« Josy » La Reine De La Nuit. Épisode 2 : Salope, Elle Le Devient Très Vite.

En effet, après ce dimanche après-midi de folie avec le docteur, j’étais devenue une salope, je ne pensais qu’au sexe toute la journée. J’avais pourtant attendu près d’une semaine avant qu’André ne vienne un soir dans ma chambre pour me dépuceler. Ce soir-là, juste après avoir fait la vaisselle, ma mère ayant ses règles, était allée se coucher tôt. Je faisais mes devoirs dans ma chambre et vers 21 heures trente, j’étais descendue dans la cuisine pour boire, lorsque le docteur m’invita à regarder la télé avec lui.

Je savais qu’il n’attendait que cela, j’étais déjà en pyjama quand je m’étais assise à côté de lui. Il m’embrassa, me pelota la poitrine puis d’une main experte, mon entrejambe. Moi aussi je le caressais, il bandait le salaud, comme lui, j’étais chaude bouillante, je mouillais comme une folle. Nous n’avions pas attendu pour monter dans ma chambre. Après lui avoir fait une fellation, très excité, il n’attendit pas pour venir me pénétrer sans vergogne, comme si je lui appartenais. En définitive, c’était le cas car il pouvait faire de moi ce qu’il désirait.

J’atteins l’orgasme que quelques minutes après m’avoir déflorée, sa belle queue remplissait parfaitement ma petite chatte serrée, il allait et venait en moi, coulissant à la perfection. J’étais aux anges, je jouis une seconde fois juste avant qu’il me retourne pour m’enculer. Si je m’étais retenue de crier pendant mes orgasmes, je ne pus le faire lorsqu’il jouit avec moi, déversant son sperme dans mon conduit anal. C’était magique, je venais de prendre une nouvelle fois mon pied. Heureusement ma mère n’entendit pas mes cris, André était redescendu tout heureux de sa performance.

Cela dura ainsi pendant plusieurs semaines, cependant une fois tous les cinq ou six jours, je n’en avais pas assez. Je comprenais qu’à son âge, le docteur essayant de contenter ma mère, était incapable de me satisfaire comme je l’aurais souhaité. Il était à mille lieues de connaitre mes réels besoins.

Je devais poursuivre mes masturbations endiablées avec mes fruits et légumes. À cette époque, j’avais un petit copain, Simon le fils du boucher du village avec lequel je flirtais dans le bus pour aller au lycée.

Avec ce que j’avais connu, je n’étais plus timide, je me permis beaucoup plus de chose avec lui, pour son plus grand bonheur et je m’aperçus en le tâtant au fond de l’autocar qu’il avait ce qu’il fallait dans le pantalon. Toutefois, le docteur ne me laissait que très peu de sortie, pourtant j’avais très envie de baiser avec Simon. Je me doutais bien qu’il n’avait jamais fait cela auparavant, même s’il s’en vantait auprès de ses copains. En effet, il était assez maladroit, j’étais obligée de lui dire comment il fallait faire pour me caresser.

Ce ne fut que pendant les événements de mai 68 que l’occasion s’était présentée. Ce jour-là, arrivés au lycée, nous avions appris qu’il y avait grève, nombreux furent ceux qui étaient allés manifester. Moi au contraire, ayant la liberté de quelques heures, je proposai à Simon de rentrer. L’ayant chauffé pendant le voyage en bus, le fils du boucher était très impatient de se retrouver seul avec moi et me proposa d’aller avec lui, dans la cabane en bois qui se trouvait au fond de son jardin.

Tellement pressée d’en découdre, une fois dans le bric-à-brac, nous nous collions l’un contre l’autre pour nous embrasser. Je sentais contre mon ventre la bosse au niveau de son entrejambe. Il bandait comme un taureau, nous étions tous les deux, chauds comme de la braise. Pendant que ses mains s’étaient aventurées sous mon corsage, tout doucement, je baissai la fermeture éclair de son pantalon. Ma main coquine vint s'immiscer dans l’ouverture pour caresser cette queue encore prisonnière du tissu de son slip.

Je sentis sous mes doigts les formes avantageuses de cette belle queue gonflée à bloc que je devais libérer. À tour de rôle, je défis sa ceinture puis le bouton de son pantalon avant de baisser l’ensemble.
Je m’installai assise sur des sacs de ciment et tirai Simon vers moi. D'un geste prompt, je baissai son slip afin de libérer enfin sa verge qui me donna l’impression de vouloir me sauter à la figure. Quelle queue ! Plus grosse que celle d’André, pour moi, c’était une pure merveille avec son gland turgescent d’où s'échappaient quelques gouttes nacrées.

Je ne pus attendre plus longtemps, l’embrassant, la léchant, la suçant et la branlant, tout en malaxant ses couilles qui pendaient entre ses jambes. Après une bonne dizaine de minutes, Simon qui n’avait jamais connu cela, commençait à suffoquer, il me maintenait la tête au même rythme que j’imposais avec ma bouche, le long de sa colonne de chair. Pendant que je le suçais, je le branlais activement sur la base de sa bite, en même temps : « Attention Jo, je vais jouir cria-t-il. » je ne m’en étais pas occupée, c’était ce que je voulais : « Vas-y ! Crache-moi dans ma bouche. »

En effet, j’adorais désormais voir le visage d’un homme se vider entre mes lèvres et je m’étais bien habituée au gout et à la texture. Je pris alors mes deux mains, l'une branlant sa queue, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Pour recueillir son sperme, je le suçais activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres. Je ne voulais rien perdre, je m'activais avec détermination et application. Simon ne résista pas à mon acharnement, il lâcha un râle et déchargea tout en me tenant la tête.

Ces premières giclées furent impressionnantes, elles me remplirent la bouche. Je ne pus tout garder, un flot de sperme s’échappa d’entre mes lèvres mais il n’avait pas encore fini d’éjaculer. Cela n’avait rien à voir avec la quantité que le docteur m’envoyait. Pris de spasmes, Simon n'en finissait pas d’inonder ma bouche, par de longues saccades de ce liquide blanchâtre et visqueux. Désirant tout avaler, je dus faire un bel effort pour parvenir à mes fins, devant les yeux ahuris du fils du boucher qui me regardait avec stupéfaction.


De ma langue, je léchai le contour de mes lèvres puis lui demandai son avis : « Putain, comme c’était bon Jo. »
— C’est ta première pipe ? Lui demandais-je.
— Nicole m’a déjà sucé mais pas comme ça, elle lèche un peu et me branle mais elle n’avale pas du tout.
— Bon ! Maintenant à toi de me faire jouir. Lui ordonnais-je en relevant ma robe et en retirant ma culotte.

De me voir ainsi délurée et aussi décomplexé, Simon resta bouche bée pendant que je m’installais. L’endroit n’était pas l’idéal mais je parvins à m’allonger à plat dos sur les sacs de ciment, les jambes écartées. Ce jeune n’était pas du tout expérimenté, à croire qu’il avait peur de ma chatte, je dus lui expliquer de A à Z tout ce qu’il devait faire. Néanmoins, il était parvenu à me faire jouir et fut surpris de mon orgasme : « Tu pisses Jo ?
— Non, gros bêta ! Je jouis tout simplement. Viens maintenant baise-moi. Amène ta belle queue et fourre-moi la chatte.

Il n’avait pas eu besoin d’attendre beaucoup pour reprendre des forces, il bandait déjà dur pendant qu’il me doigtait. Sa tige épaisse me taraudait. Malheureusement, il ne fut pas très performant, il éjacula trop vite à mon gout, bien avant que je prenne mon orgasme. Mes doigts avaient fait le nécessaire afin que je jouisse une nouvelle fois. J’avais bien l’intention de recommencer, cependant m’entendant crier pendant l’orgasme, sa mère sortit et demanda : « Il y a quelqu’un ? » Tout penauds, nous nous étions revêtus et nous étions ressortis sans qu’elle nous surprenne.

Lorsque j’étais revenue vers midi et demi, André était encore en visite extérieure et Jean- Charles fermait le cabinet. Habitué à baiser avec ma mère tous les après-midis, son épouse, une femme forte pas très sexy, ne devait pas le contenter suffisamment ce pauvre docteur. Je savais que je ne le laisserais pas indifférent, moi aussi je voulais baiser avec ce jeune docteur de 37 ans. Personnellement, j’attendais ce moment depuis bien longtemps, c’était peut-être l’occasion.
En nous rencontrant dans le hall, après nous être embrassé sur les joues, j’en profitai pour lui dire :
— Ça tombe bien Jean- Charles, c’est la grève. Pourrais-je venir vous voir cet après-midi, j’ai un peu mal au dos.
— Ok ! Passe à 14 heures avant le premier patient quand ta mère partira en course.

Pourquoi 14 h alors que son premier rendez-vous était qu’à quinze ? Cela voulait tout dire, j’étais certaine qu’il désirait autre chose que de m’ausculter, le salaud. J’étais rentrée manger puis je pris ma douche avant de descendre au cabinet. Une fois installée sur le siège devant son bureau, il prit mon dossier médical et pendant un instant je crus qu’il ne se passerait rien. Il me parlait normalement tandis que j’avais du mal à exprimer mes maux de dos (imaginatifs). Soudain il me demanda :
— Déshabille-toi et installe-toi sur la table.

Je compris qu’il se passait quelque chose d’inhabituel car se mettre nue pour un problème de dos ce n’est pas très courant. Je ne portais que mon soutien-gorge et ma petite culotte blanche, il me regarda de la tête aux pieds et me dit d’un ton admiratif : « Tu es devenue une très jolie femme Josiane. Je vais ausculter ton dos, mais je dois dégrafer ton soutien-gorge. » Son regard en disait long, cela me gênait quelques peu, j’avais perdu mon assurance : « Allez allonge-toi à plat ventre sur la table. »

Ses mains massèrent le long de la colonne vertébrale, c’était très agréable, ça me détendait, puis ses mains passèrent sur mes épaules, mes omoplates, mes flans tout en effleurant mes seins écrasés sur le cuir de la table. Puis elles continuèrent de descendre sur mes lombes, avant de s’éterniser sur mon arrière train. Après de longues secondes de caresses, qui me faisaient du bien, il finit par me les malaxer fermement, ses doigts s’insinuaient au passage dans la raie de mes fesses, je commençais à mouiller le fond de ma culotte :
— Bon ! Tout va bien. Dis-moi Jo, je me suis aperçu que mon père t’a prescrit la pilule. T’a-t-il ausculté ?
— Oui ! Le docteur est très consciencieux, je ne suis plus vierge si c’est cela que vous voulez savoir. Dis-je en retrouvant un peu d’assurance.

Jean- Charles me demanda de retirer ma culotte, je me retrouvais complètement nue, jambes pliées et écartées. Après avoir enfilé un gant en latex, il se plaça devant moi et enfonça un doigt puis deux dans ma chatte. Je trouvais la situation très agréable : « Je confirme bien, tu n’es plus vierge. » Dit-il avant de m’enfoncer un doigt dans l’anus : « Par là non plus. » Je reconnais bien le travail de papa, il ne t’a pas ausculté qu’avec ses doigts, n’est-ce pas ? » Dit-il en retirant son gant. J’étais très déçue de sa réaction, je pensais qu’il en avait terminé. Sans doute ne voulait-il pas marcher sur les plates-bandes de son père :
— C'est déjà fini ? Dois-je me rhabiller maintenant où voulez-vous poursuivre plus loin cet examen ?

Il se remit en position et un doigt avait repris possession de ma fente et me branlait sans retenue. Il rajouta un doigt, puis un autre, ils glissaient tous seuls, tellement j’étais trempée : « Tu es une belle coquine Josiane. Je vois que tu aimes ça, tu mouilles. » Sans attendre de réponse, il se pencha entre mes cuisses pour y plonger sa tête. Il lécha doucement l'intérieur de mes cuisses puis mes grandes lèvres. Lorsque sa langue se glissa dans ma fente, je fus parcourue d'un grand frisson, j’étais au septième ciel.

J’avais chaud, très chaud malgré ma nudité, sa langue remonta sur mon clitoris qu’elle titillait, c’était génial, j’en gémissais de plaisir. Il était très doué et on sentait à la façon de s’y prendre qu’il avait de l'expérience. Soudain lorsque ses doigts s’immiscèrent dans ma fente, je jouis comme une salope envoyant de grand jet de mouille sur son visage. Décidément Jean- Charles était encore plus habile que son père. Mon corps était en émoi, je m’abandonnai complètement à lui pour le plaisir qu’il me procurait.

C'était carrément grandiose, je garderai le souvenir de sa langue jouant avec mon petit bouton au rythme de mes gémissements jusqu'à ce que je parvienne à jouir. J’avais très envie de lui rendre la pareille, mon appréhension avait totalement disparue, j’étais sereine et en confiance. Je lui dis de but en blanc en le tutoyant : « Veux-tu que je te suce Jean- Charles ? Je ne suis qu’une novice, mais j’apprends vite. » Toujours allongée sur la table d'examen, je vis alors dans son regard son étonnement, ce qui ne l’avait pas empêché de s’approcher sur le côté et sortir son sexe en érection pour le présenter devant mon visage.

Il avait lui aussi une belle queue, elle était noueuse et bien large, son gland luisant était une invitation à la fellation. Je sus à partir de ce jour que j’aimais particulièrement faire des pipes, cela m’excitait beaucoup. Après avoir tourné ma langue sur le pourtour de cette tête décalottée que je titillais avec une grande application, j’entourai mes lèvres autour de sa verge pour le sucer doucement et en salivant abondamment. J’intensifiai mes va-et-vient tout en restant attentive aux réactions de mon docteur qui semblait apprécier ma bouche :
— En effet, tu apprends vite, tu seras bientôt une experte.

Ayant la bouche pleine, je ne répondis pas mais j’avais apprécié le compliment. Je dois dire que ça m'excitait énormément, je désirais devenir meilleure que ma mère. J’enfournai sa queue plus profondément jusqu'à ce que je la sente cogner au fond de ma gorge. L’entrainement avec mes bananes portait ses fruits (LOL), néanmoins, Jean- Charles étant au bord du précipice, me stoppa dans mon élan : « Tu es une vraie petite salope Josiane, arrête sinon je vais gicler dans ta bouche. »
— Tu sais, j’aime ça, tu peux éjaculer dedans.
— Une autre fois, je n’ai pas le temps aujourd’hui, j'ai trop envie de ton petit trou.

Il voulait m’enculer aussi le salopard mais cela ne me dérangeait pas. Il me fit descendre et me retourna pour me plaquer face à la table. Il me claqua le cul avec sa queue, cracha sur ma rondelle en écartant les fesses puis appuya son gland mouillé de salive sur ma petite rondelle. Il appuya et s’insinua doucement dans mon anus qui se dilatait au fur et à mesure de la pénétration. Il fit lentement quelques allers-retours, avant d’aller de plus en plus profond. Lorsqu’il vit que mon passage était bien huilé, il commença à me sodomiser sauvagement. Il me maintenait une main sur ma bouche afin d’atténuer mes gémissements et mes petits cris, tandis que l’autre il me tenait fermement par la hanche.

C’était trop bon, j’avais envie d’hurler, tellement sa bite bien dure me taraudait les entrailles, je ne ressentais aucune brûlure, mon petit trou était bien serré autour de sa queue, il me remplissait. Comme le docteur André me l’avait appris, je réussis à passer une main jusqu’à mon pubis et je me doigtais pendant que Jean- Charles, mon jeune médecin, m’enculait. Je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses. Après de longues minutes à ce rythme, je ne cessais de jouir. Sa main devant ma bouche empêchait mes cris de plaisir, de parvenir jusqu’à l’extérieur de la pièce. En poussant un grand râle le docteur se vida au fond de mon rectum.

Jean- Charles était enchanté, je pense que je l’avais impressionné, il m’enlaça et m’embrassa puis pendant que je finissais de me rhabiller, il me pelotait encore en m’invitant à venir le revoir : « Tu passes quand tu veux, préviens-moi le matin. » Bien entendu, j’avais accepté à la condition que tout ceci reste notre secret, je ne voulais pas que ma mère soit au courant. Il était déjà quinze heures quinze, lorsque j’étais sortie du cabinet. La patiente dans la salle d’attente croyant être la première de l’après-midi, me fusilla du regard, je me demandais si elle ne s’était pas doutée de quelque chose.

Pendant toute la durée de la grève, je passais au cabinet les matins après que ma mère aie fait le ménage et avant les consultations, pour faire une petite fellation au docteur Jean- Charles, qui prenait un grand plaisir à se vider dans ma petite bouche avide de son sperme. Puis j’allais rejoindre Simon dans la cabane qui lui aussi m’envoyait sa première éjaculation entre mes lèvres avant de me faire jouir en me mangeant le minou puis de me baiser la chatte sur les sacs de ciment.

Vers quatorze heures, je retournais au cabinet pour une consultation anale avec Jean- Charles qui délaissa un peu ma mère à mon profit. Par contre, André ne venait que rarement me contenter, il avait définitivement pris ses distances, préférant sans doute l’expérience de maman. En deux mois, je comptabilisais déjà trois amants, j’étais pleinement rassasiée, je me faisais baiser plusieurs fois par jour, je ne pouvais pas rêver mieux. Cependant, je ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin.

La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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