Collection Dominant Domine. Huguette (1/1)

Réussir son bac avec 19 de moyenne et devoir partir de chez soi pour gagner son indépendance, à 18 ans et 2 jours, c’est ce que je fais ce matin quand je place mes affaires dans le coffre de la voiture de maman afin que nous prenions la direction de Paris pour entrer à la Sorbonne, avec cette moyenne, j’ai le niveau, je veux devenir juge.

Pour me loger, la cité universitaire étant complète, maman m’a trouvé un appartement trois-pièces en colocation avec Huguette, nous nous sommes parlé au téléphone et dans quelques minutes, je vais faire sa connaissance en visuel.
Quand elle nous ouvre, la première impression doit déterminer la suite de notre entente, celle-ci est positive, Huguette est une brune à l’allure garçon, mais en sachant garder une touche de féminité.
Jolie poitrine plus grosse que la mienne, mais je suis jeune, ils ont le temps de se développer, quant à ses vêtements, ils sont aux goûts des jeunes que nous sommes, jean troué et débardeur avec des tongs aux pieds.

• Bonjour madame, salut Noémi, bien venue dans ton antre.

Maman semble rassurée, Huguette lui donne bonne impression, malgré le jean, je sais qu’elle pense que dépenser de l’argent pour porter des vêtements troués est une dépense inutile, surtout qu’elle se saigne aux quatre veines pour que je puisse être ici.
Nous mangeons ensemble et elle nous quitte, il lui faut faire le voyage de retour, demain elle reprend son travail dans la mairie de notre ville.

• Noémi, dépéches de ranger tes affaires, je sais que tu n’es jamais venue à Paris, nous allons aller chercher ton pass bus et métro afin que tu circules ou tu veux dans ta nouvelle ville.

Le soir un peu fatigué, je vais prendre un bain, la baignoire est un lieu que j’ai toujours privilégié, pendant mes études pour mon bac, je posais mon ordinateur portable sur une tablette que j’avais adapté pour qu’il pose sur mon côté et apprendre mes leçons.


Il va falloir que j’adapte un tel système, car il a été positif pour mon bac, pourquoi changer pour mes études supérieures.
On est entre femmes, j’ai laissé la porte ouverte.

• Je peux entrer !
• Oui, bien sûr, il va falloir apprendre à nous servir des lieux communs.

Elle est aussi nue que moi, avant que j’aie le temps de me poser des questions elle enjambe la baignoire, pour la première fois, de mes propres yeux, je vois la chatte d’une de mes congénères.
Ses grandes lèvres sont proéminentes et son clitoris m’est caché alors que moi, elles sont presque inexistantes et mon clitoris est bien visible.

• Tourne-toi, j’adore frotter les dos.

Je dois dire que je suis vierge de rapport avec garçons et surtout filles et quand la main de cette jeune femme me lave, plus tôt me caresse, j’ai un premier frisson.

• Dis donc, tu es sensible, je t’ai à peine touché, là comment réagis-tu ?

Incroyable, sa main descend sur ma chatte, ses doigts essayant de me pénétrer.

• Merde, tu es vierge, moi il y a longtemps que je me suis débarrassé de ce petit inconvénient, nous verrons ça demain.

Quand nous sortons de l’eau, elle m’essuie, sans que je pense un instant à résister ma vie s’accélère quand elle me prend par la main et qu’elle m’entraîne vers sa chambre.
Je suis dans un nuage, surtout quand sa bouche vient sur la mienne, je serre mes lèvres, plus par surprise, que par rejet et sans que je ne me pose plus de question, sa langue pour la première fois vient caresser la mienne.
Sa main vient sur mon sein et un nouveau frisson me traverse.

• Dis donc, tu es sensible même à ma main, je crois que je vais t’aimer.

Comment croire qu’hier, j’étais chez maman et que ce soir, j’ai une expérience lesbienne avec une lesbienne qui semble bien connaître ces pratiques entre femmes ?
Elle me fait m’allonger, approchant sa bouche de ma chatte après m’avoir fait écarter au maximum le compas de mes jambes.

Elle attaque mon clitoris, je fais un bruit avec ma bouche quand elle aspire mes lèvres vaginales et surtout quand c’est mon clito qu’elle aspire, elle pivote sur elle-même, sa chatte venant à la hauteur de ma bouche.
Avec mes mains, j’écarte ses lèvres, je trouve son bouton bien riquiqui, mais bien sensible à ma langue qui le suce.
Au bout de la nuit, je suis une gouine aguerrie, Huguette m’a appris à coller ma chatte à la sienne et à nous donner du plaisir directement par nos intimités réunies, je sens même mon clitoris d’une façon mutine entrer un peu entre ses grandes lèvres.
Ce qui m’impressionne le plus, c’est quand revenant de la salle de bain pour nous rafraîchir à la suite des trois orgasmes qui me traversent, elle me couche sur ses genoux et me donne une fessée à me les faire rougir, mais surtout jusqu’à me faire pleurer.

• Cette fessée, je la renouvellerais chaque fois que tu me déplairas dans notre appartement, ici, c’est moi qui te commande, tu exécutes.
• Oui Hugette, arrête de frapper, je serais docile.

À ce moment, une nouvelle fois, ma vie va s’accélérer et prendre une tournure bien différente que celle que dans ma tête, j’avais prévu.
Nous nous endormons, jusqu’au lendemain, à aucun moment nous ne reparlons de notre nuit, simplement Huguette chaque fois que je passe vers elle, me passe sa main sur les fesses, voulant certainement me rappeler ce qu’elle m’a dit hier.
Nous avons visité et j’ai récupéré les documents me permettant de commencer mes études supérieures à partir de lundi prochain.
Il est dix-neuf heures quand le portable d’Huguette se fait entendre.

• Oui, c’est possible, 20 heures à l’adresse que je vais vous indiquer, attendez.

Elle quitte la pièce et se rend dans sa chambre, celle de mes premiers amours féminins, la porte poussée, j’ignore ce qu’elle dit, jusqu’à ce qu’elle revienne.

• Noémi va prendre ton bain, après tu iras sur ton lit et tu attendras mes ordres.

• Je !
• Tais-toi, tu sais ce que je t’ai promis si tu me contraries, la prochaine fois si tu contestes mes ordres, je prendrais ma cravache que je t’ai évitée hier.

Le ton a légèrement changé, me faire cravacher peut pour moi aussi, je ferme ma bouche et j’exécute l’ordre reçu, il est 20 heures, j’ignore ce qu’elle m’a réservé quand j’entends la sonnette de la porte d’entrée.
J’entends la voix d’Huguette et celle plus grave d’un homme, la porte de la chambre s’ouvre, Huguette entre, l’homme a dû repartir, elle est seule.

• Voilà, Noémi, hier, je t’ai promis de t’aider à perdre ton pucelage, tu y es, entrez, elle est à vous.

Un homme massif passe la porte, en l’appelant Huguette fait celle qui frappe sa main comme si elle avait sa cravache, la situation est étrange, j’avais pensé ma première fois autrement, mais cet homme et la manière pourquoi pas.
C’est à ce moment que le téléphone d’Huguette résonne.

• Je vous laisse, on me demande.

L’homme se déshabille, il veut que je le suce, je suis vierge, mais sur Internet, j’ai déjà vu des pornos et je sais comment l’on joue à papa et maman, la fellation, c’est facile, je le branle, il entre dans ma bouche, me prend par les oreilles et se masturbe en leur tirant dessus.
Le moment est venu, il se met une capote qu’il sort de sa poche, Huguette l’avait-elle prévue ou l’homme sortant couvert avait la sienne, il me place en levrette, c’est ainsi qu’un homme inconnu et qui va le rester me dépucelle, j’ai mal et je n’ai pas de jouissance.
Ma chatte a joui avec Huguette, je suis sûr, la prochaine fois avec un garçon que j’aurais choisi, je jouirais et comme avec elle, j’aurais un orgasme.
La sonnette résonne pendant que l’homme me baise, il finit par décharger en remplissant sa capote, Huguette aurait-elle reçu quelqu’un !
Ayant terminé, mon dépuceleur enlève sa capote qu’il pose sur ma table de nuit sens remarquer le sang quand mon hymen a lâché, il se lève et me quitte d’un simple.


• Salut à la prochaine.

Il est parti depuis moins de 10 minutes quand j’entends que l’on parle dans le couloir, je vais pour me lever afin de voir Huguette quand elle revient dans ma chambre.
Elle voit la capote.

• Bien, c’est fait, tu t’es débarrassé de ce handicap, viens dans mes bras.

Je me love au creux de ses bras.

• J’ai entendu la sonnette pendant que ton ami me dépucelait, c’est bizarre, il s’est levé et m’a quitté en me disant à la prochaine, tu as raccompagné quelqu’un avant de venir me voir !
C’était qui ?
• Un autre client.
• Un client, tu te fiches de moi !
• Surement pas, tu t’es fait un client qui t’a dépucelé pendant que j’en faisais un autre, crois-tu comment je paye le loyer de l’appartement et mes jeans troués à 400 €.
• M’as-tu fait faire la pute ?
• Bien sûr, tu vois, c’est facile, un client, tu empoches son fric, il te baise et à nous la belle vie, ton client m’a donné 150 € pour te baiser et pendant ce temps, je faisais aussi 150 €, 300 pour ce soir, certains soirs, j’ai 6 ou 7 appels, certains en même temps, à deux, on assumera deux fois plus.

Nous finissons la nuit, au matin, je me lève et la rejoins dans la cuisine.

• Je l’ai fait une fois, je ne veux plus recommencer !

Elle semble mal le prendre.

• Je vais chercher la cravache, en plus de ton cul, tes seins risquent de ramasser.

Il est 14 heures quand le téléphone sonne.

• Oui, je suis libre, mais c’est mon amie qui va s’occuper de vous, j’attends un autre client, oui, vous serez satisfait, elle acceptera ce que vous voulez.
La sodomie, sans problème, 15 heures, elle vous attend.

C’est ainsi que j’ai fait ma seconde passe perdant mon pucelage anal, dans les semaines suivantes, j’allais à mes cours dans la journée et le soir, je faisais 1 à 2 clients, les week-ends, ça pouvait monter à 5 max 6.
À ce jour, j’ai toujours baisé avec des clients, je continue à aimer faire l’amour avec Huguette, inutile pour elle de me menacer, j’aime gagner des billets avec mon cul et de capitaliser pour que nous nous achetions la boutique de fringues de luxe que nous rêvons d’ouvrir vers l’Opéra.
Mes études, j’ai arrêté, combien gagne un juge !
Maman aucun problème, elle est contente, pour elle, j’étudie tout en travaillant dans une boutique et avec Huguette nous allons la voir chaque fois que nous prenons une journée de repos.
Je me fais tellement baisée que certaines fois, je veux rester plus, mais pour elle le bizness reste le bizness et nous ne pouvons pas nous le permettre.
J’envoie des chèques régulièrement à maman sous couvert de l’aider comme elle l’a fait pour moi, si elle savait comment je gagne cet argent !

Je vous quitte, notre portable vient de sonner, j’ai un mec qui a besoin que je lui vide les couilles et grâce à Huguette, je suis devenue une vraie pro.

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