La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1224)
chienne Vénus au Château (suite de l'épisode N°1215) -
Quand Il eut fini Sa phrase, Il prit de Sa bouche possession de la mienne membrassant, me mordant mes lèvres comme Il savait si bien le faire ce qui me fit instantanément couler de plaisir... Jétais aux anges. Je me mis face au mur, debout mais avec mon fessier cambré en arrière, les jambes le plus écartées possible et les mains posées sur le mur, dos à Lui. Javais peur. Ses mains prenant possession de mon corps par de douces caresses me permis de moins appréhender cette épreuve mais javais une absolu confiance en Lui. Je voulais Le servir plus que la peur de la douleur à venir. Il commença doucement par le fouet qui me caressait en promenant les lanières de cuir, de mes reins aux épaules et vice-versa puis par des petits coups qui au fil de léchauffement de ma peau sintensifiaient. Je commençais à serrer mes dents plus les impactes étaient forts plus je gémissais, pour finir par crier mais sans jamais quitter ma position. Par moment Maitre arrêtait pour passer Ses mains sur les traces rouges laissés par le fouet et recommençait de plus belle. A un moment, je ne sais pas comment lexpliquer, javais limpression de danser sous Son fouet, je criais, hurlais de douleur mais jétais comme en transe car je sentais monter en moi une excitation fulgurante en mon bas-ventre qui me faisait couler ma cyprine le long de mes cuisses de chienne. Je me branlais mentalement et physiquement, jen coulais, jhaletais, criais et poussais des cris dun extrême mélange de la douleur et de lexcitation. Je moffrais totalement à Monsieur le Marquis dEvans. Je levais ma main droite pour signaler mon désir intense de jouir, sans savoir si jen serai autorisée, mais lenvie était bien présente, cest clair !
- Ma belle chienne, oui je sais le plaisir que tu prends à chaque coup, je vois à ton attitude excitée, tu y exprimes tout ton masochisme qui est magnifique à voir ! Ton excitation dans la douleur est sublime mais retiens-toi encore un peu ! Car, Je Le veux, tu auras autorisation de jouir après avoir reçu mes cinq derniers coups.
Sur ces mots, il se remit en position et le premier des cinq coups frappa ma fesse droite et une brûlure dune extrême violence me parcourut. Je retenais mes larmes tout en coulant littéralement ma cyprine sur mes cuisses. Et mon long cri de souffrance était pour Lui car ce cri exprimait la douleur, lexcitation mais aussi une reconnaissance infinie. Les deux suivants sabatis sur mon dos et jeus du mal à tenir car je sentais mon plaisir au maximum mais je me retenais à ne pas lâcher un puissant orgasme, je retenais aussi mes larmes. Le quatrième frappa lautre fesse, la gauche, ce qui me fit hurler aussi de douleur mais démultipliait en même temps et encore plus intensément, mon excitation si difficile à contenir sans jouissance autorisée. Pour le dernier et cinquième coup, Il me retourna pour que je sois face à Lui. Il frappa alors mon sexe de la pointe du cracker dune telle puissance que je tombais et lâchant complètement prise memportant dans une jouissance extrême, voire atomique, explosif. Orgasme entre douleurs violentes et dincroyables décharges électriques qui remontaient sur toute mon échine et me procuraient des spasmes orgasmiques si puissants que je ne pouvais pas contrôler. Je me retrouvais, au sol, à Ses pieds en larmes tout en jouissant sans pouvoir marrêter et tremblante, comme une feuille, de mille plaisirs. Je ne pouvais pas contrôler aussi cet afflux de larmes et dextrêmes sensations jouissives. Il se mit accroupi, en attendant que mon corps que je ne contrôlais plus, se calme tout seul, alors il posa sa main sur mon sexe coulant encore et encore dun mélange de cyprine et durine me souillant telle la femme fontaine que jétais devenue
Puis doucement, dans une tendresse infinie, Il me prit dans Ses bras, me soulevant et mamenant dans une nouvelle pièce blanche après avoir traversé un long couloir, pièce je ne la connaissais pas.
- esclave Phryné MDE, occupes-toi de ta sur de soumission, elle le mérite bien après la séance que je viens de Lui donner. Une fois finie, je veux que tu la conduises dans une des chambres pour quelle se repose... Quant à toi Ma belle petite chienne Vénus, je suis fier de toi Ma belle, je veux quaprès que ta sur tait soigné tes quelques belles marques de Mon fouet, tu ailles te reposer car demain tu seras à Mes pieds pour ta première soirée comme chienne dans Mon Château, alors tâche de dormir, de bien manger à volonté et de bien te reposer ...
Le Maitre partit et lesclave Phryné MDE se mit à me faire couler un bain chaud avec des plantes qui me fit le plus grand bien. Une fois finie, elle passa une crème sur mes marques et instantanément ça allait mieux. Puis elle me conduisit jusqu'à une chambre et me laissa quittant la pièce avec un large sourire. Je me mis au lit et mendormis en quelques minutes après dune traite jusquau lendemain matin. Ce fut un des soumis du Maitre qui me réveilla et me conduisit dans la salle de bain des chiennes et chiens du Maitre pour notre douche à leau froide et pour notre lavement anal. Puis on se dirigea dans les cuisines où Marie La cuisinière nous donna nos gamelles avec notre ration calorifique quotidienne que je mempressai de manger car après ces quelques mois passés au Château javais appris sous les coups de la large cuillère en bois de Marie sur mon fessier à me dépêcher de manger. Une fois finie, elle mexigea de la faire jouir de ma langue sur son sexe et de tout boire sa jouissance, ce que je fis par de savants coups de langue bien placés sur son clito et lèvres intimes. Je réussis à la faire jouir et elle lâcha dans ma bouche, un flot de cyprine que je bus sans en perdre une goutte. Une fois terminée, je fus conduit dans la grande Salle de Réception du Château avec quelque soumis et soumises pour la nettoyer. Walter nous avait mis pour nous les soumises un long gode de gros diamètre dans notre chatte et notre cul et aux soumis une cage de chasteté électrifiée et un gode également dans leur fondement.
- Mes chers amis, je vois dans vos yeux la surprise de la place de Mademoiselle de Bourdon à Mes pieds. Il y a quelque mois, elle est venue ici même et devant vous pour son intronisation de Domina, e par ses parents à devenir ce quils voulaient quelle soit et pas du tout à ce que souhaitait Cristal. Mais depuis quelle a annoncé à ses parents ce quelle voulait vraiment devenir, être, cest-à-dire une chienne soumise, ils lont reniés tels des parents indignes ne voulant absolument rien entendre. Donc depuis, je lai recueilli comme on recueille une petite abandonnée au bord de la route. Et ainsi elle vit dans Mon Château comme une bonne petite chienne à sa place. Va donc Ma belle petite chienne au milieu de cette pièce et montre à Mes invités où est ta véritable place...
Jobéis immédiatement aux ordres de Maitre et minstalla au milieu de la pièce à genoux et fière de ma condition de chienne.
- Maintenant, Ma chienne, branle-toi comme la grosse salope en chaleurs que tu es et quand tu te sentiras prête à jouir, lâche-toi et montre la belle fontaine que Jai trouvée en toi...
Je me mis en position couchée au sol, mes mains trouvèrent de suite le chemin de mon clitoris et entamèrent un ballet de caresses et de stimulations sous les yeux des amis de Monsieur le Marquis. Je faisais monter et descendre mon plaisir comme Maitre me lavait appris.
Une fois le repas fini, la soirée vira en une véritable orgie. Mes surs et frères de soumission et moi-même, étions à la disposition des invités. Nous fûmes doigtés vaginalement ou analement, fistés, baisés par tous nos trous de chiens et chiennes. Une vraie débauche, luxure animale comme je lavais toujours rêvé dans ma condition. Je fus prise dans mes trois orifices par presque tous les Dominants présents qui usaient et abusaient de mon corps, baisée de partout, en double pénétration pendant quun autre me baisait la bouche. Je dégoulinais de sperme. Parfois mes frères venaient me lécher le corps pour me lenlever. Mais aussi on mordonnait parfois de lécher le sperme au sol ou même de lécher un cul dun soumis qui venait de se faire sodomiser et dont le foutre du dominant sortait de son anus. Et tout cela sans jamais pouvoir jouir... On me banda les yeux et on minstalla sur une table et de nouveau je fus saillie et prise sans ménagement par des hommes en rut, doigtée par des femmes domina. A un moment, on me retourna, mise à quatre pattes, je sentis une grosse verge me prendre, javais limpression dêtre déchirée de lintérieur et je ne pus retenir un hurlement de douleur mais jentendis, au même moment, la voix de Maitre dans mon oreille me disant quIl était en face de moi et Il me donna lordre de Le sucer, ce que je fis. Dun côté, je me faisais défoncer par cette grosse bite qui me labourait littéralement le cul profondément et de lautre le Noble qui me baisait la bouche bestialement comme sil était dans ma chatte ou dans mon cul. Et je sentis lautre homme accélérer ses mouvements et enfin se vider dans mon cul jusquau fond de mes entrailles, je sentais sa chaude semence sécouler. Et jentendis cet homme dire au Châtelain que jétais une bonne salope en chaleurs, bonne à baiser et recevoir du foutre, que je nétais quun vide-couilles, et quil aimerait continuer toute la nuit... Monsieur le Marquis finit par se vider de nouveau en moi
(A suivre
)
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