Collection Black. La Femme De Ménage (1/1)
Il y a deux ans que je commence ma journée dans cette laverie automatique fonctionnant vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Je suis mariée depuis trente ans, jai trois s qui sont grands ainsi quun mari qui a fini de soccuper de moi.
À cinquante ans, mes illusions sont derrière moi, la seule chose qui me fait rester, cest ma maison, nous possédons avec Luidgi un joli pavillon sur les hauteurs de Canne, nous avions acheté ces mille mètres carrés de terrain sur un secteur presque en friche pour une bouchée de pain au lendemain de notre mariage, lancien propriétaire ayant du mal à vendre cette parcelle dans cet état.
Luidgi est dans le métier, il sait tout faire, il a bâti avec moi qui lai beaucoup aidé un pavillon qui sappelle une villa de nos jours, grâce à la pente du terrain nous avons une vue sur la baie de Cannes.
Si nous voulions vendre, nous pourrions vivre sans que je sois obligé de me lever six jours sur sept pour nettoyer cette laverie avant den faire de même dans cinq autres boutiques ou mes patrons memploient et mexploitent.
On ne se refait pas, cette maison, cest ma maison, tous les après-midis, je la frotte, la brique, entretient le jardin pendant que Luidgi se prélasse dans son hamac en se grattant souvent les couilles, il vit dehors dans ce hamac lété et dans un canapé dans la véranda lhiver.
Il a eu un accident du travail, un jour ou par chance, il travaillait comme intérimaire normalement déclarer, mais sur un chantier ou le maître duvre oubliait la sécurité de ses ouvriers.
Il y a eu procès, la somme quil a été obligé de nous verser ajouter à la pension et aux salaires de mes ménages, nous permet de bien vivre et à Luidgi de boire anisette sur anisette.
Le matin, il se lève de son lit, depuis que ma dernière fille est partie, libérant la chambre de plain-pied en face de la nôtre, nous faisons chambre à part.
Comme nous ne baisions plus, jai réussi à le reléguer dans la chambre donnant sur larrière de notre terrain alors que j'ai vu sur la baie prenant comme prétexte quil ronflait.
Le matin, il boit un café, va sasseoir pour écouter Bourdin sur son transistor suivi des Grandes Gueules, jusquà treize heures, heure où je rentre pour lui servir son repas, bien sûr vers onze heures, comme je lai dit, cest apéro.
À onze heures, donc, il daigne se lever pour aller pisser un coup et amener sa bouteille deau, son verre, ses glaçons et sa sacro-sainte bouteille danisette.
Je dis anisette, mais cest la marque la plus chère que je dois acheter, un jour, jai eu le malheur dacheter une autre marque moins chère au départ et 50 % sur la deuxième.
Jai pris une engueulade, les deux bouteilles ont fini sur lévier, pour lui, sétait de la pisse dâne alors depuis je lui achète son breuvage préféré.
Il a pris cinquante kilos et pèse trois fois ce poids, heureusement quavec son régime basé sur lalcool, il est dans lincapacité de bander, ça marrange, je me vois mal être sous lui, il mécraserait, moi qui malgré mes grossesses suis restée une femme élancée.
Bien sûr, je commence à me rider à cause du travail et du soleil quand je fais le jardin.
Ce matin, je suis en train de faire le nettoyage des machines et du sol quand la porte souvre, il est rare quà cette heure des clients viennent faire leur lessive, mais jai la surprise de voir arriver un immense noir une sacoche à la main.
Bonjour madame déjà au travail, nayez pas peur, je viens réparer une machine avant larrivée des clients.
Monsieur Albert nest plus là, je lai vu une fois quand on ma fait venir pour nettoyer après une fuite quil avait réparée.
Il est parti à la retraite, je mappelle Dido, jai été embauché pour le remplacer, comme je suis célibataire et que je veux avoir du temps pour moi, jai lautorisation de commencer très tôt, le patron de cette laverie est enchanté, car ces machines seront en service à laffluence des clients, je devrais dire des clientes.
Moi, cest Marie, jai presque fini autour des machines, je crois que celle que vous devez réparer est dans la colonne de gauche que jai déjà finie, je vais aller faire le bureau, je finis toujours par là, je vais vous dire cela me permet de manger un croisant et boire une tasse de café avant de partir vers la ville dans un magasin de chaussures.
Il se met au travail, moi aussi, je vais dans le bureau comme je lai dit, je suis monté sur une chaise pour épousseter le dessus de larmoire.
Madame, jai fini, je vais vous laisser.
La voix du garçon me fait peur, peu habituée à ce que lon me parle à cette heure et je tombe de la chaise.
Je tombe non, je commence à tomber, mais je me retrouve dans les bras de ce beau gosse qui pourrait être mon fils sentant sur mes seins la fermeté de sa poitrine.
Jai de la chance ce matin, une jolie femme qui me tombe dans les bras, quelle chance.
Je suis collé à lui, retenue sous mes bras, touchant à peine le sol.
Vous avez vu, notre différence dâge, cest loin dêtre une chance pour vous.
Qui te parle dâge, cest la femme que je vois en toi, jadore les femmes dâge mures, quand je suis entré, je me suis dit quelle belle femme.
Jai été dépucelé par une vacancière de passage à Cannes dans une villa quelle avait louée ou ma société, qui fait lentretien des machines de cette laverie, mavait envoyé réparer la machine à laver.
Elle avait un âge certainement plus grand que le tien, elle a adoré.
Je craque, je sens cette verge sur ma chatte qui est sage depuis des années et qui semble se réveiller de sa torpeur.
Comme je suis placée, sa bouche est à la hauteur de la mienne, alors lorsquil met sa grosse langue dans ma bouche, je la reçois avec grand plaisir, fini les atermoiements, je redeviens la femme qui avait une libido jusquà laccident de Luidgi terminant, non arrêtant ma vie sexuelle.
Il me tient dune main, de lautre défait les boutons de ma blouse sous laquelle, je travaille en soutien-gorge et slip, cette main me brûle la peau quand-il contourne le bonnet et quil me malaxe le sein juste ce quil faut pour me faire du bien, me faisant frissonner quand il serre un peu plus fort à la limite de me faire mal.
Il fait chaud et humide dans cette pièce sans air extérieur, la sueur dans lattente ruisselle sur moi.
Jai toujours été soumise à mon homme qui me baisait plus quil me faisait lamour, mais combien de fois, surtout lorsquil me prenait en levrette, bien planté au fond de mon vagin me tenant par mes hanches me suis-je mordu la lèvre pour éviter de hurler mon plaisir de peur que mes s pensent que leur mère était une salope.
Pour la première fois de ma longue vie, ma main descend et se glisse entre nos corps, arrivant à saisir sa verge qui est bandée à mort.
Je prends peur, il est presque deux fois plus gros que la seule que jai eue dans ma vie depuis mon dépucelage entraînant ma première grossesse à vingt ans jusquau pavillon bas que Luidgi me présente maintenant.
Je sais quil va me défoncer, mais jaspire à être défoncé, cest ce quil fait mayant assise sur le bureau, en écartant simplement ma culotte en coton, je sens quil frappe à la porte de mon tabernacle.
Un grand coup de son ventre en avant alors que je mavance moi aussi, nous soude lun à lautre, je sens ses grosses couilles frapper lorée de mon anus inviolé à ce jour.
Javais peur de son calibre, mais je me rends compte que mon vagin a su parfaitement sy adapter, je le sens comme jamais, je navais senti de sexe en moi.
Quand jétais jeune, Luidgi voyant un noir sur la plage a fait fantasmer une copine en lui parlant des engins de ce genre de noirs surtout quand ils sont baraqués comme Dido.
Jai joui recouvrant par là même ma jeunesse trop tôt disparue.
Cest à ce moment que le bruit de la sonnette de la porte dentrée s'est rappelé à notre bon souvenir.
Je me suis rajusté, Dido aussi, cest une mémé noire, elle aussi, qui est rentrée.
Jespère te revoir, donne-moi ton téléphone.
Je nai pas de portable, juste un fixe 04, tu mappelles, plus tôt laprès-midi, le matin, je travaille.
Pendant trois jours, je nai pas de nouvelle, quand alors que je suis dans le jardin, Luidgi mappelle.
Marie, ya un black qui te demande.
Il avait eu le courage de se lever, mais quand je lai vu pisser sur la pelouse, jai été offusqué.
Marie, avec ton numéro de téléphone, je suis allée à la poste et jai trouvé ton adresse sur le bottin.
Mais dit-moi ou habites-tu ?
À lhôtel, les logements sont hors de prix, même une simple chambre.
Jai une idée, ici à létage, dans les combles, nous avons aménagé une chambre pour nos fils, ils sont grands, ils sont mariés, tu veux la voir, je te la prête !
Mais ton mari !
Mon mari du moment quil picole, on peut faire ce que lon veut, je viens de lui amener sa bouteille pour les deux prochains jours, il ny a rien à craindre.
La seule chose que je te demande, cest de ne pas toucher à son anisette.
Aucune crainte, je suis musulman, pas dalcool dans mon corps sain.
Voici la chambre, par le Velux, on voit la mer.
À peine entré, il me prend dans ses bras, jai vu quelques pornos sur Internet, je délaisse sa bouche pour venir voir de plus prêt ce que javais eu en moi, hélas pas assez longtemps à mon goût.
Sa bite est bien comme je le pensais et que Luidgi la dit à ma copine, jai du mal à la faire entrer dans ma bouche, mais jy arrive.
Viens, jai tellement aimé te prendre dans le bureau de la laverie, que je te veux encore.
Pour travailler dans mon jardin, je mets une chemise à carreaux et un jean, jai déjà enlevé mes bottes pour entrer dans la maison, il a du mal à faire glisser mon jean sur mes hanches, enfin, il y arrive.
Ma chemise senvole, mes seins sont à sa porter, libre de toute entrave, pour travailler et pouvoir les essuyer quand jai trop chaud, je nai rien sur eux.
Enfin il entre en moi, je nai aucune retenue au moment où je jouis, je ne peux retenir mon cri de plaisir et merde si Luidgi mentend.
Jinstalle Dido dans sa chambre, il sentend très bien avec Luidgi, le fait quil ne touche pas à son anisette le rassure, nous pouvons faire ce que nous voulons.
Mon amant na jamais couché dans la chambre de mes fils, dès quil a amené ses affaires, il ma entraîné dans mon lit et nen ait jamais ressorti, il me prend chaque fois quil le peut.
Il faut dire, que létat de mon mari ce soir-là, nous a facilité la tâche, il était saoul comme jamais, il ne lavait été.
La seule chose que notre différence dâge minterdit, cest de lui donner une jolie petite métisse, je suis ménopausée,
En ce moment, nous sommes aux urgences de lhôpital de Cannes, ils viennent de diagnostiquer une cirrhose irréversible, seule une greffe du foie pourrait sauver mon ivrogne.
Cest sans aucun regret que nous lenterrons, notre regard devant sa tombe montre que dès que nous serons rentrés, je le déshabillerais, il me déshabillera et nous pourrons de nouveau faire lamour.
Je sais, on va me dire que je suis une salope, je dis que la vie commence à cinquante ans surtout quand on a un si bel et bon étalon dans son lit, sur la table de la cuisine, dans mon jardin en levrette, un soir dorage où nous mettons de la boue partout quand nous rentrons après sêtres éclatés.
Rien ne mest interdit, je suis redevenue une femme à part entière.
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