Aujourd'hui Je Dis Tout...
Pour une chose que je ne me souvienne plus je me retrouvais à loger chez les parents de ma copine.
À lépoque, tout ce qui concernait mon ex me paraissait merveilleux, aussi ai-je trouvé sa maman gentille. Elle avait alors la quarantaine, vivait avec son mari et deux autres s. Elle était de physique lourde, bien en chair pour parler franchement. Comme à son habitude elle était vêtue en tailleur. Très attractive avec un léger décolleté.
Le fait que ma copine prenait son service de très bonne heure fit que je me retrouvais seul avec sa mère. Autour dune tasse de café, nous échangions des banalités, mais je devais faire un effort extrêmement puissant pour détourner mes yeux de sa poitrine, volumineuse qui semblaient encore fermes et qui mexcitaient au plus haut point.
Naturellement jétais autant séduit par la mère, que par la fille. Mon attirance pour la mère était peut-être plus fort que pour celle de la fille, car Colette la mère, était, je le pensais inaccessible et le sentiment que jéprouvais pour elle était agrandi par le fait quil y avait une sorte de violation sociale.
Notre histoire avec la fille était banale, et tout fonctionnait dans le meilleur des mondes. Tous les soirs je baisais cette dernière avec la certitude que Colette nous espionner.
Enfin cétait ce que je mimaginais, surtout que je la trouvais de jour en jour plus attirante. Impressionné par sa présence, à en perdre tous mes moyens devant elle. De son côté, javais limpression quelle jouait un jeu de séduction avec moi. Un besoin chez elle de se sentir encore être attirante.
Une nuit, alors quune envie pressante mavait envahie, je croisais Colette sortant de la salle de bains, elle ne portait quune chemise de nuit en nylon, tenue par deux bretelles en dentelle. La vision de ce léger tissu sur sa peau me laissa dans un état dexcitation incroyable. A un tel niveau que je métais branlé avant de rejoindre ma couche.
Un matin alors que la porte de chambre de Colette était ouverte, je laperçus en soutien-gorge en dentelle vert pomme, vision qui me corrompit toute la journée.
Un matin jentrai dans la salle de bains alors que Colette sy trouvait, elle sortait de la douche et se séchait avec un linge, malheureusement, je ne pus pas voir ses seins, tellement jétais ému, je sortis aussitôt. Elle ne réussit pas à cacher une certaine gêne, mais aussi de la satisfaction, me semblait-il. Un autre matin, alors que je me rasais, elle entra rapidement dans la salle de bains et me dit quelle était en retard et devait prendre une douche. Elle se tourna, fit tomber sa chemise de nuit sur le carrelage et chevaucha la baignoire pour prendre sa touche. Je ne me gênais pas à la regarder dans le reflet du miroir. Me gavant dimages de son cul, la seule chose quelle mautorisa à voir.
Un soir où ma copine était de service, et que le hasard fit que je me retrouvais seul avec Colette, je profitais de loccasion qui métait donnée pour aller la surprendre dans son bain, en espérant quelle nait pas fermé la porte à clé. Mais là je pouvais lui faire confiance. Jétais un peu près sûr quelle ne sétait pas verrouillée, espérant que je prenne linitiative de lui rendre une petite visite.
Je pesais sur la poignée et en effet, la porte nétait pas fermée à clé. Bien sûr je métais excuser, mais elle avait insisté pour que je fasse ce que javais à faire. Malencontreusement la mousse cachait le plus important. Comme je devais trouver un moyen pour rester en sa compagnie je choisis de me brosser les dents.
Quelques jours plus tard, loccasion métait de nouveau venu dêtre seul avec elle. Profitant de cuisiner en sa compagnie. Ne se privant pas de se pencher, pour moffrir la vue de sa poitrine allongée dans un soutien-gorge noir transparent. Il ne men fallait pas plus pour bander.
Après déjeuner je mautorisais une sieste. Je laissais ma porte ouverte, comme pour provoquer Colette. Dailleurs elle nattendait pas longtemps pour se présenter devant lentrée. Elle en profita pour venir me rejoindre, prenant place sur le lit pour bavarder.
Trop dinterdits nous séparaient, jétais avec sa fille. Malgré que je savais quelle savait, que sa fille et moi ce nétait pas sérieux. Elle me regardait avec un regard langoureux, puis après une bonne discussion, elle se leva et me quitta, me laissant en tête à tête avec mon excitation.
A un tel point que quand elle revint cinq minutes plus tard avec un tas de linge repasser en main je bandais fort.
-Excuse-moi, me fit-elle, javais oublié ce matin.
-Je vous en prie.
Mon érection était visible, mais pas question pour moi de la planquer. Après avoir ranger mon linge elle sapprocha du lit où jétais toujours allongé, et me donna une petite tape sur le pantalon, elle toucha ma bite en érection à travers létoffe. Mais à peine avais-je réagi quelle avait déjà passer le pas de la porte.
Javais patienté une semaine avant de me retrouver de nouveau seul avec elle. Javais ce jour-là décidé de prendre un bain après ma journée de boulot. Comme par enchantement elle arriva au moment où je sortais de la baignoire. Comme si elle était seule, je la vis se déshabiller, mexhibant son dos avant denjamber à son tour la baignoire toujours de dos.
Je décidais alors de me raser avec la certitude den voir un peu plus. Dailleurs elle en avait fini avec sa mini-douche. Les Dieux étant ce jour-là avec moi, jeus la chance dapercevoir ses seins, alors quelle se les séchait, avant dentourer son corps de sa serviette de bain.
Soudain la mienne tomba et laissa ma bite en érection à lair, pour le plus grand plaisir de Colette qui y posa son regard. Pour ma part je ne pouvais pas bouger, entendant mon cur dans mes tempes, alors que jentendais Colette sexclamait :
-Oh, si je mattendais à cela !
Elle me la prit en main, et entama un va-et-vient, tout en posant son regard sur moi.
-Arrêtons-nous là veux-tu, avant daggraver notre cas.
Et sur ces mots elle quitta la pièce. Je profitais de mon émois pour aller prendre lair dehors. Attendant patiemment le retour de ma copine pour revenir dans lappartement.
Pour une fois, tout le monde était réuni autour de la table. Javais avec Colette échangé quelques banalités, mais nous étions tous les deux très gênés.
Elle avait attendu que nous soyons seul soit le lendemain matin alors que tout le monde était parti au travail pour maccoster. Elle sexcusa pour ce qui sétait passé dans la salle de bains et quil fallait oublier.
-Et pourquoi sexcuser ? lui fis-je.
-Parce que
-Parce que quoi
jai trouvé que cétait un moment agréable. Et de vous à moi, je ne serais pas contre de renouveler linstant. Mentendais-je lui envoyer.
-Comment tu vas toi ! sétonna-t-elle.
Sans en rajouter, je posais ma bouche contre la sienne. Mes lèvres collaient à ses lèvres, ma langue cherchait à violer sa bouche. Elle tenta bien de résister, gardant laccès fermé, mais ce nétait pas me connaître, alors jinsistai et cela jusquà ce que sa bouche souvre. Nous échangions un fougueux baiser. Je sentais tout son lourd corps se détendre.
Jen profitais pour lui soutirer son chemisier. Elle portait dessous un soutien-gorge toujours en dentelle mais de couleur blanc. Au comble de lexcitation mes mains parcouraient son corps, mattardant sur ses seins à travers le soutien-gorge, que jenlevai gentiment, libérant par cette action ses seins. Que je malaxais entre mes doigts, avant de taquiner avec ma langue ses tétons. Pour ne pas rester en reste, elle caressait mon torse, membrassait dans le cou, me lécha les tétons.
Comme une morte de faim, elle me déculotta, semparant de ma verge, quelle me branla. Je profitais quelle soit occupée à me donner du plaisir, pour la soulager de son collant et de sa culotte blanche. Alors que je humais le fond de sa culotte, elle se courba pour me prendre en bouche, tout en me branlant avec deux doigts. Jétais dans un état second. Comme si jétais ivre.
Je lencourageais en lui caressant les cheveux. Il ne me fallut pas longtemps pour ressentir les premiers démangeaisons précurseur dune proche jouissance. Franchement je lécartais, surprise elle se laissa faire. Je profitais de son ébahissement pour explorer de ma main son intimité. Jenfilais un doigt dans son antre chaud et imbiber de mouille. Je le ressortais pour mintéresser à son bouton, gorgée dexcitation. Elle nen pouvait plus. A un tel point quelle empoigna ma verge de force et la pilota vers son puits damour.
Dun coup de bassin elle mavala. Elle prit le temps de me digérer, avant de remuer, dans un lent va-et-vient. Elle ne tarda pas à jouir, encourager par son plaisir je jouis à mon tour. Après quelques minutes, elle se laissa aller à membrasser. Puis soudain elle se scindait de moi, prit ses affaires et disparu de ma vue.
Le dîné sétait déroulé comme si rien ne sétait passer entre elle et moi. Ce que je trouvais cela très bien. Mais la coquine attendu que sa fille parte au boulot pour venir me rejoindre dans mon lit. Vêtue de sa chemise de nuit. Elle membrassa alors que je passais mes mains sous sa chemise de nuit, lui malaxant sans aménagement son cul. Elle avait pris place sur moi alors que jétais couché sur le dos. Comme elle avait fait la veille, elle sétait saisie de ma verge bandée pour la guider vers son intimité. Ma position me permit de coulisser lentement en elle. Un vrai fourreau de velours. Impatiente, elle débuta un lent va-et-vient. De temps à autre elle se pencha sur mon torse pour coller sa bouche à la mienne.
Je trouvais ces instant des plus fabuleux, jouissif ! dailleurs nous ne mettions pas longtemps pour atteindre le but de notre accouplage. Elle restée sur moi, exténuée, détendue, heureuse.
Alors commença une relation folle avec elle. Découvrant jour après jour son corps, mais aussi sa perversité. Parce quelle était du genre aventurière, la cochonne. Je dirai même plus que sa fille.
Un après-midi alors que son époux sétait endormi devant la télé, elle mattira jusquà sa chambre. Une fois la porte fermée, nous nous étions embrassés, avant que je me laisse aller dans un fantasme, celui de la prendre en levrette sur son lit conjugal. Là-même où elle dormait avec son époux et cela depuis vingt-trois ans.
Je me vois encore la faire prendre la position, sur le lit conjugal, ses jambes, légèrement écartées, et cela à quelques mètres du mari, ce qui était très excitant et là voir ma queue bandée savançant lentement, jusquà atteindre lentrée luisant de mouille. Puis la sensation ahurissante de sentir ma queue senfoncer dans sa chatte, comme elle laurait fait dans un pot de miel tiède. Après un léger temps darrêt nous commencions une croisière merveilleuse qui nous conduit jusquau plaisir.
Suite à cette petite péripétie des plus plaisant, nous avions rejoint le mari toujours assoupi devant lécran. Je ne vous cache pas que cela faisait tout drôle de prendre un café avec un cocu. A men faire bandée de nouveau. Dailleurs jen fis part à Colette qui tout de suite trouva la parade. Minvitant à la suivre jusquà la cave.
Son corps de femme mure mexcitait. Elle trouvait en moi une nouvelle jeunesse, et cela malgré que je sois le copain de sa fille. Le soir, je baisais lamour avec cette dernière, cétait excitant de faire lamour la journée avec la mère et le soir avec la fille.
Je nai pas honte davouer à présent que cétait pour cela que javais épouser la fille, pour baiser la mère, et cela pendant pas mal dannées...
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