué dans sa main droite et il lapplique soudainement sur mon clitoris pourpre, sorti de sa coquille, gorgé de sang et de désir. La sensation de froid mélectrise un je me lève dun bond mais reste pliée en avant car il tient mon téton droit entre ses dents. Je grogne et il le relâche laissant tomber du même coup le glaçon qui terminait de geler ma tétine gauche.
Il se lève lui aussi derrière moi, je suis penchée en avant sur la table de la cuisine, les jambes ouvertes et les genoux légèrement fléchis, je tremble et tente de reprendre mes esprits. Il ne men laisse pas le temps. Sa main droite se crispe su ma nuque mempêchant de redresser plus. Sa main droite rapproche le bol de café fumant sous ma poitrine, saisit mon sein gauche glacial et il moblige à plonger mon globe dans le bol de café qui déborde. Je ne saurais décrire avec justesse la sensation que jai ressentie, délicieuse et terrifiante à la fois. Je sens sa verge tendue blottit contre mes fesses. Il se penche sur mon dos, et murmure en me suçant loreille : « Tu ne crois pas que je tai sucé le cul pour ne pas men servir ma gentille Myriam ? Cest lheure de lenculade ma pétasse ! »
Mais pourquoi diable redresse-t-il la tablette numérique posée sur la table depuis des heures et pourquoi lallume-t-il alors que son projet est de me sodomiser. Il ouvre un fichier vidéo et je comprends. Sur lécran, le visage de Patricia dans la même position que moi et au même endroit. Elle est filmée en gros plan mais on voit ses minuscules seins aux tétons bruns très tendus qui pendent modestement. On devine lhomme sactivant derrière elle et en voyant les différents rictus et les différentes grimaces de ma copine, on na aucun mal à imaginer ce quil est en train de faire. Toujours penché sur mon dos, en se redressant, il saisit un objet sur une chaise voisine mais je nai pas le temps de voir de quoi il sagit. Je vais le comprendre bien vite. Sur la vidéo, le son est bien audible. « Allez ma petite pute, je te la rentre cette fois dans ton petit cul serré ! » Le visage de Patricia se crispe, ses mains sagrippent à la toile cirée. On devine que le cylindre senfonce dans ses chairs. La connaissant, je ne peux pas imaginer quil sagisse de sa première sodomie mais peut-être avec si peu de préparation et dégards
Au même moment, tandis que je ne me soucie plus du tout de ma mamelle baignant dans le café, je sens que cest mon anus à moi que sa tige est en train de forcer. Mais ce nest pas tout, je sens un objet que je reconnais tout de suite pour un gode me pénétrer la chatte. Les deux gourdins senfoncent en moi simultanément si bien que la progression du gode dans mon sexe mempêche de pousser mon anus confortablement pour le rendre accueillant. En face de moi, Patricia est maintenant pilonné, défoncé et elle crie, gémit, se mord les lèvres, bouge sa tête dans tous les sens. En moi, le gode arrête davancer mais dun coup de rein sauvage, il pousse son gland en fond de mes entrailles. Ce coup de boutoir me secoue et mon sein renverse le bol de café qui se répand sur la toile cirée. Puis cest la bite qui recule et le gode qui senfonce brutalement, au plus loin. Et ainsi, pendant de longues minutes, il va me prendre les orifices en alternant laction des deux matraques. Sa main gauche sous ma chatte pour diriger le gode et sa main droite me plaque sur la table et jécrase mes obus dans la marre de café. Patricia se fait besogner de plus belle et il se déchaîne dans son fondement. Mais je ne men soucie plus, je suis toute à mon traitement de choc.
Je commence à avoir larrière des cuisses tétanisés, alors je me risque à monter mon genou puis ma cuisse gauche sur la table en restant bien entendu écrasée sur cette dernière. Il prend cette initiative pour une provocation : « Ten as pas assez ma grosse ? Tu ne te fais pas assez remplir ? » Au lieu de salterner, les deux pistons qui me perforent avancent et reculent ensemble désormais. Au plus profond de moi je sens leurs extrémités qui râpent la paroi qui les sépare et jai limpression quil me fend en deux. Je suis maintenant vautrée sur la table, sans aucune pudeur puisque mes poils pubiens trempent désormais dans la mare de café. Et il me lime de plus belle. Le traitement est trop rude pour que jatteigne lorgasme mais mon partenaire, de son côté, y arrive très bien. Je sens sa verge sortir dun coup de mon conduit et très vite de longs jets chauds se posent sur ma colonne vertébrale.
Je suis en sueur et me sens humiliée et brisée. En face de moi, Patricia na pas encore connu la délivrance et elle continue de se faire secouer comme une poupée gonflable. Il éteint la tablette et la referme. Son habituelle claque sur mon cul marque la fin du deuxième acte.
« File prendre une douche le temps que je range un peu parce que tas fait du propre ma salope ! »
Ce nest quune fois dans la salle de bain que je constate que le gode est encore engagé dans ma vulve endolorie. Il faut dire que jai grimpé lescalier assez vite pour éviter que le sperme qui a souillé mon dos ne coule sur le sol. La plus grande partie a ruisselé dans le sillon de mes fesses mais aucune trace de mon passage dans le couloir. Je libère le sextoy, le pose à côté du lavabo, ôte enfin mes bottes et me réfugie sous la douche. Je regarde la pendule qui indique 10h47. Je suis arrivée à 8h30. Cela fait donc maintenant plus de 2h15 que je me fais baiser
Cette pensée me décroche un sourire. Je me savonne onctueusement quand mon étalon débarque dans la salle de bain. Il remarque le gode et éclate de rire : « Jai bien cru que tu essayais de me le voler tellement il ta fait du bien ! »
Il me rejoint sous la douche et sinquiète enfin de moi : « ça va ? Ça te plaît ? » Je suis bien obligée de reconnaître, honteuse, que : Oui ça va très bien et encore Oui, ça me plait !!
Il entreprend déjà de me peloter à nouveau. « Tas vraiment un corps excitant Myriam » me glisse-t-il en malaxant mes seins puis pétrissant mes fesses. « Je comprends pas pourquoi ton mari te délaisse comme ça ?... Remarque il va peut-être voir ailleurs lui aussi ?... Si ça se trouve, il senvoie tes copines ! » Sesclaffe-t-il
Je sens la colère montée. Et sil était au courant de quelque chose. Et si ces salopes de Patricia ou Audrey (ou dautres copines) qi sont toutes bien plus jeunes que moi samusaient à me cocufier
Je me perds dans mes pensées et cest encore une fois ses doigts rentrant dans mon con et sa bouche grignotant mon oreille qui me ramènent au moment présent. « Jai encore envie de te sauter » me souffle-t-il. Il me retourne face à lui cette fois-ci. Sa main gauche reprend ma chatte en main et la droite mes nichons. Je suis plaquée au mur froid de la douche. Il membrasse à pleine bouche, me rentre une langue énorme et perverse puis il me lèche le visage, me suce le nez
Il e dévore en me branlant la chatte avec énergie. Cette fois, jai le temps de réagir et je saisi sa queue à pleine main pour le branler avec vigueur. Cest à peine pensable mais jai encore envie quil me possède, quil me baise, quil me démonte, là, dans la douche. Je détaille enfin son corps sculptural dancien légionnaire. Malgré ses soixante ans passés, ses muscles sont saillants et ses épaules robustes. Sa main droite a lâché mes seins, est passée son mes fesses, glissé derrière ma cuisse gauche jusquau plie du genou pour le relever. Je sens la pénétration venir. Je lâche son sexe, noue mes mains autour de son cou. Ses doigts ont quittés mon vagin et mes pieds ne touchent plus le sol. Une main sous chacun de mes genoux, il mempale sur son sexe impitoyable. Mes yeux cherchent les siens. Il me claque encore plus fort contre le mur et commence à me faire monter et descendre sur son pieu. Il me plante, me perfore dans une bestialité délicieuse. Mes jambes sont nouées autour de ses hanches. Ses mains désormais soutiennent mes fesses et les ouvrent à men déchirer le sillon. Leau de la douche coule sur mes seins, dans mon dos. Ma raie sert de dalle et je sens leau ruisseler sur les bords de mon anus meurtrit que ces doigts indécents persistent à ouvrir en tirant de chaque côté. Cest moi qui monte et descend sur sa bite à présent et je me fais jouir sur ce pilonne de chair. Je jouis une première fois en lembrassant furieusement. Il me pose à terre. « Jaime trop ton pétard, je veux te finir en levrette ! » Je mexécute et me jette à 4 pattes dans la douche. Il saccroche à mes hanches et me tire en arrière pour enfourner à nouveau sa baguette dans mon fourneau. Sensuit une levrette endiablée qui me procure un nouvel orgasme encore plus bouleversant que le précédent. Je sens sa verge grossir et durcir encore et, en femme expérimentée, je sens que le dénouement est proche. Entre deux gémissements je linforme : « Pas dedans sil te plaît, je suis en pleine ovulation
» « Et tu veux te faire engrosser ? » Me demande-t-il. « Nooon, sil te plaît, non ! » Me voilà le suppliant. Il respecte ma demande en se retirant. « Alors fais voir ta jolie frimousse de maman, ma grosse putain ! » Je me retourne et offre mon visage à son explosion. Il se ravise en voyant mes seins généreux et trempés. Il se baisse et je comprends. Je sers mes obus lun contre lautre pour lui offrir un nid fendu. Il se branle entre mes globes en me serrant la gorge. Il relâche sa prise et je reprends mon souffle pour sentir ses mains bloquées ma tête et son sexe se frotte sans ménagement sur mon visage. Machinalement jouvre la bouche et il sy engouffre brusquement marrachant un haut le cur puis sa queue chargée de mon excès de salive violente à nouveau mon visage et les jets de sperme viennent enfin souiller mon minois brun. Il maide à me relever. « Tes une salope de concours ma chérie ! » Nous terminons notre douche.
« Tu dois être au boulot à quelle heure ? »
« Vers 14h30 au plus tard »
« Parfait ! Tas prévue ta tenue pour aller au travail directement comme je te lai demandé ? »
« Oui oui, ma robe et mes sous-vêtements sont dans le petit sac de voyage que jai laissé dans lentrée en arrivant. »
« Parfait. Tu te prépares et je te sors ma poulette ! »
Je suis stupéfaite. Voilà qui nétait pas prévu. Il fait si doux en ce mois de mai que cest avec plaisir que je porte cette robe rouge à bretelles au jupon mi-cuisses très évasé. Le décolleté en V est très provocant mais jai choisi un bel ensemble en dentelle rouge dont le petit nud de satin qui trône visiblement (dès que je me penche) entre les bonnets du soutien-gorge a son semblable en haut de la bande de tissus sortant de ma raie des fesses sur le string assorti. Je me trouve belle et jai rangé mes bottes leur préférant des escarpins ouverts à talons compensés. Il nest que 11h30 mais mon étalon a peut-être envie de minviter à déjeuner. Il mexplique que même si lendroit où nous nous rendons nest pas loin, nous prendrons ma voiture afin que je puisse partir au travail directement ensuite. Il conduit et en effet, se gare bien vite devant un bar peu engageant. De moins en moins rassurée je le suis et mattend au pire.
« Salut la compagnie » hurle-t-il goguenard.
Un homme rouge à lunettes, sans âge avec un ventre énorme lui répond aussi sec ! « Enfin, on a failli attendre »
Je suis très inquiète. Lacte 4 va-t-il me plaire ?
Lhomme ventripotent se lève difficilement et roule plus quil ne marche vers une petite pièce du fond. Mon amant sadresse au patron qui se tient derrière le bar. « Je vais voir les gars, je te confie la jument. Tu nous lamène dans deux minutes ? » Cest donc moi « la jument » puisque cétait en me désignant du menton quil a dit cela. « Tu pourrais amener tes poufiasses ailleurs » éructe la petite bonne femme insignifiante qui dépasse à peine derrière le comptoir mais qui savère être la patronne. « Et ne me dégueulassez pas le billard cette fois-ci ! »
puis posant enfin son regard méprisant sur moi, elle enchaîne : « Et une bamboula cette fois-ci ! Ben ça manquait, tiens ! » Cest ainsi, il faut sûrement sy faire. A peine à dix minutes du centre de Toulouse, les propos racistes ne se cachent pas !
« Mais Marie-Jo, si je les amène ailleurs, cest toi que les gars vont finir par baiser, tu sais bien ! Ou alors cest ce que tu veux coquine, va !» Eclate de rire mon accompagnant en sengouffrant lui aussi dans la pièce arrière, tandis que Marie-Jo, rouge de colère, hausse les épaules.
Les deux minutes me paraissent interminables. Les deux vieillards avinés accrochés au comptoir me scannent avec insistance. Je me dandine dune jambe sur lautre puis enfin, le patron sort de derrière son bar, se place juste derrière moi et me dit : « Allez, au boulot la négresse ! ». Il me pousse légèrement en avant et je me dirige vers la porte. Il me louvre et au moment où je passe à côté de lui, il ne se retient pas et me flanque une magistrale main au cul, mempoignant vulgairement le train arrière. Je rentre dun bond dans la pièce où trois hommes et mon chaperon mattendent assis autour dune table en bois, juste à côté du fameux billard. Il y a là le vieux binoclard à bedaine, et deux gaillards blonds aux cheveux rasés. Je ne leur donne même pas trente ans mais ils sont massifs et je remarque les mains énormes dun des deux. La porte se referme derrière moi et les deux gaillards me rejoignent. Sans rien dire, ils empoignent chacun un sein et commence à me tripoter. Lun deux glisse lestement une main sous ma robe, enfouit ses doigts sous mes fesses, agrippe la ficelle de mon string et la tire fort vers le bas pour me le baisser. Je marque un geste, comme une ruade et me met de côté pour lempêcher mais lautre pince plus fort mon sein marrachant un « Ouch » de douleur. Puis sadressant à mon escort : « Dis-donc, elle est fougueuse ta grognasse ! » Son compère se penche sur moi et me confirme ce que je redoutais. « Tas tort de te débattre ma grosse truie parce que, que tu le veuilles on non, on va te démonter et te faire crier ! »
Il sadresse à nouveau à mon piégeur : « Dis donc, cest pas de première jeunesse mais cest de la bonne viande ça ! Franchement, 30 par tête pour enfiler ça, cest les soldes. Quand je pense que pour la petite brune tu nous prends 50 à chaque fois ! » « Dailleurs cest une de ses copines, comme la blonde au gros cul que je vous ai amené il y a trois mois ! » Lui répond mon mâle. « Ma parole, tas trouvé un nid de poufiasses on dirait ! » Je nen reviens pas : il est donc évident quil a vendu mon corps à ses porcs et pour une somme dérisoire en plus. Le bedonnant prend la main.
« Amenez-la un peu par-là les gars ! » Il mempoigne à la taille et massoit sur ses genoux. Il remonte ses mains sur mes épaules, écartent les bretelles de ma robe et dévoile mon soutif. Je ne sens même pas son sexe sous mes fesses car son ventre le camoufle. Les deux autres ont sortis leurs queues et les présente à ma bouche. Je lance un regard désespéré à mon étalon qui se délecte de la situation. Résignait, jen prends un en bouche en commence à branler lautre puis jalterne. Le vieux vicelard ne perd pas de temps et il fait jaillir mes seins de mon soutien-gorge. « Regardez les mamelles un peu les gars ! » Mieux que regarder, les deux jeunes les tripotent, les soupèsent, les pincent et le claquent un peu. « Cest pas comme ça quon chauffe des nibards de maman, les gars ! » prétend le vieux. Depuis sa position arrière, il prend chacun de mes seins, les écartent puis se met à les claquer très fort lun contre lautre. Je fini par lâcher un premier cri. Il sarrête, glisse une main entre mes cuisses, écarte le triangle de mon string et enfonce son pouce dans ma chatte. Victorieux, il assène : « Voilà, cette fois elle est mouillée ! Bon Installez la moi, je vais la baiser ! »
Ses acolytes me relèvent et me guident. Ils me poussent de dos vers billard. Mes fesses sappuyent sur le rebord. Ils prennent une jambe chacun, me soulèvent et me basculent sur le billard. Lun deux arrache enfin mon string et apercevant mon anus, glisse à mon entremetteur : « Dis donc, tu lui as crevé lil mon salaud. Elle a le cul en chou-fleur la miss ! » Léclat de rire est collectif mais déjà lénorme papi se vautre sur moi. Il pèse une tonne et mécrase. Sa main pétris ma vulve et je sens son gland qui cherche lentrée. Il me pénètre sans mal et il nest très dur ni très membré. Il sactive en sessoufflant très vite. Maîtrisant difficilement son souffle, il demande à mon propriétaire du jour : « Au fait, elle veut le ballon celle-là aussi ? » « Non non, pas elle » sempresse de répondre lintéressé qui nous bombarde de photo avec son smartphone. « Il nest pas question de lengrosser celle-là ; pas comme sa copine blonde ! » « Dommage » grommèle le vieux en caressant mon visage et tentant de me sourire. Ce que jentends mhorrifie. Cela est-il possible. Je sais quAudrey et son mari ont du mal à mettre un en route mais est-il possible quelle est remis sa fécondation à ces butors ?
Le vieux se redresse, son petit sexe sort du mien et son gland violasse crache un foutre jaunâtre sur mon ventre et il sessuie grossièrement sur ma touffe. On me jette un rouleau de sopalin mais je sens déjà des doigts à nouveau dans ma chatte. Je me redresse sur mes coudes pour messuyer et je vois un des 2 blonds me tripoter lintimité. Il me recule sur le billard et me positionne au milieu du tapis. « Je vais te défoncer salope » sencourage-t-il. Ses yeux sont effrayants. Il rabat mes genoux sur ma poitrine et enfonce sa queue dans ma chatte sans plus de cérémonie. Violent mais très rapide, tel sera le résumé de cette saillie. Les coups de reins sont dune grande ardeur. Sa bite est plutôt épaisse mais ma pauvre minette est tellement sollicitée depuis ce matin quelle ne sen plaint même pas. Il me défonce avec force comme il me lavait promis mais il sarrête très vite et vient décharger sur mes seins. Il gifle mon visage avec sa queue ramollit et il disparaît. Le second grimpe sur le billard avant de grimper sur moi bien entendu. Jessuie les souillures du client davant mais lui me fait rouler sur un côté. Il veut me prendre ainsi, par derrière, allongés, comme il a sûrement dû le voir dans les films pornos dont il doit se gaver. Je laide en donnant mes fesses pour quil puisse enfin glisser sa verge dans mon fourreau. Il sactive ainsi dans mon dos. Il est plus membré que son copain mais pas beaucoup plus endurant. Au moins, ses grosses mains jouent sans cesse avec mes bouts de seins et cest bien la chose la plus agréable. Il se retire de justesse et inonde mon cul. Prit dassurance il se risque à appuyer son gland sur ma rosette mais le pauvre (cest ironique) sûrement gagné par le trac débande déjà.
Jai terminé mon travail de pute me dis-je. Mon mentor nen a pas perdu une miette. De nouvelles auréoles de sperme et de mouille ornent désormais le billard. Assise sur le rebord, je range mes seins dans mon soutien-gorge, rajuste ma robe et cherche du regard mon string. Je le vois sous une chaise. Je me déplace pour le ramasser mais le patron du bistrot qui rentre à ce moment-là me larrache des mains « Ah non ! Ici, on garde les culottes des vide-couilles ma poufiasse ! » Il attache à mon string une petite cordelette ornée dune étiquette sur laquelle on peut lire la date du jour puis mon prénom et mon âge. Puis, il se dirige vers la poutre de la cheminée du fond de la pièce et y accroche mon dessous. Par curiosité, je parcours létendard décoré dune dizaine de petites culottes et repère vers le milieu un string noir au nom de Patricia, 32ans et en avant dernière position, une culotte en satin blanc étiquetée : Audrey, 32 ans. Cest désormais mon string rouge marqué Myriam, 42 ans qui termine le palmarès.
Un des 2 garçons qui avait disparu après mavoir honoré, rentre en trombe dans la pièce. « Cest bon Tony, Marie-Jo vient de descendre. Je te tiens le bar. Mets-lui une danse avant quelle parte ! » Quand il ny en a plus ; il y en a encore, me dis-je !
Le fameux Tony se rue sur moi, me jette face contre la table, remonte ma robe sur mes épaules. Il pétrit mes zones sensibles, et il est le seul à chercher mon clitoris. Il me le pince, le frotte. Il a sorti sa queue et la frotte sur mon cul pour la faire durcir. Pour lui faciliter la tâche et le chemin, je monte un pied sur une chaise ouvrant par la même mes fesses. « Oh putain quelle est bonne cette négresse ! » étouffe-t-il en cherchant de son gland lentrée de ma chatte. Il rentre enfin, déballe à nouveau mes seins pour les tâter avec ardeur. Il sactive, me pilonne. Une main glisse à nouveau sous ma chatte par devant et reprend lénervement de mon bouton. Sans pouvoir rien contrôler et sans lavoir senti venir, je suis prise dun orgasme fulgurant. Je nose pas crier mais ne peut contenir tous mes gémissements. « Putain, elle jouit la salope les gars ! Regardez la moi se baiser toute seule ! » En effet, cest ma croupe que je tends et offre de plus belle à chaque coup de rein pour que cette ultime bite de la journée me fasse grimper aux rideaux. Lui aussi sextirpe de justesse de mon vagin pour lâcher sa purée sur mon fessier tremblant.
« Tony, magnes-toi, Marie-Jo remonte » prévient le tenancier doccasion. Tony remballe en vitesse son matériel et va rejoindre son comptoir. Jessuie à nouveau mon cul et range une nouvelle fois mes nibards à leur place.
Je me rajuste tant bien que mal. Mon chaperon maccompagne dehors et je traverse le bar sous les regards pervers des clients plus nombreux quau début (qui ont dû entendre ce qui se passait à côté) et sous le regard affligé de Marie-Jo. Il est 14h et jai 20 minutes de route pour rejoindre le bureau. Pas le temps de repasser chez moi. Jenrage.
Il madresse une ultime claque sur le cul et son sourire vainqueur me plaît autant quil me dégoûte. Quelle matinée éprouvante. Au volant de ma voiture, je fais un rapide bilan en me rendant compte que je suis cul nu pour laprès-midi après mêtre faite âprement travailler pendant des heures. Comment ai-je pu prendre du plaisir à cela ? Un texto me sort de ma torpeur. Cest Audrey qui mannonce fièrement quelle est enceinte
Quelle salope !
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