Collection Cocu. Noémi, Cette Salope (1/1)

• Laisse Jennifer, repose-toi, tu as eu une rude journée avec les s, je vais chercher le gigot, de toute façon, c’est moi qui le découpe.
• Oui, Nicolas, nous adorons te voir découper cette pièce de viande, tu as toujours été le meilleur, nous adorons te voir faire, mais il y a toujours un détail qui fait qu’à la fin sur l’os, nous en perdons une grande quantité.
• Merci, chérie, de prendre soin de moi, j’aime ce compliment, ce sont tes s qui t’ont énervé, décontract, ils sont chez ta mère, tu es tranquille jusqu’à demain.

Nicolas part entrant dans la maison, profitant du beau temps, nous déjeunons sur la terrasse près de la piscine, quelques minutes après, c’est le tour de Noémi mon ami de maternelle de nous quitter.

• Je vais profiter de ces quelques minutes pour aller où il vous est impossible d’aller à ma place.
• Dis que tu vas pisser, ce sera plus simple.

Celle qui vient d’avoir ce langage châtié, c’est Virginie la femme de Fred qui est un copain de foot avec Nicolas.
Fred est un gars bien, Virginie aussi, elle a été élevée dans une famille très religieuse, malgré ça de temps en temps, elle parle gras.
Quelques minutes passent, sans penser à mal, je me lève à mon tour.

• J’ai oublié de sortir la saucière, Nicolas ne va pas pouvoir récupérer le jus du gigot, je vais lui donner.
• Ton mari va bien la trouver, ce n’est pas la première fois que vous cuisinez un gigot, c’est notre viande préférée à tous.
• Tu connais ma maniaquerie, j’ai nettoyé les placards et l’argenterie hier, je l’ai rangé ailleurs.

Je quitte la terrasse et passant par le couloir, j’arrive près de la cuisine, j’entends des voix, je m’approche sans penser à ce que je vais voir.
Nicolas est tout proche de Noémi, je dirais même qu’ils sont collés au niveau du bassin, ma copine à sa tête levée, ce qui amène sa bouche près de celle de mon homme, merde, jamais je n’aurais pensé que Nicolas pouvait me tromper avec ma meilleure copine.



• C’est bon, c’est fait, il faut retourner à table, ils risquent de se faire un cinéma.

C’est Nicolas qui vient de dire ces mots, les toilettes étant libres, j’y entre précipitamment, quelle position adopter, Noémi et Nicolas, va-t-il me quitter avec mes trois s pour vivre avec elle ?
Noémi est une salope, pas une salope envers les amis, bien que la tromperie, que je viens de voir, en fait parti, jusqu’à maintenant, c'était une salope sexuelle, tout lui va dans le sexe, elle m’a assez parlé surtout avant mon mariage des partouzes qu’elle faisait.
Elle a même essayé de m’emmener dans des boîtes échangistes, j’ai été sauvé par ma rencontre avec l’homme que je pensais être l’homme de ma vie et qu’elle cherche à m’arracher.
Que vais-je faire avec mes trois s, s’il nous quitte, comment vais-je les élever, bien sûr il y a la pension qu’il va être obligé de me payer, mais je le connais pour son entreprise, il travaille avec un cabinet d’avocats et il est capable de me donner des miettes !
Quelle connerie d’avoir accepté un contrat de mariage à cause de ma belle-mère qui nous l’a imposé, je n’ai aucun droit sur l’entreprise qui était la leur avant qu’ils partent à la retraite.
Que va faire Jules mon fils aîné si son père refuse de lui payer le poney club, lui qui saute déjà des obstacles comme un grand persuadé qu’il va intégrer l’équipe de France de saut d’obstacles ?
Et Lucie, qui va lui payer ses leçons de piano, elle qui rêve d’être concertiste, une chance, Louis à 13 mois et essaye seulement de marcher, ça ne coûte rien.
Fini pour moi les heures de gym à la salle après avoir conduit les aînés à l’école et le dernier chez maman.
Il va falloir que comme bon nombre de femmes se retrouvant dans ma situation, je me sacrifie pour eux, j’ai bien maman, mais depuis la mort de papa elle touche une toute petite retraite.

Tu es folle Jennifer, ressaisi toi, bats-toi, récupère ton mari à cette pute, c’est vrai que depuis la naissance de Jules, ta libido, c’est un peu endormi.

Tu acceptes le sexe de ton homme depuis ton retour de couches, mais sans entrain, sans les jeux que tu savais trouver pour toujours l’étonner, oui, mais lui aussi, est-ce le fait que j’ai mis le frein à main dans nos rapports, qu’il ait pris une maîtresse, il est moins entreprenant.
Quand ont-ils sauté le pas, est-ce le lendemain du jour où il a voulu me sodomiser pour mettre du sel dans nos rapports et que j’ai refusé avec un certain courroux qu’il s’est rabattu sur ma catin de copine, elle se fait enculer depuis les premières fois ou elle a montré son cul à un de nos copains un soir de boom.
Je cogite et le temps passe, je sors des toilettes, les amants ont quitté la cuisine, je retourne auprès d’eux ne sachant pas quelle attitude adopter.

• Où étais-tu, chérie, Virginie me dit que tu es entré pour me donner la saucière, ou étais-tu passé, regarde, je l’ai trouvé ?
• J’ai vu que Noémi était sortie des toilettes aussi, j’en ai profité pour aller pisser comme le dit si bien Virginie.
• Viens manger ta viande, elle va être froide.

Je mange, mais je regarde Nicolas d’un autre œil, Noémi est à ses côtés, tient bizarre, elle s’est empressée de s’asseoir à ses côtés lorsqu’elle est arrivée, malgré qu’elle sache qu’il se met toujours près de la desserte ou il a ses affaires pour découper la viande.
Je regarderais bien sous la table, je suis sûr qu’il se fond du pied, tient une idée commençons la reconquête, j’enlève ma tong gauche, la table est assez large et comme je me suis retrouvé en face de lui, je tends ma jambe que je lui pose sur le sexe.
Il lève la tête me regarde, regarde Fred à mon côté, nul doute mon homme, c’est bien ta femme qui te caresse le sexe, tu aurais peut-être préféré que ce soit ta pute assise à ton côté, pas de bol, c’est ta chatte habituelle qui veut récupérer son dû.
Nous mangeons le gigot qu’il a découpé merveilleusement comme d’habitude.

• Je vais chercher le dessert, Jennifer, il est bien dans le frigo.

• Oui mon chéri, ils sont sur un plateau.

Mon pied le caressant jusque-là, il part marchant difficilement, avant qu’il se recule faisant retomber mon pied, j’ai nettement senti qu’il bandait, était-ce mécanique ou la surprise a-t-elle été totale.
Je récupère ma tong.

• Chéri, je vais t’aider, occupe-toi du champagne, je vais apporter les gâteaux.
• Je vous vois venir mes coquins, si vous faîte le 4ème sur la cuisinière, dites-le-nous, nous allons sauter dans la piscine.
• Tu as raison Virginie, viens à l'eau !

C’est Noémi qui vient de parler, je suis derrière mon homme, elles ont dû faire sauter leur robe, je les entends plonger.

• Ma chérie, qu’est-ce qui t’est arrivé, tu m’as surprise, mais j’ai beaucoup aimé.

Que lui dire, dois-je lui parler de la position ou je l’ai ais surpris collé l’un à l’autre me prouvant qu’ils sont amants avec Noémi, je prends un autre chemin.

• J’ai eu envie de toi, j’ai repensé au soir où tu as voulu me sodomiser ce que j’ai refusé, quand ils seront partis, tu auras peut-être une surprise.
• Embrasse-moi, je t’aime, tu as bien pris ta pilule, je n’aurais rien contre un quatrième comme l’a dit Virginie, mais trois, c’est bien, plus il faudrait agrandir la maison.

Après un gros poutou me rassérénant, nous retournons sur la terrasse avec le dessert et le champagne, nous voyons que nos amis sont dans la piscine, attentions, en tout bien tout honneur, Fred et Virginie ainsi que Noémi savait que nous terminerions en nous baignant et avait prévu leurs maillots de bain.
Ils ressortent de l’eau et nous dégustons les mignardises et le champagne que nous avions prévu, avant que Nicolas et moi, nous nous mettons dans la même tenue que nos invités étant restés en maillots.
Jusqu’à une heure du matin, au bord et dans la piscine, je rivalise d’ingéniosité afin d’éviter que les deux amants soient trop proches l’un de l’autre, contrairement à mon habitude étant très réservée, je me frotte à lui, je l’embrasse devant sa pute autant que je le peux.

Ouf, l’emmerdeuse de Virginie est partie, Fred a réussi à la faire lâcher son verre, ils ramènent Noémi, moment crucial, du coin de l’œil, je regarde comment ils se comportent, les salopards, ils arrivent à se frotter le ventre une fraction de seconde, et les lèvres de sa grognasse, je les trouve trop près de celle de Nicolas.

• Tu viens ma chérie, allons dans notre chambre, tu m’as donné envie, j’attends ce moment depuis tout à l’heure.
• Pourquoi la chambre, tu ne m’as jamais baisée dans notre piscine, profitons de cette nuit étoilée ?

Nous retournons dans l’eau, je me pends à son coup, je sens sa verge caresser mon minou du moins mon mont de Vénus, je suis dans l’eau et je mouille, j’espère marquer des points, il me prend en me soulevant aidé par l’eau et m’empale d’une façon divine.
Il me laboure, tout en allant de long en large, vu la hauteur de notre piscine, c’est de large en large que je devrais dire.
Je n’avais jamais remarqué que Nicolas était si fort, il monte la première marche, je suis attachée à son cou, une deuxième et il perd l’équilibre, je suis balancé vers le milieu et avant que j’aie le temps de me rendre compte, je bois une tasse.
Je me sens tiré sur les marches, il m’aime, il m’a sauvé, j’ai envie de le croire, mais j’ai toujours dans ma tête la vision des deux corps se frottant dans la cuisine.
Je reprends mon souffle quand je vois la verge que je risque de perdre à quelques centimètres de ma bouche, je suce rarement, mais ne dois-je pas être plus salope que Noémi aussi, je l’avale en allant même jusqu’à lui faire une gorge profonde.

• Chérie, tu devrais boire une tasse plus souvent, tu ne m’as jamais aussi bien pompé, évite que je décharge, n’oublie pas ce que tu m’as promis.

Il a raison, je lui ai proposé de me sodomiser pour le raccrocher à mon cul et évité d’être à la rue avec nos s.

• Allons sur l’herbe, allonge-toi, c'est moi qui vais entrer ta verge dans mon petit trou, pardon soyons plus direct, ta verge dans mon anus.
• Oui ma chérie, j’adore te sentir disposer à relancer notre couple, c’est vrai que nous avions tendance à nous endormir.

C’est ainsi qu’après avoir eu trois s, je me fais sodomiser pour la première fois, Nicolas à la délicatesse d’éviter que son sperme coule de mon anus.

• Je vais te prendre en levrette et te remplir la chatte, mon cœur, ou préfères-tu boire mon sperme.
• La levrette chérie, c’est plus coquin.

Il me prend et d’un coup mon corps éclate, j’ai ce Big orgasme, un de ceux marquant une vie surtout que je sens son sperme partir en jet saccadé, mais divin.
Je sens qu’il me quitte avec du regret, il s’allonge, je viens me blottir dans ses bras sûrs d’avoir rétabli les choses avec sa maîtresse, dire que c’était ma copine.

• Jennifer, je peux te poser une question !
• Bien sûr, si je peux répondre.
• Comment se fait-il qu’enfin, tu te sois comporté comme une chienne en chaleur, que t’est-il arrivé, c’est la première fois depuis le début de notre mariage ?
• Je t’ai vu tout à l’heure collé à Noémi, tu me trompes avec mon amie et j’ai eu peur que tu ne nous quittes pour aller avec cette salope.
• Tu es folle Jennifer, ce que tu as vu, c’est Noémi ayant pris un moustique dans l’œil, en sortant des toilettes, j’étais collé à elle pour lui enlever.
• Alors, tu ne m’as pas trompé.
• Tu es folle, je vous aime tellement toi et les s.
Mais dit moi, serais-tu partante pour un trio ?

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!