La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1225)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1191) -
"Mais avec Monsieur le Marquis, je ne saurais dire pourquoi, je me sentais totalement en sécurité et en confiance, prête à m'offrir et à me perdre dans la volupté du vice
Si je n'avais pas eu les yeux bandés, j'aurais pu voir la cravache se déplacer toute seule dans les airs, avant de s'abattre rapidement, sèchement sur ma fesse droite. J'en bondis aussitôt en poussant un léger gémissement plus de surprise que de douleur. Le spectre dominant commença par de petits coups alternés d'un à l'autre à peine appuyés. Les soubresauts de ma croupe bien exhibée et arrondie l'encourageant à des manières plus excitantes encore, à plus de sévérité. J'essayais de ne pas trop bouger et de garder, temps bien que mal, la position même si cela me devenait de plus en plus difficile. Retirant par moment une main de la cheminée pour venir tenir et calmer légèrement mes frottements ainsi que la douleur d'une de mes fesses, suite à un coup de cravache plus dur que les autres, je me surprenais moi-même car je mouillais comme une chienne en chaleurs à ce traitement... Tandis que jentendais dans ma tête, en pensée, la voix stricte de Monsieur le Marquis m'ordonnant de reprendre la position. Position que je repris de suite, tout tremblante tandis que les coups reprenaient un peu plus doucement avant d'augmenter à nouveau.
Jétais comme obnubilée par son Emprise mentale sur moi, par ses mots spectraux qui résonnaient encore et encore dans ma tête et jobéissais comme une marionnette, incapable de résister, sans aucune envie de me rebeller, bien au contraire, mon corps asservi devenait en osmose totale avec Ses directives, réveillant mes instincts les plus primitifs, de femelle
Il avait pris possession de mon esprit et cela mexcitait grandement
je navais plus quun seul désir, quIl prenne possession de mon corps tout à Lui
Quand la cravache sarrêta. Le fantôme du Marquis qui, peut-être, eut peur davoir frappé trop fort, mobserva avec ravissement qui ayant les larmes aux yeux, je gémissais des encore tout en me contorsionnant la croupe tendue en arrière comme pour l'implorer de poursuivre.
- Redresse-toi, et recule de trois pas en arrière !, jentendis dans ma tête. Ça ne pouvait plus être mon imagination mais véritablement un ordre du Marquis.
Dès que j'eus obéi, comme par un enchantement paranormal, tout un attirail apparut subitement, venu doù je ne sais et se mit en mouvements dans lair. Il y avait là, des chaines, palan, barres de fixation, etc ... Tout cet équipement flottait et se déplaçait doucement pour que chaque chose se place à un endroit qui semblait bien défini ! Et cest ainsi que je sentis des bracelets de cuir sapprocher de moi et que je me suis ainsi retrouvée rapidement attachée, les poignets cerclés de ces bracelets en cuir, fixée à une barre, qui pendait à la chaîne du palan. Me contraignant à demeurer les bras écartés en croix au maximum. C'est alors qu'Il se mit à me caresser longuement mon corps qui lui était ainsi totalement offert. C'était les caresses à la fois d'un amant et d'un Maître. Je ne cherchais pas à nier le plaisir que j'y prenais, moi-même surprise d'éprouver autant de sensations juste en me retrouvant attachée offerte à ses attouchements.
Aussi incroyable que ce fut, je pouvais sentir Ses doigts qui finirent par se glisser entre mes jambes, m'en faisant gémir, toute excitée et humide que j'étais déjà. Il taquina mon clitoris et joua un moment à stimuler ma chatte et à faire monter en moi mon plaisir. Me faisant , répondre à ses attouchements par des soupirs.
- Hummmmm ! Oui... oui..., gémissais-je, toute secouée de frissons de bien être, le souffle court.
Mais au moment où il me sentit venir, à deux doigts de la jouissance, il retira ses doigts effilés de mon sexe. Me frustrant soudainement avant que je ne puisse en jouir.
- Nonnn... n'arrêtez pas... sil vous plait
je vous en prie..., l'implorai-je.
Mais rien n'y fit car cela faisait partie de ma punition, m'amenant dans le bon état d'esprit pour accepter pleinement la suite étant toujours comme hypnotisée car Son Emprise sur moi... Pour la débutante que j'étais, avoir su endurer avec courage ... et oserais-je l'avouer, un certain plaisir cette première correction, je me gorgeais d'une certaine fierté, même si maintenant le fait de me retrouver ainsi durement entravée, cela me faisait quelque peu paniquer, me rappelant subitement le nombre daccessoires posés sur le guéridon, réalisant subitement que ma punition ne faisait que commencer. J'aurais pu hurler, me débattre et l'implorer darrêter, sauf que je restais là silencieuse dans l'attende angoissante mais excitante de la suite de mes tourments, et toujours manipulée par Ses mots, Sa présence spectrale, la puissance de Sa dominance doutre-tombe... Ne voulant point que mon doux amant disparaisse pour de bon, et si ma soumission et mon acceptation à endurer cela était la clef pour Lui permettre de rester, comme de pouvoir redonner sa grandeur au Château dantan, j'étais prête à subir cela et bien plus encore..."
Carole eut un petit rire amusé. Sandra restait sidérée par le récit de Carole qui continua sa narration :
"On dirait que je me décris comme la jeune fille innocente qui se sacrifie pour la vie du héros ! Alors qu'il en était tout autre. Déjà je n'étais pas si innocente que ça, même si ma perversion s'est vraiment enflammée à la lecture des histoires écrites par Monsieur le Marquis d'Evans et d'autres qui contribuaient à la collection duvres sulfureuse D/s, aux côtés des histoires du célèbre Marquis de Sade dans la Bibliothèque du Château.
Sandra était effarée par le récit de Carole, n'arrivant pas à comprendre son délire.
"A nouveau je sursautais, mais en criant cette fois, qu'en-je vis voler dans les airs comme par magie puis sentis sur ma peau, la gerbe de cuir de trois douzaines de lanières, larges d'un bon centimètre environ pour chacune, longues de cinglantes, taillées dans un ancien cuir souple, et teintées en noir que le Marquis avait choisi pour me cingler brusquement les fesses. Ravivant la sensibilité de mes chairs préalablement assouplies par la cravache. Il me fouetta ainsi durant plusieurs minutes, toujours sur un rythme égal, assez lent, me réchauffant la peau et me la rougissant à nouveau, me procurant des sensations certes douloureuses, mais supportables, qui ne me faisaient nullement crier, mais seulement gémir, et réagir mon bas-ventre shumidifiant de nouveau à plus que raison. Me déhanchant avec élégance, sans pour autant chercher à me dérober, me cambrant même pour offrir mieux encore ma croupe aux frappes sifflantes des lanières de cuir.
- Non, narrêter pas... je vous en prie continuer..., l'ai-je de nouveau imploré
(A suivre
)
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