Soumise Aux Ordres De Mon Maître. La Maison Close. Je Joue Les Entremetteuses.
Soumise aux ordres de mon Maître.
La maison close. Je joue les entremetteuses.
(Cette histoire est écrite avec la complicité dune de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. Lauteur)
Avant de choisir la suivante, je me jette sur sa queue, je lèche toute sa longueur dure. Je goûte la cyprine de la brune, c'est la première fois, je ne peux pas dissocier la saveur de cette femme de l'immense bonheur de laper ce sexe adoré. Il est vraiment impressionnant, il n'a pas éjaculé, il est toujours aussi dur, le bracelet serre sa base, il est vraiment majestueux. Je me redresse et retire la capote puis replonge vers lui, ses lèvres, sa bouche, je lui donne le goût de l'autre, caresse sa langue de la mienne. Il est à moi.
Il recule et prend un air sévère :
- La suivante, allonge là sur le lit, allez!, ne fait pas ta mijaurée!
Je vais chercher la...., ce sera la rousse, une intuition, c'est elle qu'il lui faut maintenant.
Je l'arrache des bras de la blonde. Elle est magnifique, chevelure longue rousse et bouclée, une peau crémeuse, comme de la mousse de lait, elle est parsemée d'éphélides, ses yeux noisettes lui donnent un air malicieux.
Ses seins sont lourds aux pointes rosées. Comme les deux autres taupes, elle est magnifique. Si son objectif est de me faire complexer, il n'est pas loin d'y arriver!!
Je l'approche du lit, Patrick s'est levé et sapproche de la rousse.
Je l'allonge, fesses sur le bord, j'écarte ses cuisses, je ne peux pas m'empêcher de renter deux doigts dans sa chatte bien dégagée de vraie rousse, ses cuisses sont si blanches, peau douce, et lèvres gonflées, très humides, mes doigts rentrent, chatouillent sa paroi, elle est vraiment prête.
Patrick me prend le bras :
- Ce n'est pas pour toi. Équipe-moi et donne-moi à elle!
Alors, je saisis fermement sa verge pour lui remettre un petit chapeau.
Et comme tout à l'heure, je caresse de son gland l'ouverture de la chanceuse. Il bande si dur, il est si chaud dans ma main, je passe ma langue sur mes lèvres, j'ai tellement envie, toujours, encore !
Il rentre centimètre par centimètre, ça a l'air trop facile. Sous ses airs de toute mignonne, elle doit avoir l'habitude!
Il me repousse et rentre profondément en elle. Elle se cambre, il s'abaisse pour mordiller ses seins et commence une prise d'assaut sauvage qui décolle la fille du lit. Elle gémit, l'appelle, crie des "Oui ! Encore ! Défonce-moi !"
Elle est déchaînée. Il se redresse, presse ses seins des deux mains et continue ses coups de boutoir.
Il ressort, rigole quand elle le supplie et rentre en entier. Je peux ressentir, comme connectée, des coups à l'intérieur de moi, mon vagin spasme.
J'alterne entre un grand plaisir et une frustration. Il est à MOI, je le veux en moi, je me veux autour de lui... et je le regarde faire hurler une nymphe rousse, petite fée des bois qui se prend un morceau qui devrait l'écarteler et qui hurle en agrippant les draps. Elle hurle sa jouissance.
Voyant cela, Patrick la finit brutalement par des coups de boutoirs d'une force inouïe.
-Je vais jouir ! Maman ! Aaahhh ! Je viens !
-Oui vas-y, jouit, belle rousse !
Elle hurle son plaisir. Leurs bassins sont imbibés tellement elle mouille, manifestation évidente de son plaisir dêtre accoupler à un tel étalon puis se tait ravagée. Elle applique une main dans les cheveux de mon Maître et lautre sur ses fesses pour prolonger encore lunion charnelle.
Il poursuit un peu plus lentement comme pour l'aider à redescendre sur terre jusqu'à sortir son gland pour le réintroduire légèrement et ce, plusieurs fois de suite.
Il change de nouveau de rythme et la lime de nouveau furieusement jusqu'à ce quil rompe soudain leur union charnelle.
- Sophie, la suivante!
Mais il veut faire un marathon!! Il veut me démontrer quoi? Que je ne pourrai pas tenir la distance? Quil a trop de besoins? Mais, je crois, je sens, je sais que je suis celle qu'il lui faut : je ne fatiguerai pas, promis, essaie-moi.
Je retire de force la rousse qui ne veut pas le lâcher, et prenant mon service à cur, je me précipite pour retirer la capote. Jen profite pour avaler son bélier toujours aussi dur, dressé comme un éten(dard).
C'est au tour de la blonde.
Je lui fais signe, elle s'approche, elle doit difficilement atteindre 1m55, elle est toute menue mais bien formée. Un mannequin miniature, des os fins, de petits seins bien ronds aux mamelons beiges, une taille si fine qu'un 32 doit lui aller, des hanches arrondies qui mettent en évidence un joli petit cul. En haut de ses jambes, un petit abricot tout mignon au léger duvet blond.
- Pour toi, ce sera BOUCHATKU!!
Elle écarquille les yeux, et recule effrayée dans un murmure ... "Pas possible!"
Tu m'étonnes, pas possible ! Comment peut-il imaginer s'approcher d'une elfe avec son vit énorme? Pauvre petite blonde. Pfft! Si elle a peur, qu'elle me laisse sa place!
- Allez viens goûter! Et toi, prépare là! Ordonne-t-il.
L'elfe semble trop attirée par son sexe pour hésiter plus longtemps, elle se baisse et prend directement son gland dans sa petite bouche. Elle est accroupie et a écarté ses genoux.
Je me place pour voir le chibre essayer de pénétrer plus loin dans sa gorge et en même temps, je passe une main pour vérifier l'humidité de la petite chatte. Ah ! Elle a quand même envie, ça se donne des airs, mais bon, finalement, elle en crève d'envie comme moi. Sauf, que ce qu'il veut, c'est son cul et là je crois qu'elle va déguster!!
-Elle est superbe, tu vas la masser avec grand soin et la préparer pour être pénétrée par derrière !
-Bien Maître ! Je vais lassouplir et la lubrifier pour que tu puisses la pénétrer sans trop de douleur.
Je passe mes doigts dans sa raie, trouve son anneau et commence à y rentrer mon index, je tourne, élargit les cercles, le majeur. Elle trémousse ses petites fesses.
Patrick invective ses copines :
- Trouvez-moi un lubrifiant!
Je ne sais pas laquelle de la rousse ou de la brune me tend un flacon.
Il se retire, son sexe dressé à quelques centimètres de la bouche de la blonde. Il est toujours très gros et très dur, avec de grosses veines gonflées de partout. Jai peur quil nexplose tant il est gros et gorgé de sang.
Jai faim de lui, je voudrais être à la place de cette poufiasse et emplir ma bouche de cet engin qui sent bon le désir.
Il la positionne et frotte son gland à nouveau encapuchonné par mes soins sur l'entrée du fruit défendu. Il pose son gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à lentrée de la fente Jadmire son manche qui entre en elle, appréciant chaque centimètre qui disparait à chaque seconde.
Il s'allonge sur le lit, lentrainant avec lui. Elle s'empale sur son pieu. À chaque pénétration, la vague enfle et irradie dans tout son corps, comme des ondes concentriques qui partent de son sexe.
Elle ferme les yeux, acceptant ce plongeon dans ses entrailles qui chaque fois la fouille comme jamais. Elle souffre mais souvre encore pour lui livrer passage.
Plus il va loin, plus londe est forte mais elle ne peut en supporter plus.
-Aie ! Pas si loin ! Vous êtes trop fort !
Il la pénètre dun coup ne tenant aucun compte de ses rebuffades. La pauvre ! Elle déguste salement.
Il la ramone de puissants coups de reins.
Tout le bas du corps de la blonde doit être douloureux du plaisir qui monte. Mais elle ne peut retenir sa jouissance sous un tel pilonnage.
- Tu as l'air d'aimer ça petite pute ! Et tu mouilles comme une trainée que tu es !
Je reprends le massage de lanus de la blonde, dilatant doucement son rectum. Elle halète et pousse un petit cri perçant. Je recommence lexercice plusieurs fois jusquà ce que mes doigts coulissent parfaitement dans son fondement.
- Allez, donne-moi son petit cul!
- Elle est prête mon Maître ! Comment voulez-vous que je la positionne ?
- En levrette, sur le sol ! Me répond Patrick.
Je la mets à quatre pattes, les reins bien cambrés, il se place derrière elle.
Il pèse sur ses épaules jusquà ce que sa joue touche le sol. Elle se laisse faire docilement.
Je verse quelques gouttes de lubrifiant sur son anus dilaté et en enduit aussi la verge de Patrick. Il se place derrière la blondinette, sa queue à la main.
Je saisis sa queue et l'approche de lobjectif. Son engin est quand même vraiment impressionnant et elle est si menue. Je vois toute la démesure entre les jolies petites fesses et son défonce-cul. Comment une telle chose pourra renter dans un si petit trou ?
Il tourne son regard vers moi et me dit :
- Regarde bien, je vais lenculer ! Tu peux te branler pendant que je la sodomise.
Il appuie, je prends à pleine main son rostre et maintiens l'axe raide bien en ligne.
Elle gémit mais il appuie plus fort, elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas hurler. Le bout rentre enfin, elle halète comme une femme prête à accoucher. Il pousse, elle hurle, je me recule et j'admire le tableau.
Elle pousse un long gémissement quand lénorme verge se fraie un chemin avec une facilité étonnante dans son étroit orifice assoupli et lubrifié par mes soins.
Il fait quelques allers-retours sur quelques centimètres, ça glisse de mieux en mieux. Il sort et présente son pieu à la bouche de la garce, elle a une capacité à se démonter les mâchoires!
Il alterne son cul, sa bouche, à chaque passage il arrive à s'enfoncer un peu plus mais jamais entièrement, trop large, trop long. Elle a le corps qui tourne au rouge vif tellement elle est excitée, une pellicule de sueur la recouvre totalement. Elle hurle, jouissance du cul... je ne connais pas mais le spectacle est excitant.
Il poursuit sa pénétration arrachant à la blonde une grimace de douleur et sintroduisit entièrement dans son cul. La tenant par les hanches, dabord précautionneusement, ses mouvements deviennent de plus en plus amples et profond.
- Je tencule petite blonde ! Regarde Sophie. Tu vois comme je lui défonce le cul à cette salope ? Tu aimerais être à sa place?
- Oui Maître ! Ai-je réussi à lui répondre tout en me doigtant comme une folle. .Jespère quelle vous procure beaucoup de plaisir.
-Jespère aussi que tu le partages ! Quen penses-tu ?
- Ouuuiii
Mon
Maître !
Il la sodomise pendant un temps qui me parait sans fin. Ils sont tous deux en sueur, elle nest plus que gémissement et halètement. Lui soufflant bruyamment en lenculant vigoureusement.
Je ne peux me retenir aussi longtemps et noie ma main de ma cyprine.
Il se déboîte enfin de la donzelle et donne un ordre:
- Dehors les filles!
Il se tourne vers moi pour me questionner, retirant son préservatif, toujours aussi raide :
-Tu sais la spécialité de Saint-Claude, Sophie?
Je hoche la tête.
- Alors, à toi mais sans les mains !
(À suivre)
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